• Je viens de trouver cette recette, que je n'ai pas encore faite, sur FACEBOOK, il faut voir ce qu'elle donne à la cuisson, mais ces petits gateaux peuvent etre amusants pour un gouter d'anniversaire

     

     

     Recette des Cannelés Bretons :

    Recette de base des cannelés, à adapter à vos moules pour la cuisson.

    2 œufs + 2 jaunes d'œufs,

    250 g de sucre,

    100 g de farine,

    50 g de beurre,

    1/2 litre de lait

    2 cuillères à soupe de rhum

    1 sachet de sucre vanillé ou 1 gousse de vanille

    1/ Mélanger les œufs, les jaunes et le sucre et battre le tout jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Ajouter la farine et le rhum. Remuer.

    2/ Chauffer le lait avec le beurre et la vanille (gousse ou sachet). Ajouter cette préparation chaude au mélange n°1 en remuant jusqu'à ce que la pâte soit homogène. Laisser reposer 12 heures !!

    3/ Préchauffer le four à 250°C (thermostat 8-9).

    Remplir des moules à cannelés aux 2/3 (attention la pâte gonfle à la première partie de la cuisson). Enfourner 10-15 minutes à pleine puissance pour faire dorer les cannelés. Redescendre la température à 140-160°C (thermostat 5) et poursuivre la cuisson 1 heure.

    4/ Sortir du four les cannelés.

    Les laisser un peu refroidir avant de les démouler.

    Attention : faire varier le temps de cuisson en fonction des moules, cette recette est destinés à des moules à cannelés "classiques", ici ils ont été cuits dans des moules en silicone en formes de motifs celtiques (triskels et queues d'hermines), les moules étant plus petits, ils ont doré très vite !!

     

    Il parait que ces moules se trouvent facilement en grandes surfaces, en Bretagne je pense car dans le sud j'ai des doutes !

    Source:

    http://www.mesgateauxmagiques.com/

    de très jolis gateaux sur ce site

    Page 2, j'ai trouvé ce très joli gateau breton

    http://www.mesgateauxmagiques.com/page/2

    LES CANNELES BRETONS

    LES CANNELES BRETONS

    LES CANNELES BRETONS

    Boutiques dans les rues de Guérande

    Partager via Gmail Yahoo!

    6 commentaires
  •  

     

     S'in vous reste du fromage de votre raclette !

    Quiche Recette Quiche façon tartiflette ou Quich'Clette...

      Ingrédients /

    pour 6 personnes :

    1 pâte brisée

    2 œufs

    sel poivre

    une dizaine de tranches de fromage à raclette

    3 tranches de jambon blanc

    7 pommes de terre

    40 cl de lait

     

    Réalisation Difficulté :

     

    Cuisson Temps Total Facile 15 mn, 35 mn, 50 mn

    Préparation Quiche façon tartiflette ou Quich'Clette...

    1 Disposer la pâte brisée dans un moule à tarte. Préchauffer à 180°C. Piquer le fond de pâte avec une fourchette. Couper les pommes de terre en morceaux pas trop gros ; les déposer sur la pâte.

    Couper le jambon en morceaux et les déposer sur les pommes de terre.

    2 Dans un petit saladier : mélanger les œufs avec le lait, saler et poivrer.

    Verser cette préparation dans votre moule. Couper le fromage en tranches et les déposer sur toute la surface. Enfourner pendant 35 minutes.

     

     

     

    LA TARTIFLETTE

     Ingrédients:

    Pommes de terre, Reblochon, oignons, Crème fraîche, lardons.

      La tartiflette est un gratin de pommes de terre, de lardons, d'oignons sur lequel on fait fondre du reblochon, un fromage originaire des Pays de Savoie et fabriqué dans les Aravis et le Val d'Arly. La « tartiflette au reblochon ou reblochon de Savoie » a obtenu un Label Rouge le 9 octobre 2014.

    La tartiflette au reblochon de Savoie contient au moins 20% de reblochon de Savoie AOP, au moins 6 % de crème fraîche entière, 10% de lardons cuits fumés au bois et 6% minimum d’oignons, le reste étant composé de pommes de terre, de fécule, sel et poivre.

     

    Origine :

    Cette recette moderne s'inspire d'un plat traditionnel appelé « la péla » : un gratin de pommes de terre, oignons et fromage fait dans une poêle à manche très long appelée péla (pelle) en arpitan.

    Elle a été mise au point dans les années 1980 par le Syndicat Interprofessionnel du Reblochon pour favoriser les ventes du reblochon, comme le confirme d'ailleurs Christian Millau (Guide Gault-Millau) dans son Dictionnaire amoureux de la gastronomie.

    Le nom « tartiflette », d'invention récente (début des années 1990),dérive du nom de la pomme de terre en patois savoyard, tartiflâ, terme qu'on trouve aussi en provençal tartifle.

    Les Savoyards n'ont entendu parler de la tartiflette que lorsqu'elle est arrivée sur les menus des restaurants dans les stations de sports d'hiver, véhiculant une image de convivialité, d'authenticité et de terroir de la montagne.

    Aujourd'hui, les Savoyards se la sont appropriée et ont multiplié les variantes. La tartiflette est également un plat de la cuisine valdôtaine, diffusée dans la haute Vallée d'Aoste, notamment à Arvier, le plus souvent sous le nom de Trifolette, de la variante du patois francoprovençal valdôtain de la haute vallée, Trifolla.

     

    LA RACLETTE

    Le raclette (au masculin) ou la raclette (au féminin) est un fromage à base de lait de vache, à pâte pressée non cuite d'origine du canton du Valais en Suisse. Des fromages à raclette de type pasteurisé sont aujourd'hui fabriqués en France dans les régions d'Auvergne, de Savoie, de Franche-Comté, de Bretagne, au Québec et dans de nombreuses régions de Suisse.

    La raclette (au féminin) est le plat obtenu en raclant une demi-meule de fromage fondue à sa surface par la proximité d'une source de chaleur.

     

      La raclette traditionnelle:

    La raclette est un plat obtenu en raclant du fromage fondu en surface par la proximité d'une source de chaleur qui peut être un four spécifique, des cendres bien chaudes ou simplement le feu de bois, bien que cette technique soit plus délicate de par la position couchée du fromage, qui, en fondant, aura tendance à couler et s'étaler. Le fromage se mange accompagné de pommes de terres et d'une boisson chaude ou d'un vin blanc comme le fendant.

    Alors qu'en Suisse, un « racleur » professionnel sert en permanence tout le restaurant depuis un four installé sur une table séparée ou près du feu de bois, les restaurateurs français installent souvent le four à raclette à même la table, le raclage étant alors à la charge des convives. Raclette électrique, ou raclonette.

     

    Images Wikipedia

    Variante récente :

    Un usage récent a conduit au mélange du fromage fondu et de la charcuterie, et au développement d'un instrument de cuisine spécifique, la raclette électrique, appelée aussi raclonette. Elle est posée en milieu de table et se compose d'un grill électrique (ou appareil à raclette), auquel des coupelles s'accrochent par le dessous, surmonté d'une plaque chauffante rappelant la pierrade.

    Diverses assiettes de charcuterie, des légumes et des pommes de terre bouillies ou cuites à la vapeur, accompagnent des tranches de fromage à raclette prédécoupées. Les convives font griller les aliments sur la plaque supérieure, puis préparent leur composition dans les coupelles à portions individuelles, surmontées de fromage.

    La coupelle est ensuite accrochée sous le grill jusqu'à ce que le fromage fonde. Les aliments peuvent également être cuits séparément sur la plaque et le fromage dans les coupelles, puis versé sur les aliments grillés, dans l'assiette.

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    14 commentaires
  • ATTENTION - DANGEREUX !

     

     

     Le chouchen (en breton : chouchenn ou mez, d'après les dictionnaires Catholicon de 1464 et An Here), historiquement proche mais pourtant différent de l'hydromel, est une boisson alcoolisée obtenue à partir de la fermentation du miel dans du jus de pomme, rejoignant ainsi la catégorie des œnomiels. Il se fabriquait autrefois plus particulièrement à partir de miel de sarrasin, jadis très présent en Bretagne, qui lui donnait sa couleur foncée et son goût prononcé.

     

      Fabrication et utilisation:

    En Bretagne, cette fermentation est déclenchée par l'introduction de jus de pommes fraîchement pressées. La fermentation peut aussi être déclenchée par l'apport de levures comme pour la bière. Un litre de chouchen nécessite environ un tiers de son volume en miel pour atteindre un degré alcoolique suffisant. Boisson traditionnelle de Bretagne, le chouchen est une boisson liquoreuse alcoolisée (14° environ) comparable à l'hydromel.

    Cet alcool se consomme bien frais (toujours sans glaçon, cela masque le goût du miel), généralement en apéritif, pour agrémenter le melon (comme le porto) ou parfois en hiver comme un vin cuit.

    On trouve en Bretagne différents types de chouchen dont certains sont réalisés avec un mélange d'eau et d'eau de mer, sans oublier le miel.

    Selon la légende les effets du chouchen aurait été autrefois très violents.

    Après extraction du miel, rien n'était perdu : les rayons naturels auraient été disposés dans le fût de fermentation. Mélangées au miel se trouvaient des abeilles dont le venin se serait diffusé dans la boisson. Le chouchen pouvait alors avoir un effet assommant.

    En effet, le venin attaquerait le cervelet (servant à garder l'équilibre). Quelques verres auraient suffi pour tomber à la renverse. Il s'agissait en fait du moût de pomme ajouté à la préparation du miel qui accroissait la fermentation, le venin des abeilles empêchant celle-ci. L'explication de ses effets serait donc celui habituel de l'alcool.

     

    Cet alcool se consomme bien frais.

    On trouve en Bretagne différents types de chouchen.

    Chouchen doux souvent en apéritif, pour agrémenter le melon.

    Chouchen demi-sec avec des galettes, repas breton

    Les effets du chouchen étaient autrefois très violents car le miel utilisé était impur : des abeilles étaient présentes dans la mixture de miel, si bien que le venin de leur dard était encore présent dans la boisson. Le chouchen pouvait alors avoir un effet assommant. Cela n'est plus le cas aujourd'hui.

    Le chufere:

    Il existe une autre boisson proche du chouchen, le chufere, qui est à base de miel et de cidre. Il est en général moins fort que le chouchen, environ 8 à 9°. La production de chufere est devenue moins courante, ainsi que le chouchen .

     

    Musique:

    Matmatah évoque le chouchen dans les chansons Lambe An Dro et Les Moutons.

    Manau en parle aussi dans la chanson Tout le monde. Dans leur chanson bretonne parodique Ker Chansonec,

    Oldelaf et Monsieur D évoquent le « chouchen au bon miel de Landerneau ».

    Les Bidochons le citent dans leur parodie de Come Together, "Comme tu dégueules".

    Jean Floc'h et Grandpamini l'évoquent dans leur chanson humoristique "Bienvenue Chez les Bretons".

     

    LE KIR CELTIQUE

    Autre variante au kir traditionnel (à base de vin blanc et crème de fruit) ou au kir breton (avec du cidre et de la crème de fruit),

      Il s’agit un cocktail qui, comme le kir breton, se prépare avec du cidre et de la crème (de cassis ici de préférence) et du chouchen/hydromel

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    23 commentaires
  •  

     

     Le cidre est une boisson alcoolisée titrant habituellement entre 2 % et 8 % 1d'alcool, mais allant de 1 % jusqu'à 18 %2, obtenue à partir de la fermentation du jus de pomme.

    Origine:

    Le cidre était déjà consommé dès l'antiquité par plusieurs peuples tels que les Hébreux qui le nomment « chekar », les Égyptiens, les Grecs qui le nomment « sikera » et les Romains qui le nomment « sicera ». Dans l'Antiquité, Pline et Strabon évoquent des boissons aigres fabriquées à partir de pomme.

    Le géographe grec Strabon, décrit l'abondance de pommiers et de poiriers en Gaule et mentionne qu'il se consomme au Pays basque le Phitarra. Cette boisson est obtenue grâce à des morceaux de pommes que l'on met dans de l'eau bouillante et un ajout de miel.

    Dès l'époque gallo-romaine, les Basques, qui prennent la suite des Romains, entretinrent des rapports fréquents avec la Normandie et les îles anglaises par des routes maritimes. Il n’y a pas de documents sur les débuts de la culture du pommier à cidre chez les Basques, mais elle est sans doute très ancienne.

    Au Moyen Âge, les marins de la côte basque le firent découvrir aux marins bretons et normands et en exportèrent jusqu'à la Méditerranée.

    Dès 1189, apparaît dans le Labourd le premier règlement écrit en France sur les pommeraies, suivi par d'autres documents, ordonnances et décrets royaux du Royaume de Navarre (principale province basque) sur les pommiers et le cidre. La technique de fabrication importée en Normandie par Guillaume Dursus se développe dans d’autres régions comme la Savoie.

    Au XIXe siècle, le cidre était la deuxième boisson la plus consommée en France. L'apogée du cidre date de la fin du XIVe siècle, dans la zone humide du Guipuscoa entre autres, où il se buvait plus de cidre que le vin, soit un litre de bière par an pour 150 litres de cidre.

    http://www.keldelice.com/guide/specialites/le-cidre-breton

      Le cidre breton et du Pays de la Loire et Bretagne 

    Breuvage de prédilection des Bretons, qui accompagnait l’agriculteur dans son champ, l’ouvrier dans son usine, l’étudiant, le col blanc et le touriste dans un repas à la crêperie (où on le boit souvent selon la tradition dans une bolée), le cidre demeure une institution en Bretagne !

    Doucement pétillant, on l’apprécie aussi bien comme ingrédient de recettes, qu’en boisson désaltérante et pour escorter certains plats et desserts. Ainsi, est-il indissociable des galettes de sarrasin (galette de blé noir) et des crêpes (crêpe bretonne).

    Difficile, toutefois, de se repérer dans la « jungle » des étiquettes :

    Le « cidre fermier » est élaboré exclusivement à partir de fruits produits sur l’exploitation et le « cidre traditionnel », à partir de fruits à cidre issus des variétés recommandées ou locales traditionnellement utilisées dans la zone et respectant un cahier des charges.

    Le « cidre sec », qui ne contient plus guère de sucre et se montre le plus alcoolisé (6,6°), convient parfaitement en cuisine ou accompagne les fruits de mer ;

    le « cidre demi-sec », pétillant, comportant une teneur en alcool modérée (il titre entre 4° et 5°), est fort goûté des connaisseurs ;

    le « cidre brut » (titrant à 6°), mousseux, à peine sucré, se boit très frais et escorte idéalement des crêpes ;

    le « cidre doux », le plus sucré, mousseux, se destine aux desserts ou au goûter, avec sa faible teneur en alcool (2° à 3°).

    On note encore le « cidre bouché » (cette appellation est donnée à un cidre dans lequel une certaine quantité de sucre résiduel est laissée lors de sa mise en bouteille. Sa pétillance et alors supérieure à celle des autres cidres et impose le bouchon muselé) par opposition au « cidre de table », appellation généraliste. De surcroît, d’innombrables crus parsèment la Haute et la Basse Bretagne.

    Tous diffèrent par les microclimats, la nature des sols et la variété des pommiers donnant des fruits aux caractéristiques particulières. Comme pour les champagnes, le savoir-faire se transmet de génération en génération : le producteur ajuste un mélange de pommes acides, amères et douces dans des proportions souhaitées.

    Le Vannetais fait exception à l’ensemble des zones cidrières de Bretagne avec une espèce fruitière, la Guillevic, unique variété utilisée pour la fabrication d’un cidre portant ce nom, délicatement acidulé et parfumé, au pétillant persistant.

    Quant au cidre de Cornouaille, il passe pour l’un des meilleurs. Si les origines du cidre remontent à l’Antiquité, il faudra attendre le haut Moyen Âge avant qu’il n’apparaisse en Bretagne (où il se buvait surtout du vin provenant du Bordelais, de l’Angoumois, du Pays nantais, du lait ribot et du gros lait).

    Le « décollage » de sa production reste un phénomène relativement récent, lié à l’essor du trafic maritime au XVIe siècle qui permit l’importation de variétés de pommiers en provenance d’Espagne, mieux adaptés aux sols et au climat bretons.

    Ces nouvelles variétés rustiques de pommes, s’ajoutant à celles de Normandie, apportent alors une certaine originalité aux cidres locaux, en comparaison de ceux d’Europe centrale. De plus, leur richesse tannique favorise une meilleure conservation en barrique. Toutefois, jusqu’à la Révolution, les cidres bretons tardent à se faire connaître, un arrêté douanier interdisant leur circulation hors des frontières de la Bretagne. Dans la première moitié du XIXe siècle, toute la Bretagne se verra conquise par une vague sans précédent de plantations de pommiers à cidre.

    Des zones, qui deviendront plus tard des « crus », se distinguent par leur qualité :

    celles de Dinan, de Dol, de Kervignac, de Fouesnant. Depuis la dernière guerre, la production et la consommation de cidre ont chuté en Bretagne, concurrencés par le vin, la bière et les alcools forts. Cependant, depuis deux décennies, le cidre ne cesse de s’améliorer en qualité, s’assemblant comme un champagne rare pour certains crus.

    En 1995, une AOC a récompensé les cidriers d’une quarantaine de communes de Cornouaille dont les crus spécialisés produisent, avec un mélange savamment orchestré d’espèces de pommes (dont la Kermerrien) des cidres d’une couleur dorée-orangée, aux arômes complexes, teintés d’une légère amertume.

    Auteur F. Zégierman, relecture Keldélice.

     

    LE KIR BRETON

    Vous connaissez sans doute le kir classique à base de vin blanc et crème de fruits :

    en Bretagne, on a souvent coutume de servir lors de l’apéritif ou dans les restaurants du kir breton avec du cidre breton à la place du vin.

    Recette du kir breton:

    Rien de plus simple qu’un kir breton pour l’apéro :

    du cidre, une crème de fruit et c’est parti !

    Un grand classique de l’apéritif en Bretagne. Le produit idéal pour ce cocktail cidre-breton

    Ingredients:

    1 bouteille de cidre, De la crème (cassis, mûre, framboise, pêche, fraise de Plougastel…) Etapes : Ajoutez la dose de crème désirée dans des flûtes à champagne (environ 2 cl).

    Versez le cidre bien frais et mélangez.

    Trinquez !

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    16 commentaires
  • Je déteste ca !!!! Mais la génération de nos enfants adore ca !

     

    http://www.programme-tv.net/news/people/62809-mort-de-michele-ferrero-le-pere-du-nutella/

    Le créateur de la pâte à tartiner la plus célèbre du monde nous a quittés. Michele Ferrero est décédé ce samedi 14 février. Il était âgé de 89 ans.

    Sans lui, nos tartines et crêpes n'auraient pas le même goût : Michele Ferrero, le papa du Nutella, est décédé hier, à l'âge de 89 ans. Il était malade depuis plusieurs mois. Michele Ferrero devait son succès à son propre père, Pietro Ferrero.

    C'est en effet en reprenant et en modifiant la recette du pain au chocolat de ce dernier qu'il avait réussi à créer la pâte à tartiner la plus célèbre du monde, celle que des millions de consommateurs dévorent sur du pain, des crêpes, ou à même la petite cuillère. Chaque année, le Nutella rapporte 1,7 milliard d'euros à l'empire chocolaté Ferrero.

    Nutella est une marque déposée de pâte à tartiner à la noisette et au cacao, créée le 20 avril 1964 dans le Piémont par la société italienne Ferrero. Populaire, ce produit domine le marché mondial de la pâte à tartiner à la noisette et au cacao.

    En France, il représente environ 82 % du marché de la pâte à tartiner en 2011. Les pots de Nutella vendus sur le marché français sont fabriqués dans l'usine Ferrero de Villers-Écalles (Seine-Maritime), qui fabrique également des barres chocolatées Kinder Bueno. Cette usine (employant plus de 380 salariés) est le premier site mondial de production de Nutella. Il y est fabriqué plus de 800 000 pots par jour soit un tiers de la production mondiale (chiffre de 2013).

    Si vous aimez le NUTELLA ne regardez pas cette video !!!

     1 juillet 2010 Le Nutella n'est pas interdit ni dangereux pour la santé

    On a pu lire beaucoup de choses à propos du Nutella ces derniers jours: qu'il était dangereux pour la santé, qu'il allait devoir porter la mention

    "Attention danger, favorise l'obésité", et que l'Union européenne voulait en interdire la vente.

    Que les nombreux amateurs de la plus célèbre des pâtes a tartiner se rassurent, ce ne sont que de fausses rumeurs. La rumeur avait suscité une vive émotion d'abord en Italie puis en France, en se répandant à toute allure via Internet.

    Un groupe facebook a d'ailleurs été créé: Touche pas à mon pot de Nutella

    Des étiquettes plus claires Nutella, la célèbre pâte à tartiner, a encore de beaux jours devant elle puisque le Parlement européen a préciser mardi 29 juin dans un communiqué qu’il ne souhaitait pas interdire la commercialisation de ce produit. Ce texte qui doit encore être adopté par le conseil des ministres européens, en décembre, vise à lutter contre l'obésité et le diabète et prévoit que les étiquettes des produits alimentaires devront préciser la quantité de cinq éléments:

    énergie, glucides (sucres), lipides (graisses), acides gras saturés et sel. Et il n'est pas question non plus dans cette réglementation d'imposer des avertissements sur les étiquettes, du genre de ceux que l'on trouve sur les paquets de cigarettes.

     

    Nutella est montré du doigt comme étant un produit trop sucré et trop gras, pouvant favoriser le sur-poids. Il contient en effet 60 % de sucre et d'huile de palme. Le problème est qu'il est présenté (y compris dans les publicité) comme un aliment équilibré. Pas besoins d'être expert nutritionniste pour comprendre que, tout comme le chocolat, le nutella doit être consommé avec moderation. Un étiquetage plus claire devrait permettre d'éviter d'induire le consommateur en erreur.

    Ingrédients du Nutella: Sucre, huile végétale, noisettes (13%), cacao maigre (7,4%), lait écrémé en poudre (6,6%), lactosérum en poudre, émulsifiant (lécithine de soja), arôme.

     

    Un nouveau concept marketing a été mis en place dans quelques pays de l’Europe comme l’Allemagne et l’Italie, c’est le fast food réservé uniquement à la marque Nutella.

    Sûrement les plus grands gourmands seront ravis de l’apprendre, puisque l’idée de la marque italienne est de proposer un large choix de gourmandises : crêpes, cookies, muffins, milkshakes, pâtes, pizzas… La Nutelleria a beaucoup de chances de réussir dans d’autres pays du monde tels que la France et les Etats-Unis.

    Partager via Gmail Yahoo!

    19 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique