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    TOUT SUR LA FRAISE

    Bienfaits :

    Légère (seulement 35 kcal/100 g) et rafraîchissante (elle est composée à 90 % d'eau), la fraise est pour tous, le fruit qui symbolise l'été. Riche en vitamines C, elle arrive à point nommé pour prendre la relève des agrumes dans nos assiettes. Valeurs nutritionnelles pour 100 g Protides 0,7 g Glucides 7 g Lipides 0,5 g Calories 35 kcal La fraise est en effet particulièrement intéressante pour son apport vitaminique, qui stimule nos défenses immunitaires.

    Il suffit d’une portion de 150 g (ce que l'on consomme habituellement) pour couvrir l'apport journalier recommandé (AJR) en vitamine C, soit 80 mg pour l’adulte. L'apport en minéraux est modéré mais diversifié et équilibré. Comme dans la plupart des végétaux frais, le potassium domine avec environ 150 mg/100 g ; le calcium est présent avec un taux non négligeable de 20 mg/100 g ; le fer avec 0,4 mg/100 g (avec du cuivre et du zinc qui facilitent sa bonne assimilation) ; le magnésium avec 12 mg/100 g... Attention cependant, la fraise fait partie des aliments "histamino-libérateurs" : sa consommation libère de l'histamine dans l'organisme, ce qui provoque chez un sujet prédisposé l'apparition de phénomènes de type allergique (urticaire notamment).

     

    Conservation:

    Choisissez les fraises rouges, sans tâches, bien brillantes et fermes. Ne les prenez pas forcément grosses (elles sont alors souvent gorgées d'eau) mais toujours bien odorantes. Plaisir gourmand mais fragile, les fraises sont à consommer dès leur achat.

    Conservez-les, dans leur barquette perforée et dans le bac à légumes du réfrigérateur, au maximum 3 jours si elles ne sont pas très mûres. Elles se prêtent mal à la congélation, aussi, si vous en avez beaucoup, faites-en plutôt des confitures ou des coulis.

     

    Dégustation:

    Préparez-les au dernier moment, en évitant de trop les manipuler et de les exposer à la chaleur. Lavez-les rapidement, sans les faire tremper, et ne les équeuter qu'après, sinon elles perdent de leur saveur et de leurs vitamines, et risquent de se gorger d'eau.

    Pour que leur parfum s'exhale mieux, n'oubliez pas de les sortir du réfrigérateur quelque temps avant de les déguster.

    Servez-les en dessert : nature, au sucre, à la crème fraîche ou à la chantilly, macérée au vin rouge, au kirsch ou au champagne !

    Les fraises entrent aussi dans la composition de salades de fruits, de pâtisseries (tarte, charlotte…) et de confitures. Sans oublier le fraisier, qui n'est pas que le nom de la plante qui produit les fraises, mais aussi celui d'un gâteau composée de 2 couches de génoises parfumées au kirsch, séparées par une couche de fraises et de crème au beurre.

     

    Histoire:

    La fraise n'est pas véritablement un fruit, seuls devraient porter ce nom les akènes (grains durs) disséminés à la surface de la fraise, et qui dérivent effectivement des ovaires de la fleur. La partie charnue ne correspond en fait qu'au réceptacle hypertrophié de la fleur. Les fraises étaient déjà appréciées des Romains, mais il s'agissait alors de fraises sauvages ou fraises des bois. Leur culture n'a vraiment commencé qu'à la Renaissance.

    Comme les framboises, les fraises ont été longtemps négligées des jardiniers qui n'y voyaient qu'un fruit bon à occuper les femmes et les enfants. La culture a permis d'obtenir des variétés à fruits plus gros, et surtout des saisons plus longues.

    Le jardinier de Louis XIV, La Quintinie, parvenait à en produire dans les serres de Versailles dès le mois de mai. Au 18ème siècle, de grosses fraises venues d'Amérique, de Virginie et du Chili notamment, ont été introduites en France et cultivées d'abord dans la région de Plougastel, en Bretagne. La culture de la fraise s'est généralisée au 19ème siècle et a donné naissance à plus de 600 variétés Familles Aujourd'hui, les fraises sont produites dans de nombreuses régions françaises : Sud-Ouest, Sud-Est, Vallée du Rhône, Val-de-Loire, Bretagne…

    Les fraises d'Espagne :

    http://entre-sel-et-mer.eklablog.fr/les-fraises-espagnoles-scandale-ecologique-a64158813

    TOUT SUR LA FRAISE

    Présentes sur les marchés du début du printemps jusqu'à la fin de l'été, les fraises connaissent leur pleines saison en juin.

    Parmi elles :

    - La gariguette : elle représente plus de 20 % de la production française, c'est la première espèce à mûrir dans nos jardins. Elle convient bien aux plantations sous abri plastique. De forme légèrement allongée, elle pousse plus particulièrement dans un sol fertile, frais mais bien drainé et enrichi en matière organique.

    - La mara des bois : variété remontante, rouge brique, à chair tendre et de calibre moyen. Elle se récolte à partir de juillet. Son goût est proche de celui de la fraise des bois.

    - La selva : variété très rouge, virant sur le pourpre. Petite et ferme, cette fraise représente 12% de la production française . On la récolte de juin jusqu'à octobre, principalement en Rhône-Alpes,

    LA FRAISE DE PLOUGASTEL

    http://entre-sel-et-mer.eklablog.fr/la-fraise-de-plougastel-a82562484

     

     

    TOUT SUR LA FRAISE

    Demain, un dessert aux fraises ...

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    http://cuisine.journaldesfemmes.com/recette/1003234-gateau-magique-pommes-salidou

    Qu'est ce que LE SALIDOU ?

    Le Salidou (ou Crème de Salidou), spécialité créée sur la presqu'ile de Quiberon, est une pâte à tartiner composée de caramel au beurre salé.

    Spécialité gastronomique de la Bretagne et plus spécialement du Morbihan, le Salidou est généralement utilisé comme garniture pour les crêpes dites « au Salidou ».

    Produit de consommation disponible aujourd'hui dans la plupart des grandes surfaces de la région bretonne, la production est cependant assurée par des entreprises locales dont la plupart datent du milieu des années 1950, date de création du Salidou par les patissiers quiberonnais.

    (Le salidou est une crème de caramel au beurre salé préparée par la confiserie "La Maison d'Armorine" à Quiberon.

    Dégustation : comme une pâte à tartiner, le salidou se tartine sur vos crêpes, gaufres et tartines pour les goûters et les desserts. Il est aussi possible de le réchauffer au bain marie et de l'utiliser en coulis sur vos glaces et desserts. Une merveille d'équilibre sucré-salé).

    Ingrédients / pour 8 personnes

    4 œufs (à température ambiante) 150 g de sucre, 1 cuillère à soupe d'eau, 125 g de beurre ,115 g de farine, 1 pincée de sel ,500 ml de lait entier, 4 cuillères à soupe de salidou (caramel au beurre salé), 1/2 gousse de vanille, 2 pommes, Quelques gouttes de jus de citron

    Réalisation:

      Préparation Gâteau magique pommes salidou 

    Préchauffer le four à 150°C.

    Faire fondre le beurre au micro-ondes et le laisser tiédir.

    Faire chauffer le lait et la demi gousse de vanille grattée, et laisser tiédir.

    Séparer les jaunes et les blancs.

     

    2  - Avec le robot ou au batteur électrique :

    Battre les jaunes d'œufs, le sucre et l'eau pendant quelques minutes.

    Ajouter le beurre fondu tiédi et continuer à battre.

    Ajouter 2 cuillères de salidou, et continuer à battre.

    Tamiser sur le mélange la farine et le sel.

    Mélanger rapidement.

    Ajouter le lait tiédi débarrassé de la gousse progressivement et battre pour tout bien mélanger.

    3 -  Laver et sécher les fouets.

    Monter les blancs et quelques gouttes de jus de citron en neige ferme.

    Incorporer délicatement les blancs à la pâte à l'aide d'une spatule.

    Peler et couper les pommes en dés, les mettre directement au fond du moule en silicone (elles vont remonter à la cuisson).

    Verser ensuite le mélange dans le moule en silicone.

    Pour finir Enfourner pendant environ 50 minutes.

    Vérifier la cuisson, si le gâteau est encore tremblotant rajouter quelques minute.

    Démouler après complet refroidissement, avec une spatule napper le dessus du gâteau des 2 cuillères restantes de salidou.

     

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    http://www.elle.fr/Elle-a-Table/Les-dossiers-de-la-redaction/News-de-la-redaction/Le-gateau-magique-la-nouvelle-merveille-qui-fait-le-buzz-2774604

    Gâteau magique

     Préparation 10 mins Cuisson 50 mins Temps total 1 heure

      15 Ingrédients :

    4 oeufs, 150 g de sucre en poudre, 1 cs d'eau, 125 g de beurre fondu, 115 g de farine, 500 ml de lait tiède, 1 gousse de vanille grattée

     

    Instructions:

    Préchauffez le four à 160°

    Séparez les blancs des jaunes d'oeufs,puis montez les blancs en neige et réservez

    A l'aide d'un batteur électrique, mélangez les jaunes avec le sucre jusqu'à ce que le mélange mousse, puis ajoutez le beurre fondu, les graines de vanille, puis la farine tamisée petit à petit.

    Ajoutez enfin le lait et l'eau (toujours à l'aide du batteur)

    Et pour finir versez les blancs en neige dans la préparation.

    Il faut les casser à l'aide d'un fouet grossièrement en morceaux de la taille de noisette au maximum La pâte est aussi liquide qu'une pâte à crêpe, pas d'affolement.

    Pour la cuisson, versez la pâte dans un plat en pyrex de 20x20cm de côtés beurré et fariné, et enfournez pendant 50 à 60 min ,jusqu'à que le dessus du gâteau soit doré.

    Laissez refroidir puis mettez au frigo 4h minimum.

    Pour démouler, passer un couteau le long des parois du gâteau, patience il accroche un peu c'est normal

    Saupoudrez de sucre glace avant de servir.

     

     

    A compléter avec les livres :

    Gâteaux magiques d’Aurélie Desgages, photographies d'Aline Princet et stylisme de Jesiel Maxán, Hachette Cuisine, 7,99 €

    *Le gâteau magique de Christelle Huet-Gomez, Marabout, 7,99€ Incroyables gâteaux magiques de Véronique Cauvin, Solar, 6,99€.

    Découvrez ses conseils pour Réussir à coup sûr son gâteau magique.

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    http://www.grands-meres.net/6-astuces-pour-reussir-son-poulet-roti/

    Comment réussir son poulet rôti ?

    Comment choisir son poulet ?

    Le poulet rôti est un des plats incontournables de la cuisine française. Les adultes comme les enfants en raffolent. En famille, entre amis, le dimanche, toutes les occasions sont bonnes pour déguster un bon poulet rôti ! Le choix du poulet est déterminant pour réussir son plat.

    Malheureusement les qualités gustatives des poulets ne sont pas les mêmes pour tous. Grand-mère vous donne ses conseils pour bien le choisir, ainsi que 6 astuces pour attendrir et faire dorer un poulet !

     

    Astuces de grand-mère pour réussir son poulet rôti

     

    Astuce n°1 :

    Le citron Mettez deux grosses rondelles de citron à l’intérieur de votre poulet pour qu’il soit tendre ! Pour dorer votre volaille, vous pouvez aussi l’arroser de jus de citron.

     

    Astuce n°2 :

    Beurre et farine Enduisez votre poulet de beurre et saupoudrez-le légèrement avec de la farine, il sera doré et croustillant ! Agrémentez d’oignons et d’ail, ce sera un régal …

     

    Astuce n°3 :

    L’huile d’olive Badigeonnez à l’aide d’un pinceau culinaire votre poulet avec de l’huile d’olive, votre poulet sera juteux. N’oubliez pas de l’arroser régulièrement pendant la cuisson.

     

    Astuce n°4 :

    Le gros sel Frottez votre poulet avec du gros sel, vous obtiendrez un poulet doré. Pour lui donner encore plus de goût, vous pouvez mettre du thym à l’intérieur de votre poulet.

     

    Astuce n°5 :

    Le lait Versez un peu de lait directement sur votre poulet. Saupoudrez-le légèrement de farine. Résultat : Un poulet doré et savoureux. Accompagné de pommes de terre, ce sera un délice !

     

    Astuce n°6 :

    Le petit suisse Glissez un petit suisse à l’intérieur de votre poulet pour qu’il soit moelleux.

     

    Comment bien choisir son poulet ?

    Le poulet industriel (dit intensif) à bas prix n’a guère de goût… De plus, ce poulet est nourrit principalement de graisses et farines animales. Le jour, il ne l’a jamais vu, car il est resté enfermé durant toute sa vie serré comme une sardine contre les autres poulets.

    Le poulet industriel supérieur ne contient pas de farines animales à la différence du poulet industriel « intensif ».

    Le poulet Label Rouge est nourrit essentiellement de céréales. Il est plus âgé que le poulet industriel. Le label rouge respecte un cahier des charges bien précis (âge d’abattage, analyses sensorielles, etc.). Ce poulet vit en plein air ou en liberté, il a donc une meilleure qualité de vie qui se ressent au goût !

    Le poulet fermier « élevé en plein air » est très gouteux, et plus onéreux.

    Le poulet de Bresse AOC (Appellation d’Origine Contrôlé) est d’une qualité et d’un contrôle garanti. Savoureux et gouteux, il émoustillera vos papilles !

    Le poulet fermier bio (AB) est un des plus gros et des mieux nourrit. Il respecte le cahier des charges de l’agriculture biologique. Il contient moins de salmonelles que le poulet industriel intensif. Son prix est évidemment beaucoup plus cher !

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  •  Bonjour, quand j'étais enfant, chez notre "tante Paulette"dans les cotes d'Armor, appelées à cette époque les "Cotes du Nord", nous mangions en dessert une bouillie que j'adorais et je ne m'étais jamais posée de question au sujet de cette fameuse bouillie !

    Et j'ai trouvé ces recettes

     

     

    Jusqu'au XIX Siècle la bouillie d'avoine constituait la nourriture de base des paysans bretons

    BOUILLIE D'AVOINE

    Pour 4 Personnes, préparation 5 min - Cuisson 24 mn

    70 cl de lait demi-écrémé

    80 g de crème d'avoine (dans les épiceries bio, rayon farines)

     200 g myrtilles

    200 gde groseilles

    4 cuill à soupe de sirop d'érables

    '

    1 - Versez 40 cl de lait dans une casserole et ajoutez les flocons d'avoine. Laissez cuire sur feu moyen pendant 20 mn, sans faire bouillir le lait.

     

    2 - Ajoutez ensuite le lait restant et la crème d'avoine. Mélangez à l'aide d'une cuillère en bois et laissez cuire à feux doux pendant 4 ou 5 minutes

     

    3 - Pendant ce temps, lavez et séchez délicatement les fruits. Versez la bouillie dans quatre ramequins, répartissez les myrtilles et les groseilles sur chacun d'eux et terminez par 1 cuillère à soupe de sirop d'érable.

     

     

    La bouillie est un mode d'alimentation très ancien.

    En effet, les Égyptiens se nourrissaient de bouillies de millet, d'orge et de blé. Les Grecs y mêlaient des olives. Le repas quotidien des légionnaires romains était habituellement une bouillie de froment et d'épeautre, accompagnée d'oignons, de poisson salé et de fromage.

    Quant au germain et au francs, ils consommaient surtout de la bouillie d'avoine.

    La bouillie de millet était très répandue en Allemagne au Moyen Âge et encore au XIX e siècle en Russie. Dans les provinces françaises, le repas du soir se composait traditionnellement d'une bouillie de maïs ou de sarrasin.

     BOUILLIE GWINIZ DU (Blé noir)

    100 gde farine de blé noir

    1 litre de lait ribot chaud (laez ribod)

    5 dl de lait ribot froid

    Délayez la farine de blé noir avec le lait ribot froid, puis ajoutez le lait ribot chaud. Mettez à cuire avec un peu desel en remuant constamment pour empecher la bouillie de coller. Une fois cuite, la bouillie est consommée dans la marmite ou elle a été cuite, on fait un trou au milieu avec une cuillère, on ymet un gros morceau de beurre et chacun vient y tremper sa cuillère.

     

    BOUILLIE DE FROMENT

    2 litres de lait entier

    6 cuillères à soupe bombées de farine de froment

    1 pincée de sel beurre 1/2 Sel

    Sucre en poudre

    Mélangez dans une terrine : la farine, le sucre, le sel. Délayez doucement avec un peu de lait froid et ajoutez petit à petit le lait en évitant de faire des grumeaux.

    Mettez dans une casserole sur feu doux en remuant à la cuillère en bois pour faire épaissir. Laissez bouillir toujours en remuant quelques minutes et laissez à tout petit feu au moins 15 minutes pour qu'une "gratte" délicieuse se produise dans le fond de la casserole.

    Cette "gratte" ne doit pas bruler - ce qui communiquerait un gout désagréable au tout - mais etre blonde. Ajoutez un beau morceau de beurre.

     

    LA SOUPE AU LAIT

    1 litre de lait entier

    2 gros oignons

    50 g de beurre 1/2 sel

    sel et poivre

    Faire roussir les oignons émincés dans le beurre. Jetez dessus le lait amené à ébullition, salez et poivrez. Versez dans la soupière sur de fines tranches de pain rassis ou morceaux de crepes de blé noir.

    et

    Traditions et cuisines de Bretagne

    RECETTES BRETONNES DE NOS GRANDS MERES

    Louis Gildas Edition CPE

     

    LE LAIT RIBOT

    On m'a demandé ce qu'était le lait ribot, pardon j'avais oublié de le préciser !

    A l’origine, c’est le liquide qui s’écoule de la baratte (ribotte en breton) lorsque l’on bat le beurre. Maintenant, c’est du lait maigre (1 à 3 % de matière grasse), fermenté (comme le yaourt) mais avec d’autres souches de bactéries.

    Lait battu, babeurre, labné, lben, buttermilk... sont substituables dans les recettes. On les trouve au supermarché, à côté du lait frais.

    Au goût, on dirait du yaourt à boire nature, plus liquide et plus onctueux.

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