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     8EME FINALE ( FRANCE - NIGERIA)

                                                           

     

                                                          

     

    Le Mojito fait partie intégrante de la culture Cubaine. C'est un cocktail frais et rafraichissant, à partager entre amis.

    PREPARATION DE LA RECETTE:

    Pour en boire la quintecence, il faut respecter l'ordre de la préparation.

    * Dans un verre de taille moyenne (contenance 40 cl environ), mettez 3 cuillères à café de sucre de canne. * Ajoutez-y le jus d'1/2 citron vert.

    * Coupez en 3 ou 4 votre branche de menthe et mettez-la dans le verre (le fait de la couper permet à la saveur de la menthe de mieux se diffuser).

    * Ajoutez un peu d'eau gazeuse (environ 3 cl) puis avec une cuillère à café, remuez bien le tout et écrasez la menthe (insistez sur les branches plus que sur les feuilles, sinon il y aura pleins de petits bouts de menthe assez désagréables au moment de déguster votre cocktail!).

    * Ajoutez 5 glaçons environ.

    * Ensuite versez 6 cl de rhum (en versant à débit moyen). Pour la dose plutôt chargée, comptez jusqu'à 5; pour la dose légère jusqu'à 4.

    * Enfin, complétez avec de l'eau gazeuse.

    Recette proposée par Laurent Benmayor

    Liste des ingrédients Pour un verre… il faut :

    * 3 cuillères à café de sucre de canne en poudre

    * 1/2 citron vert (j'ajoute le citron coupé en petits morceaux)

    * 1 branche de menthe bien fournie

    * de l'eau gazeuse (Le Perrier est plus adapté que la limonade)

    * du rhum cubain (Habana club blanco ou 3 añejo, ou Bacardi par exemple)

    * des glaçons #

    cependant si vous mettez de la limonade on peut modérer les proportions de sucre

     

    Sur ce site, j'ai trouvé une photo de la pizza vendue au mètre comme nous l'avions mangée en Italie (je crois que c'est un site belge)

     https://www.facebook.com/pages/Pizzeria-da-Baffo-Bianco/552362061464523?hc_location=timeline

     

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    ALLEZ LA FRANCE !

                                       FRANCE - EQUATEUR

                                  

    Ce soir les marchands de pizza vont faire "leur beurre" si j'ose dire, la pizza est l'amie des footeux devant leur télé, mais d'ou vient-elle ?

                                                           

    La pizza est un plat d'origine italienne fait d'une pâte à pain étalée et de coulis de tomate, recouverte de divers ingrédients et cuite au four (à bois, à gaz ou électrique). La pizza est un des mets de la cuisine italienne qui s'est établi presque partout dans le monde, souvent en s'adaptant aux goûts locaux.

     Selon Alain Rey, le mot « pizza » est « attesté primitivement au sens de « fouace », « galette », dès 997 en latin médiéval, depuis 1535 en napolitain et à partir de 1549 en italien florentin, spécialisé dans son sens actuel depuis 1570.

    L'étymologie exacte du mot est difficile à déterminer et il existe plusieurs théories à ce sujet : l'origine pourrait être le haut-allemand « bizzo », « morceau de pain », ou le grec « pitta », « fouace ».

                                                              

    Histoire:

    Jusqu'à l'introduction de la tomate (un des principaux ingrédients de la pizza actuelle) en Europe et à son utilisation en cuisine à la fin du XVIIe siècle, la dite « pizza » d'alors n'avait aucun rapport avec celle d'aujourd'hui : elle se présentait sous différentes formes et de plusieurs types dont la variété ne se limitait pas aux garnitures mais s’élargissait aussi aux modes de cuisson (four ou poêlée dans l'huile), et pouvait être sucrée dans sa version bourgeoise et salée dans une version plébéienne.

    Contexte :

    Dans la seconde moitié du XIXe siècle, des médecins hygiénistes tels Enrico De Renzi, Achille Spatuzzi, Luigi Somma… qui s'intéressent à l'alimentation du popolo minuto napolitain – classent la pizza parmi l'un des « aliments des pauvres » (cibi dei poveri).

    En 1884, Matilde Serao écrit : « La pizza entre dans la grande catégorie des comestibles qui coûtent un "sou" et avec laquelle est constitué le déjeuner ou le dîner de la très grande majorité du peuple napolitain ». Et, c'est vraiment son caractère populaire (simplicité de la préparation, qualité gustative et faible coût) qui permit le développement d'un phénomène qui pouvait s'enraciner et croître seulement dans une ville à forte densité démographique et dont la population souffrait d'une extrême précarité.

     

    les Italiens utilisaient également les mots focaccia, schiacciata (it), stiacciata. C'est seulement à la fin de la Seconde Guerre mondiale que le terme pizza se diffusera en Europe et dans le reste du monde. Royaume de Naples

    En 1789, Ferdinando Gallieni dans un ouvrage posthume, définit la pizza comme un nom générique de toutes les formes de tourtes, de focaccia et schiacciata, et pour les distinguer, il énumère les principales : pizza fritta, pizza a lo furno co' l'arecheta, pizza rognosa, pizza stracciata, pizza di cicoli, pizza doce, pizza di ricotta. En 1797, l'abbé Francesco D'Alberti di Villanova publie à Lucques un Dizionario universale critico della lingua italiana où seul le terme « focaccia » est précisé, et dans une seconde édition de 1804 apparaît le mot pizza défini comme une sorte de mets ou une espèce de focaccia.


     

    Références littéraires :

    Dans les années 1850, la bottega del pizzajolo - qui sera définie comme pizzeria quelques décennies plus tard dans la lexicographie - devient un lieu de socialisation comme le décrit Francesco De Bourcard dans Usi e costumi di Napoli .

    En 1847, l'ouvrage d'Emanuele Bidèra Passegiata per Napoli e Contorni décrit également la bottega del pizzajuolo avec des pizze ornées de mozarelle (ova bianchissime dans le texte) et de tomates (ova rosse) et petits poissons. Le Corricolo d'Alexandre Dumas parle plutôt de pizzaiuolo ambulant qui l'hiver vendait la pizza et en été se transformait en vendeur de pastèque (cocomero dans le texte) : il énumère aussi différentes sortes de pizza et évoque son aspect économique qui pour deux sous doit rassasier toute une famille.

    Italie unie -  Les dictionnaires qui paraissent à Naples après l'Unité de l'Italie continuent de définir la pizza comme une focaccia ou schiacciata.

                                                

    Enfin, en 1905, dans le Dizionaro Moderno, d'Alfredo Panzini (it) la pizza est définie comme le nom vulgaire d'un mets napolitain très populaire, et apparaît également, pour la première fois, le terme de pizzeria qui définit un commerce où se préparent et se consomment pizzas et autres mets napolitains. Le Zingarelli (it) de 1922 la dit d'étymologie incertaine et le mot pizzaiolo expliqué est celui qui fait et vend la pizza à Naples. Dans le Glossario latino-italiano de 1944 de Pietro Sella, le mot focaccia est dit en napolitain pizza. En juin 1889, le chef Raffaele Esposito, de l'illustre pizzeria de la salita Sant'Anna di Palazzo, dite aujourd'hui « Pizzeria Brandi », décide de baptiser« Margherita » une pizza à base de mozzarella, de basilic frais et de tomates (les couleurs du drapeau italien : vert, blanc, et rouge), en l'honneur de la reine Marguerite venue à Naples à l'occasion de l'inauguration des travaux du Risanamento.

    En appréciant une spécialité locale notoirement plébéienne, à sa manière, la reine renforçait les liens entre le royaume d'Italie et le peuple napolitain : et la pizza devint, ainsi, encore plus populaire parmi les Italiens.

                                                   

    Depuis 2008, la pizza napoletana (à ne pas confondre avec la variété aux anchois appelée en France « pizza napolitaine », à Naples « pizza Romana » et ailleurs en Italie « pizza napoletana » ou « pizza Napoli ») est une « spécialité traditionnelle garantie » (specialità tradizionale garantita).

    Le 25 mars 2011, est officiellement déposée une demande de candidature pour l'inscription de L'arte tradizionale dei Pizzaiuoli napoletani (l'art traditionnel des pizzaiuoli napolitains) sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'UNESCO.

     

    Aspects culturels :

    Trattoria vantant ses 500 pizzas Alfonso Pecoraro Scanio, Ministre italien de l'agriculture, a demandé le classement de la pizza auprès de l'UNESCO, arguant du fait que les spécialités culinaires sont l'expression culturelle d'un peuple, et dépositaires de sa tradition et de son identité. La recette de la pizza napolitaine a notamment été inscrite au Journal officiel italien en mai 2004.

    Désormais populaire et omniprésente presque partout dans le monde, la pizza a pris un statut de produit à la mode. Elle est certainement l'un des symboles de la mondialisation et de la standardisation de la nourriture des populations. En italien, on emploie couramment la métaphore de la pizza pour dire qu'il ne suffit pas de savoir quelque chose pour savoir le faire. En effet, la recette de la pizza est on ne peut plus simple, mais la pratique requiert un grand art. Toujours par métaphore, le mot pizza désigne dans la langue italienne le boîtier contenant une pellicule de film (et par extension la pellicule elle-même), ou encore une personne ou une chose particulièrement ennuyeuse.

    Qualité des ingrédients et fabrications Le choix dans les produits agricoles employés (fromages, huiles, légumes, farines de céréales ...) ont une influence certaine sur la qualité gustative des pizzas.

     

    Préparation de la pâte : eau, sel, farine de blé, levure, huile d'olive.

    On mélange, on forme des boules grosses comme le poing, et on laisse reposer à température ambiante trois à quatre heures ;

    Préparation de la pizza :

    on étale chaque boule (les professionnels le font à la main), sur lesquelles on place les ingrédients ; Cuisson : au four à feu de bois.

    Les meilleurs fours actuellement sont les fours à feu de bois et à régulation électronique de la température : les pizzas sont sur un plateau de pierre tournant qui s'élève à l'intérieur du four pour modifier l'exposition à la chaleur des pizzas.

    La pizza margherita, la plus simple : une cuillère à soupe de tomates, de la mozzarella écrasée avec les mains, une ou deux feuilles de basilic frais, un soupçon d'huile d'olive, et au four, et consommer rapidement, elle ne demande pas plus.

                                                                 

    Si vous voulez en savoir plus :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Pizza

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    http://cuisine.journaldesfemmes.com/encyclopedie/fiche_composant/130/abricot.shtml

     

     

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      Bienfaits:

    L'abricot est un fruit très léger, avec un apport calorique très modéré (47 kcal/100 g). Un fruit moyen n'apporte donc que 30 calories, tout en procurant une agréable sensation rafraîchissante grâce à sa légère acidité. Valeurs nutritionnelles pour 100 g Protides 0,8 g Glucides 10 g Lipides 0,1 g Calories 47 kcal L'abricot est avant tout bien pourvu en provitamine A, comme le prouve sa belle couleur orangée.

    Deux petits fruits suffisent en effet pour couvrir la moitié des besoins quotidiens en carotène, ce précieux antioxydant qui joue un rôle protecteur contre le cancer. Il fournit également une quantité non négligeable de vitamine C. L'abricot est aussi l'un des fruits les plus riches en minéraux et oligo-éléments (600 mg/100 g). Il fournit une quantité incroyable de potassium (315 mg/100 g) qui fait de lui le meilleur allié des sportifs. Le potassium a en effet la vertu de favoriser l'élimination des toxines et la récupération.

    Consommez-le donc sans hésiter après l'effort, frais ou séché. Enfin, un abricot mûr à point est une excellente source de fibres, de très bonne qualité, puisque la moitié sont des pectines. Ses propriétés douces et régulatrices agissent efficacement sur la paresse intestinale.

     

     

    Enfin, sa légère acidité en fait un fruit très digeste, très bien assimilé par l'organisme, qui convient d'ailleurs parfaitement à l'alimentation des bébés, réduit en purée.

    Sachez par ailleurs que l'huile extraite de son noyau est un véritable cocktail d'acides gras essentiels, de vitamines A et E, qui en font un produit de beauté précieux.

    Nourrissante et hydratante, elle assouplit et revitalise les épidermes secs et sensibles.

     

     

    Dégustation:

    Choisissez-le mûr à point pour bénéficier de toutes ses qualités nutritives et gustatives. Plutôt qu'à sa couleur, qui ne reflète guère sa maturité, fiez-vous à son odeur très parfumée et à sa souplesse au toucher. Un abricot cueilli ne mûrit plus. Conservez-le au frais mais pas au réfrigérateur, qui lui fait perdre sa saveur. Fragile, il devra être rapidement consommé, deux ou trois jours maximum après l'achat.

    L'abricot supporte en revanche bien la congélation. Préparez-vous alors un hiver ensoleillé en mettant en sachet des oreillons lavés et essuyés.

    Consommez-le nature, lorsqu'il est frais, en fruit de table ou en salade. Il accompagne volontiers fromages blancs et crèmes glacées, réduit en purée ou en coulis.

    Il est aussi très savoureux en tarte (posez alors les oreillons côté peau afin de ne pas détremper la pâte), en crumble, en charlotte ou en mirliton (pâte garnie d'un appareil crémeux et parsemé d'amandes effilées).

                                                       

    Dégustez-le aussi poché, entier, dans un sirop aromatisé. Les oreillons, eux, se prêtent à de jolies cuissons, tout simplement revenus dans un peu de beurre et de sucre, ou enfermés en papillote dans le four. Ils peuvent être relevés d'épices, telle que la vanille, la cannelle, la badiane ou de menthe et de basilic. La pectine que renferme l'abricot le rend parfait pour la réalisation de compotes et de confitures. Si vous utilisez des fruits trop mûrs, compensez alors le manque d'acidité en ajoutant du jus de citron qui permettra à la confiture de "prendre".

    Notre conseil : conservez quelques noyaux, concassez-les et ajoutez-les, glissés dans une mousseline, à l'intérieur du chaudron. Ils parfumeront la confiture d'une subtile odeur d'amandes.

     

                                                     

     

    L'abricot peut tout à fait accompagner des plats salés, en particulier les volailles : dinde, chapon mais aussi cailles, se trouvent réveillées par sa saveur légèrement acidulée.

    Osez également le mariage abricot et fromage de chèvre frais, sous la forme d'une terrine ou en arrosant de coulis le fromage à même l'assiette. Surprenant et délicieux !

    Séché, il entre dans la composition d'entremets et de compotes, hivernales et énergétiques, avec des pruneaux et des dattes. Il se glisse dans des farces salées et sucrées, souvent à base de poudre d'amandes. Il accompagne les viandes en ragoûts et les fameux tajines orientaux.

     

    La version au sirop, plus sucrée, ne vaut pas le fruit frais mais parvient toutefois à s'y substituer quand la saison est encore loin. Réduisez alors la quantité de sucre de vos préparations.

                                                   

    http://lesgourmandisessucreessaleesdemax.e-monsite.com/pages/etiquettes/etiquettes-confitures-9.html

    un site pour les étiquettes de confitures !

     

     

    DES RECETTES :

    http://www.750g.com/recettes_abricots.htm

                                                               

                                                              

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    Hier je suis allée au marché et j'ai acheté les premières cerises de CERET à 3 Euros 50 , le Kilo

     

    Du mois de mai à mi-juin, la cerise de Céret s'invite sur vos tables de desserts!

     

    La cerise de Céret, est un produit primeur du Lanquedoc Roussillion.

    La variéte Burlat est le plus renommé de toutes, mais il y a aussie le Starking Hardi, la bigalise, le primulat qui sont des belles varietées non négligables.

    La production de cerise est une vrai tradition à Céret, ou il y a une annuelle fête de la cerise, qui donne a tous les produteurs de fruits, l'occasion de vendre leur production primeur directement au consommateur au lieu de passer par les grossistes de fruits et légumes.

                                                          

                                             Fête de la Cerise et Céret de Bandas Samedi 31 mai au dimanche 1er juin 2014

     

    Grand marché à la cerise Plein d'activités sympas autour du délicieux fruit rouge local : rapidité de dénoyautage, concours de cracher de noyaux, concours de clafoutis...

    Egalement expo sur la cerise et plein d'autres animations.

    Céret est la capitale française de la cerise et en produit près de 4 000 tonnes chaque année.

    Office de Tourisme de Céret :

    1 Avenue Georges Clémenceau 66400 Céret, Tél : 04 68 87 00 53

    http://www.ot-ceret.fr/cer-4100.php?CatID=5&ArtID=118

     

                                           

     

     

    Pour l'alimentation

     

    Cerise crue Valeur nutritionnelle moyenne pour 100 g Apport énergétique Calories 68 kcal (Joules) (284 kJ)

    Principaux composants Eau 81 g Glucides 15 g Protides 0,8 g Lipides 0,4 g Fibres alimentaires 1,7 g Minéraux & Oligo-éléments Calcium 17 mg Chlore 3 mg Cuivre 0,1 mg Fer 0,4 mg Fluor 0,018 mg Magnésium 13 mg Manganèse 0,1 mg Nickel 0,05 mg Phosphore 71 mg Potassium 250 mg Sodium 3 mg Soufre 9 mg Zinc 0,15 mg Vitamines Provitamine A 0,4 mg Vitamine B1 0,05 mg Vitamine B2 0,06 mg Vitamine B3 (ou PP) 0,35 mg Vitamine B5 0,2 mg Vitamine B6 0,05 mg Vitamine B9 0,034 mg Vitamine C 15 mg Vitamine E 0,13 mg

      La cerise fournit 68 kcal pour 100 g et contient de la vitamine C et de la provitamine A.

                                                       

    Les cerises se consomment nature, au sirop (amarena), à l’eau de vie, en confiture, en pâtisserie, et même en tisane.

    Fruit frais, juteux, parfois acidulé ; les plus appréciés sont les bigarreaux, mais certaines variétés supportent mal le transport. La cerise à croquer doit être charnue et brillante avec un pédoncule bien vert ;

     

     

     
     

     

     

    - Conserves à l’eau-de-vie :

    ce sont les griottes qui conviennent le mieux à cet usage ;

    - Pâtisserie : tarte, clafoutis, mendiant …

    - Confitures

    - Boisson, par distillation ou macération, pour la préparation du kirsch (Alsace), du guignolet (Anjou), du marasquin (ou maraschino en italien (Dalmatie), de la Kriek (Belgique) et de la Ginjinha au (Portugal).

                                                           

    Il existe aussi des recettes locales :

    macérées au moins un jour dans du vin rouge sucré (recette catalane) ;

    macérées au moins trois jours dans du vinaigre (sans les queues) (recette allemande) pour accompagner les farces et le gibier.

     

     

    GATEAU AUX CERISES :

    125g de sucre en poudre

    80 de poudre d'amandes

    80 g de beurre (huile chez moi)

    100 g de farine

    2 gros oeufs

    1 CC de levure

    Mélanger le sucre et les oeufs battus.

    Ajouter la matière grasse.

    Incorporer la farine et la levure, puis la poudre d'amandes.

    Verser les cerises et remuer délicatement pour les enrober de pâte.

    Beurrer un moule et verser la préparation.

    Cuire dans le four préchauffé à 180° pendant 30 minutes.

                                   

    Recette des cerises à l'eau de vie :

    Remplir un bocal avec des griottes dont on a coupé les queues à moitié et piqué le dessus de la peau avec une aiguille.

    Préparer de l’eau de vie sucrée, avec 350 grammes de sucre pour 1 litre d’eau de vie basique (60°), et la verser dans le bocal contenant les cerises, jusqu’à ce qu’elles soient bien recouvertes.

    Laisser reposer les cerises à l’eau de vie, pendant au moins trois mois (à la cave), avant de les déguster, en accompagnement d’un dessert au chocolat et d’un café fort, « à boire avec modération ».

     

     

    Pour la santé

     

                                                     

     Les cerises fraîches détiennent le record en β-carotène (0,4 mg pour 100 g), et sont très riches en vitamine A (vue), vitamine E (peau et vaisseaux sanguins), et sont légèrement laxatives. Elles contiennent des sucres (15 g pour 100 g, dont le lévulose), de la pectine (utile pour les confitures), de la vitamine C et du nitrate de potassium.

    Le potassium qu’elle contient lui donne des propriétés diurétiques et ses fibres stimulent le fonctionnement intestinal. Leur teneur calorique reste raisonnable à 65 à 68 kcal pour 100 g.

    Les pédoncules, ou queues de cerises, se préparent en décoction — peu agréable à boire — et sont utilisées notamment contre l’inflammation des voies urinaires, la cystite, la goutte et l’hydropisie.

                                                         

     

     

     

     

     

     

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    je pars quelques jours en Bretagne pour garder mes petites filles bretonnes ....

     

    je serai de retour dans quelques jours

    Profitez en pour voyager virtuellement dans mes rubriques Bretagne, Roussillon, Provence ou Ailleurs si vous en avez envie !

     

     

    Profitez pour déguster une crème catalane :

                                                                

     Crème catalane

    La crème catalane (crema catalana en catalan) est un dessert consistant en une crème épaisse cuite qui s'utilise beaucoup en pâtisserie dans la cuisine catalane. Parfumée avec des zestes de citron et de la cannelle, elle se sert avec une couche de sucre blanc brûlé (cette caramélisation la rapproche de la crème brûlée) dans une assiette, un ramequin en grès à fond plat ou en une petite cassolette en terrisse.

    Histoire :

    Autrefois, elle était appelée crema cremada (crème brûlée) ou crema de Sant Josep (crème de Saint Joseph), parce qu’il était de tradition de la servir en Catalogne le jour de la fête de ce saint, le 19 mars, la veille du printemps. Elle s'utilise par exemple au lieu de la crème patissière pour farcir pâtisseries, feuilletés, tortells, coques catalanes, ramblas ou xuixos, dans les cuisines catalane, des îles Baléares ou sicilienne (la Sicile a été catalane et espagnole pendant longtemps).

    En Sicile comme en Catalogne et aux Baléares, on l'appelle simplement crème (crema). Aujourd'hui, la crème catalane en tant que dessert s'est répandue dans toute l'Espagne.

    Un dessert typique catalan un peu similaire est le mató de Pedralbes.

     

    Ingrédients:

    625ml de lait

    5 jaunes d'oeuf

    5 cuillères à soupe bombées de sucre

    5 cuillères à soupe rases à soupe de maizena

    1 branche de cannelle

    1 citron

    1 orange

     

     Préparation :

    Étape 1 - Faire bouillir en une petite casserole le lait avec la cannelle et les épluchures. Pendant ce temps, battre en un saladier les jaunes d'oeuf et les le sucre. Ajouter doucement la maïzena.

     

    Étape 2 - Laisser refroidir le lait quelques minutes à temperature ambiance. Enlever la branche de cannelle et les eplunches. Verser le lait de la casserole dans le saladier et mélanger.

     

    Étape 3 - Mettre la mélange dans une casserole au feu pas trop fort, sans arreter de remuer pour qu'elle ne se colle pas au fond de la casserole. La crème ne doit pas bouillir. Ça va épaissir mais comptez qu'elle va être encore plus épaisse quand elle va refroidir.

     

    Étape 4 - Quand la crème soit assez épaise, la distribuer vitte dans des petites cassolettes individuelles en terrisse.  

     

    Étape 5 -  Garder au réfrigerateur pour les refroidir.

    Couvrir la surface de la crème avec du sucre blanc cristallisé.

    Brûler le sucre de la crème à l'aide d'un chalumeau.


    Recette de Crème Catalane - 750 Grammes par 750grammes

     

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