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      Exploitation:

    La langoustine est pêchée au chalut de fond par une flottille d’environ 80 bateaux français. L’Irlande et le Royaume-Uni sont les deux autres pays exploitants. Les pêcheries les plus importantes se situent au sud de l’Irlande, entre 100 et 150 m de profondeur, où les bateaux fréquentent, selon les rendements obtenus, la fosse des Smalls, les bancs de Labadie, de Jones et de Cockburn. Les rendements en langoustine varient au cours de l’année sur ces différentes pêcheries et sont surtout liés aux conditions hydrologiques.

    La langoustine

     

    L’exploitation française a lieu principalement à partir des ports de Bretagne Sud par des chalutiers des quartiers du Guilvinec, de Douarnenez et de Lorient.

    Ces bateaux d’une longueur moyenne de 20 m effectuent des marées de 14 jours. Ils utilisent un maillage de 100 mm, ce qui leur permet de s’orienter vers le poisson lorsque les prises de langoustine diminuent, sans crainte d’enfreindre la réglementation sur les mesures techniques.

    La configuration de la mer Celtique est telle (succession de dépressions vaseuses et de bancs) que les bateaux peuvent adopter un rythme quotidien de pêche de la langoustine le jour (quand elle est accessible) et de poisson la nuit. Ainsi, les maillages de 70 ou 80 mm, qui exigent une capture de plus de 35 ou 30%, respectivement, de langoustine, ne sont pratiquement plus utilisés par les navires français.

     

    La langoustine

    Depuis l’Irlande, la langoustine est surtout exploitée de mars à juillet. Les navires font des marées de 4 à 7 jours, et pêchent avec un maillage de 80 mm. La majeure partie des langoustines débarquées en France mesure de 11 à 15 cm.

    Le rejet en mer d’une grande partie des femelles capturées lors du tri à bord parce que trop petites (à âge égal les femelles sont plus petites que les mâles) et la faible accessibilité au chalut des individus grainés, font que les femelles ne représentent que 10% des débarquements en poids.

    Les rejets des bateaux français sont importants, contrairement à ceux des irlandais, qui commercialisent des langoustines plus petites . Des études ont cependant montré que seules 25% des langoustines rejetées à la mer survivent.

     Cuisson :

    Nature : avec du pain et de beurre salé de Guérande !

    une seule manière, faire bouillir de l’eau salée (sel de Guérande) dans une marmite la plus grande possible par rapport au volume des langoustines, les jeter dans l’eau bouillante, attendre le premier bouillon (2 ou 3 minutes) et immédiatement les sortir délicatement à la passoire.

     

    Le saviez-vous❓

    La saison des langoustines

     Photo Facebook

    Afin de respecter les périodes de reproduction, c'est maintenant la meilleure saison pour consommer la langoustine 
     
     Et cela jusqu'au mois d'octobre
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  • Le long des chemins

     

     

     

     

     

     

     

    Des fleurettes printanières le long des lurs et des chemins

     

     

     

    Des fleurettes printanières le long des lurs et des chemins

     

    Près de chez moi, dès que le printemps arrive les murs et les chemins se parent de petites fleurettes de toutes les couleurs

     

    Des fleurettes printanières le long des lurs et des chemins

     

     

     

    Des fleurettes printanières le long des lurs et des chemins

     

    Giroflées sur le coin d'un muret

     

    Des fleurettes printanières le long des lurs et des chemins

     

     

     

    Des fleurettes printanières le long des murs et des chemins

     

     

     

    Des fleurettes printanières le long des murs et des chemins

     

     

     

    Des fleurettes printanières le long des murs et des cheminsDes fleurettes printanières le long des murs et des chemins

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    L'érigéron est une très jolie petite fleur

     

    Des fleurettes printanières le long des murs et des chemins

     

     L'Erigeron Karvinskianus est une plante vivace à très longue floraison. Cette Vittadenia est une véritable plante de rocaille, muret, dallage... pouvant se développer dans très peu de terre, et qui fleurit continuellement d'avril/mai à novembre à exposition ensoleillée.

     

    Ses fleurs sont blanc-rosé à coeur jaune.

     

    Autres noms : pâquerette des murailles, vergerette, marguerite naine...

     

    Cette vivace demande très peu d'entretien et exige un sol bien drainé.

     

    A l'automne, coupez à ras vos touffes, elles repartiront plus belle au printemps.

     

    Plante rustique.

     

    Hauteur adulte : 20 cm. Espacer de 40 cm ou 6/m².

     

    Des fleurettes printanières le long des murs et des cheminsDes fleurettes printanières le long des murs et des chemins

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des fleurettes printanières le long des murs et des chemins

     

     

     

    Des fleurettes printanières le long des murs et des cheminsDes fleurettes printanières le long des murs et des chemins

     

     

     

     

     

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    bord de mer sur le ciel bleu

     

     Les tamaris sont en fleur le long du littoral, ils sont magnifiques sur fond de ciel bleu

    Les tamaris du bord de mer sur le ciel bleu

     

     | Le tamaris est un petit arbre très décoratif au jardin : son feuillage finement découpé et sa floraison aérienne ne passent pas inaperçu.

    Résistant et facile à cultiver, il saura agrémenter petits et grands jardins ! Le tamaris, un arbuste à la floraison rose très légère

     

    Les tamaris du bord de mer sur le ciel bleu

     

    Originaires d’Europe et d’Asie, les tamaris ou tamarix (de la famille des tamaricacées) sont de grands arbustes ou de petits arbres qui atteignent en général 4 à 5 mètres de haut.

    Leurs rameaux sont minces et flexibles et leur port souple et arrondi.   Le feuillage très fin rappelle celui de certains genévriers. Le tronc brun rougeâtre est lisse les premières années et devient tortueux avec le temps.

    Au printemps ou en été ils se couvrent de petites fleurs roses réunies en grappes pendantes ou en épis. Cette floraison très vaporeuse est d’une grande beauté.

    Tamaris de printemps ou d’été Le tamaris de printemps (Tamarix parviflora) fleurit dès la fin avril et en mai.

    Les tamaris du bord de mer sur le ciel bleu

    L’ensemble de la ramure est recouverte de petites fleurs rose clair. Sous leur poids, les branches ploient avec grâce. Tamarix tetrandra possède un port étalé et une écorce plus foncée.

      Le tamaris d’été (Tamarix ramosissima) porte d’août à septembre des grappes de fleurs rose saumon à l’extrémité des rameaux. Elles ressortent particulièrement sur le feuillage vert. La variété ‘Rubra’ a des fleurs rose vif, ‘Pink Cascade’ rose foncé.

    Plantez les tamaris à l’automne ou au printemps. Ne les transplantez pas ensuite, ils n’apprécient guère. Ils aiment les situations très ensoleillées.

      Les tamaris poussent très bien dans tous les sols ni trop humides ni trop calcaires, même pauvres, secs ou sablonneux. En sol moyen et bien drainé, leur croissance est moyenne. Ils supportent très bien les embruns.

     

    Les tamaris du bord de mer sur le ciel bleu

     

    Les tamaris du bord de mer sur le ciel bleu

    Giroflées sauvages

    Les tamaris du bord de mer sur le ciel bleu

     

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    Un bon dimanche à vous
     
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    Céanothe et fleurs de printemps

    Bleu pale, bleu tendre ou brillant, le céanothe nous offre en bretagne une floraison éblouissante sur le ciel tout aussi bleu qui peut faire penser au lilas

     

    Céanothe et fleurs de printemps

     

    Les Céanothes (Ceanothus), parfois appelés lilas de Californie pour leur parfum délicat et leurs jolis épis bleus, sont des arbustes faciles à cultiver, dont les nombreuses formes permettent des usages variés.

    Ce genre appartient à la famille des Rhamnacées et comprend 55 espèces d'arbustes et de petits arbres originaires d'Amérique du Nord, surtout de Californie et des montagnes du Mexique (Écozone néarctique).

     

    Description

    Les fleurs sont regroupées en petites grappes et apparaissent sur les rameaux d'un an, au printemps ou en été, selon les espèces, elles fournissent une floraison abondante, spectaculaire et de couleur bleu pâle, bleu tendre, brillant ou intense, légèrement parfumées chez certaines variétés. L'arbuste de par sa floraison intense attire une multitude d'insectes pollinisateurs - abeilles, bourdons etc par dizaines les jours ensoleillés...

    La végétation est opulente à croissance relativement rapide, avec des feuilles ovales, coriaces, de couleur vert foncé ou gris-vert, plutôt petites (de 2 à 4 cm de long), excepté chez certaines variétés. D'autres ont un feuillage persistant.

    La rhizosphère des Céanothes encourage les bactéries fixatrices d'azote.

     

    Céanothe et fleurs de printemps

     

     

    Céanothe et fleurs de printemps

     

     

    Céanothe et fleurs de printemps

     

     

    Céanothe et fleurs de printemps

     

     

    Céanothe et fleurs de printemps

     

     

    Céanothe et fleurs de printemps

     

     

    Céanothe et fleurs de printemps

    Giroflées sauvages sur le bord de mer

     

    Quelqu'un connait-il le nom de cet arbuste aux feuilles rouges que l'on voit partout dans nos haies au printemps ?

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     Février le mois du mimosa dans nos jardins

     Ces photos datent de quelques années,  cette année il est un peu en retard

    Un peu de lumière pour éclairer la grisaille de ces derniers jours

     

    Nous avons coupé celui du jardin car très envahissant, il y avait des rejets partout. On se contente de celui que l'on découvre le long des chemins !

     

    Le mimosa dans le langage des fleurs

    Jaune lumière, le mimosa est riche de significations : on le compare naturellement au soleil.
    Il symbolise également la magnificence, l’élégance, la tendresse et délivre un message d’amitié. Dans les songes, le mimosa est signe de sécurité.
     
    Il représente aussi l’énergie féminine, c’est pourquoi depuis 1946, il est l’emblème de la Journée de la femme le 8 mars.

      • Pour conserver le mimosa acheté chez le fleuriste, il est conseillé d’écraser le bout des tiges au marteau après les avoir coupées et de les mettre dans de l’eau tiède un peu sucrée.

     

    • Il existe une confusion bien ancrée dans nos habitudes :
    • ce que nous appelons communément « mimosa » est en réalité un acacia, l’acacia dealbata. De plus, ce que nous désignons par habitude sous le terme d’ « acacia » est en réalité un autre arbuste, le robinier ! Les espèces portant le nom de genre Mimosa sont plutôt appelées « sensitives ». De quoi s’y perdre…

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

    La ville de Mandelieu-La Napoule, dans les Alpes-Maritimes, est la capitale internationale du mimosa. Depuis 1931, on l’y célèbre d’ailleurs tous les ans, au mois de février lors d’une grande fête populaire qui dure 10 jours.
     
    Le mimosa fut importé en France sur la côte méditerranéenne depuis l’Australie au début du XIXème siècle par le grand explorateur James Cook. L’arbuste s’adapta alors formidablement à son nouvel environnement, appréciant le climat ensoleillé et les gelées peu fréquentes de la Côte d’Azur. Il prit ainsi racines dans les massifs de l’Estérel et du Tanneron. Les aristocrates européens furent les premiers à en orner leurs jardins.

     

    Mais l’histoire du mimosa est jalonnée d’embûches, et la première grande catastrophe arriva le 13 février 1929, par le gel et la neige. Alors deux ans plus tard, pour fêter la renaissance du mimosa et la persévérance de ses producteurs, la première Fête du Mimosa fit son apparition à Mandelieu-La Napoule, le 16 février 1931. Sa culture mobilise aujourd’hui une centaine de mimosistes locaux, et plus de 8 millions de bouquets sont expédiés chaque année à travers le monde.

    Comparé au soleil, le mimosa symbolise la magnificence, l’élégance, la tendresse et délivre un message d’amitié.

    Le mimosa ne se contente pas d’être l’arbuste décoratif du début de l’année, il est également exploité pour ses essences, et a contribué au même titre que la rose à l’essor de la ville de Grasse au XIXe siècle. Le mimosa entre ainsi dans la composition de parfums renommés, comme Amarige de Givenchy ou Paris d’Yves-Saint-Laurent. On trouve autour de Grasse de nombreuses plantations, et le célèbre arbuste a même marqué de son sceau le nom d’une ville de la région : Bormes-les-Mimosas. La Côte Atlantique n’est pas en reste : la douceur climatique de l’île de Noirmoutier permet de faire fleurir abondamment le mimosa, à tel point qu’on surnomme le lieu l’« île aux mimosas » !

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

    Mimosa et sable d'Australie

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

     

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

     

    Le mimosa sur les chemins de Bretagne

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