•                                                        

    VOICI UNE LISTE NON EXHAUSTIVE DE CHANTEURS BRETONS

     

    TRI YANN

     

     

    Tri Yann (en breton : An Tri Yann) est un groupe nantais de chanson bretonne sur une musique folk rock influencée par la musique bretonne. Le groupe réinterprétait des chansons traditionnelles bretonnes (surtout du pays gallo) avant de créer par la suite un répertoire original, en français et en breton. C'est le groupe français qui a la plus grande longévité (42 ans de carrière ininterrompue).

    Jean-Louis Jossic, Jean Chocun et Jean-Paul Corbineau forment Tri Yann an Naoned en 1970, avec une première apparition publique qui sera le 27 décembre 1970, jour de la Saint-Jean, à Plouharnel. Ils seront rejoints en 1971 par Bernard Baudriller.

    Le nom du groupe qui signifie « les trois Jean de Nantes » provient du fait que les trois membres fondateurs du groupe ont tous « Jean » dans leur prénom.

    Tri Yann an Naoned est né dans le sillage du mouvement de modernisation et de promotion de la musique bretonne et celtique, lancé par Alan Stivell à partir de 1966.

    Tri Yann est l'un des groupes de musique celtique les plus connus en France. Il a participé à la popularisation d'airs traditionnels comme La Jument de Michao (également connu sous le nom Le Loup, le Renard et la Belette), Les Filles des Forges ou Dans les prisons de Nantes.

     

     

    MIOSSEC, j'adore, mais à ne pas écouter quand on a le cafard !!!!

    Né d'un père plongeur pompier et d'une mère ayant travaillé pour la marine nationale, Christophe Miossec a exercé différents métiers dans le domaine de la presse, de la publicité, et chez TF11 avant de se consacrer à la musique, au milieu des années 1990. Il n'était pas tout à fait un nouveau venu sur la scène rock brestoise qu'il avait déjà côtoyée, dans les années 1980 avec un groupe local : Printemps Noir. Le groupe d'origine brestoise Goûts de luxe aurait pour son tube Les Yeux De Laura emprunté le refrain à un titre de Printemps Noir écrit par le batteur du groupe, Jean-Claude Herry.

    Ce sera sa rencontre en 1994 avec le guitariste Guillaume Jouan puis avec le guitariste Bruno Leroux (membre des Locataires, autre groupe local) qui sera déterminante. Miossec a travaillé quelques années à Bruxelles à proximité de sa maison de disques PIAS qui a publié l'ensemble de ses albums depuis 1995.

    Il s'est réinstallé en 2007 dans le Finistère

     

    GILLES SERVAT

    Gilles Servat, né le 1er février 1945, à Tarbes, est un auteur-compositeur-interprète français d'origine bretonne, ardent défenseur de la culture bretonne armoricaine et d'expression bretonne, française, et autre langue celtique. C'est aussi un poète, dont le début de carrière a été marqué par la chanson La Blanche Hermine qui est devenue un symbole dans la Bretagne armoricaine. Auteur d'une discographie importante, il a fait partie des artistes qui ont participé à l'Héritage des Celtes de Dan Ar Braz. C'est aussi un romancier qui sait faire revivre l'épopée celte et la réalité de la Bretagne armoricaine.

                                                                     

    A Guérande j'habitais juste en face de ce moulin !

                                                                                      A SUIVRE ...

    Partager via Gmail Yahoo!

    16 commentaires
  •                                                 

     

    LES POUPÉES LE MINOR

    - Un petit monde de haute couture ANNE LIBOUBAN

    Les poupées folkloriques de Madame Le Minor eurent un succès sans précédent avant et après guerre. Leurs costumes et coiffes étaient minutieusement reconstitués par les expertes mains des brodeurs-brodeuses de la célèbre maison bigoudène.

    Issus de la collection exhaustive de l'auteur et des archives de l'entreprise, toujours active, les 120 modèles produits sont pour la première fois rassemblés, racontés et commentés avec précision.

    La qualité des photographies en pied ou en très gros plans permet d'apprécier le travail de broderie souvent fait main. Parution : avril 2011 200 pages 180x200 mm édité chez : COOP BREIZH Réf : 346445

     

                                                                    

     Quand j'étais petite, ces belles poupées me faisaient rever dans les vitrines

    L'atelier d'habillage de poupées de Pont-L'Abbé connaît dès sa création une renommée qui conduit sa créatrice à l'Exposition universelle de 1937, à Paris.

        

    Les poupées Le Minor sont les ambassadrices du savoir-faire bigouden à travers la France et une bonne partie du monde. Plus de 400 modèles différents, représentant tous les costumes de Bretagne et beaucoup de ceux des autres régions de France, sortent de cet atelier entre 1936 et 1980.

    Des poupées en costumes d'homme et d'enfant, mais aussi en costumes étrangers et historiques, viennent s'ajouter aux poupées de tradition qui avaient tant séduit l'écrivain Colette.

    En 1945, la maison Le Minor emploie 200 personnes pour ce travail de qualité. D'autres ateliers voient alors le jour, et Pont-L'Abbé devient durant quelques décennies la capitale de la poupée de collection, où travaillent plus de 600 ouvrières brodeuses et habilleuses.

    En 1950, Madame Le Minor lance un autre type de collection : les bustes et les coiffes miniatures.

    En 1957, les ateliers diversifient leurs productions en créant des vêtements, dont le célèbre kabig, du linge de table, des foulards, des bannières et des panneaux brodés.

     

     

       

                                                       

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    18 commentaires
  •  

                                               

    le prénom du jour : Guénolé

    Guénolé est un prénom masculin d'origine celte, dont la tendance actuelle est stable.

    Le prénom Guénolé est un prénom de style breton et celtisé.

    Le signe astrologique qui lui est associé est Vierge.

    Étymologie : Le prénom Guénolé vient du celtique gwenn, « blanc, heureux », et gwal, « valeureux ».

    prénom féminin : Guénola

     

    Guénolé de Landévennec

     Cinq statues de saint Guénolé : de gauche à droite : en bois polychrome du XVe provenant de Kergloff; en bois polychrome du XVIIe pour les deux suivantes (origine non précisée) ; en bois polychrome du XVIIe provenant de l'île de Sein ; en bois polychrome du XVe (origine non précisée) (Musée de l'ancienne abbaye de Landévennec)

     

     Saint Guénolé est un personnage religieux qui aurait vécu à la fin du Ve siècle et au début du VIe siècle en Bretagne et serait décédé en 532. Il est réputé avoir fondé l'abbaye de Landévennec.

    En breton, son nom s'orthographie Gwennole ou Gwenole. Ce prénom celte Uuinuual formé des termes uuin et uual, signifiant respectivement pur et valeureux. Il est également connu dans des textes en latin sous le nom de Winwaloeus1 ou Winnoc ou encore Walloy (dans ce dernier cas à Montreuil-sur-Mer).

      On a parfois, à tort, confondu saint Guénolé avec saint Gwenaël qui fut en réalité son successeur comme abbé de Landévennec. Son père, saint Fragan, et sa mère, sainte Gwenn, auraient débarqué venant probablement du pays de Galles dans la baie de Saint-Brieuc pour se fixer à Ploufragan (Côtes-d'Armor).

    Guénolé est le troisième fils d'une famille dont les autres enfants sont Sainte Clervie, Saint Jacut et Saint Guéthénoc. Il serait né, soit à Ploufragan, soit à Plouguin où est encore montré le lieu supposé de sa naissance (une motte féodale).

    Plougastel-Daoulas : chapelle Saint-Guénolé, le retable de saint Louis avec à sa droite sainte Guen

     

    Vers 470, il est confié encore enfant à saint Budoc pour être formé dans l'ermitage de celui-ci, situé sur l'île Lavret, dans l'archipel de Bréhat.

    Vers 485, il manifeste le désir de se rendre en Irlande pour vénérer les restes de saint Patrick qui vient de mourir, mais l'apôtre lui apparaît en songe pour lui indiquer qu'il est préférable de rester en Armorique pour y fonder une abbaye. Avec onze autres disciples de saint Budoc, il s'établit dans une autre île appelée Tibidy qu'on a tenté d'interpréter comme l'île de la maison de prières, à l'Hôpital-Camfrout, dans la rivière du Faou.« Traversant vers l’ouest les régions de la Domnonée et parvenant donc aux confins des Cornouaillais, il découvrit enfin heureusement un gîte avec ses compagnons susdits dans l’île appelée Thopépigie [Tibidy] » écrit Gurdisten, abbé de Landévennec dans sa "Vie de saint Guénolé".

    Au bout de trois ans, en 490, Guénolé, nouveau Moïse, ouvre miraculeusement un passage dans la mer pour aller fonder une nouvelle abbaye sur la rive opposée de l'estuaire à Landévennec, en ayant fait le centre religieux de la Bretagne de l'ouest, il y meurt en 532.

    La veille de sa mort, il aurait choisi son successeur, célébré une messe et reçu l'absolution.

                                                           

    Statue de l'Eglise de batz sur mer

     

    . Légendes

    Guénolé accomplit un miracle sur la personne de sa petite sœur lorsqu'elle était très jeune. Il arriva en effet un jour qu'une oie s'empare des yeux de Clervie et les mange tous les deux. La fillette rentre chez elle en criant de douleur. Guénolé arrive à la maison familiale et trouve ses parents et sa sœur dans la détresse, il décide d'aller récupérer les yeux de Clervie. Il se rend à l'endroit où sont gardées les oies, repère un jars au centre du troupeau. Il l'éventre et reprend les yeux de sa sœur pour les lui rendre. Il la signa de la croix et celle-ci recouvra la vue. C'est ainsi que Guénolé est devenu Saint Guénolé et le patron des oculistes.

    Il représentait l'un des saints phalliques réputés pour venir en aide aux femmes désespérées par la stérilité, vécue au Moyen Âge et même après, comme une catastrophe : pour les travaux des champs, les paysans avaient besoin de bras. Alors, les femmes dont le ventre ne s'arrondissait pas récitaient leur chapelet et allumaient un cierge devant sa statue. Elles allaient même jusqu'à s'y frotter dévotement le ventre et le jour de sa fête se rendaient en pèlerinage aux sources miraculeuses des chapelles Saint Guénolé.

    Sa réputation priapique provient certainement de la confusion de son nom avec le latin gignere signifiant engendrer. Lorsque Fragan emmena ses trois fils en bateau sur l'île Lavret pour les confier à saint Budoc, les voyageurs furent pris par une brutale tempête, Saint Guénolé la calma par un signe de la croix. Depuis, le saint est invoqué pour la quiétude des marins et fait de Saint Guénolé le patron des femmes de marins-pêcheurs.

     

    Les pieds de la statue de saint Guénolé dans une chapelle du Prigny (Loire-Atlantique), percés d'aiguilles par des femmes qui souhaitent trouver l'âme sœur.

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    19 commentaires
  •  

    Vareuse .

    Une vareuse est une courte blouse de grosse toile, pour les marins, les pêcheurs.

    C'est aussi la veste de certains uniformes de marine pour les défilés.

    Ce vêtement est parfois aussi appelé marinière. La vareuse est actuellement de plus en plus utilisée chez les vacanciers. Elle peut se porter avec un pantalon à pont.

    Certains parlent aussi de vareuse, dans le cas de vêtements d'intérieur ou de sport amples et confortables. Toutefois, la vareuse typique bretonne susmentionnée, telle celles confectionnées à la fabrique de vêtements Le Glazik à Quimper, est un vêtement caractéristique au col fendu sur le devant pouvant être maintenu par un bouton situé à l'intérieur, comportant une ou deux poches à l'intérieur.

    Le bouton se trouve à l'intérieur car les métiers de la mer nécessitaient un vêtement dont l'avant ne présentait aucune aspérité pour éviter de se prendre dans les cordages et les mailles des filets.

    Ce concept se trouve aussi dans le pantalon à pont.

    Elle est faite d'un tissu très serré pour couper du vent. Souvent, elle est réversible (un côté mer, un côté terre).

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    16 commentaires
  •                                                     

     

                    

    Lieu mythique à GROIX, Ti Beudeff est le bar le plus connu des marins en escale.

    Placé à une endroit stratégique en sortant du port, juste en bas de la "terrible" montée qui conduit au village!

    Tous les marins s'y retrouvent pour un boire du rhum ou de la bière en refaisant le monde  et en chantant des chants de marins . On n'oublie pas non plus d'y inscrire sur les tables en bois.

    Victime d'un incendie il y a quelques années, il a été remis en état et repris par sa fille.

    Que de bon souvenirs dans cet endroit !!!!!

     

    http://www.beudeff.fr.sitew.com/Actualites.C.htm#Bienvenue.A

     

      

                                               

     

                                                                                                                

    L'île de Groix [gʁwa] (du breton Enez Groe) est une île et une commune bretonne du département du Morbihan (France). Elle se trouve au large de la côte sud de la Bretagne, au nord-ouest de Belle-Île-en-Mer, dans l'océan Atlantique en face de Lorient.

    Elle constitue le canton de Groix ainsi qu'une commune (commune de l'Île de Groix). Elle est accessible par bateau au départ de Lorient et de Port-Louis. Historiquement, elle fait partie du pays vannetais et du Kemenet-Héboé. On donne aussi aux Groisillons le nom plaisant de Greks, les Groisillonnes ayant autrefois toujours une cafetière (grek en breton) sur le feu pour réchauffer les pêcheurs de la famille à leur retour.

    Ile  de l'île de Groix Groix, située à 3 milles nautiques du continent, est la deuxième île de Bretagne par la superficie. Longue de 8 kilomètres et large de 3 (au maximum), elle se compose essentiellement d'un plateau de micaschiste, haut de 40 à 50 mètres, entaillé par de nombreux vallons ou bordé de falaises abruptes creusées de grottes.

                                                               

     

     

                                                              

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    15 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique