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    Les moutons

     

    Presqu'île de Guérande : Maurice, le berger des marais salants 

    Dans les marais salants de Mesquer, près de Guérande (Loire-Atlantique), des brebis paissent entre les salines. À la tête du cheptel, un ancien agriculteur devenu berger.

     

     

    Les moutons

     

     

    Les moutons

     

     

    Les moutons

     

     

    L'Écho de la Presqu'Île
     

    À Mesquer, en Presqu’île de Guérande (Loire-Atlantique) on ne s’étonne plus de croiser des brebis dans les marais salants. Elles y ont élu domicile il y a 6 ans, dans ce décor somptueux, entre Océan et salines.

     

    C’est là qu’elles se régalent de ce que cette nature singulière leur offre. Dans quelques jours, le cheptel quittera ce lieu magique pour passer l’hiver à la bergerie de l’île de Tréhouan près de Kercabellec, à Mesquer.

    Leur présence dans les marais du Mès n’a rien du hasard. Elle est le fruit d’une rencontre entre un berger et une paludière.

     

     

    Les moutons

     

     

    Les brebis entretiennent le marais

    Maurice Brosseau est agriculteur à Mesquer depuis toujours, un temps dans le BTP et les machines agricoles. Un jour il rencontre une paludière qui lui fait part des difficultés à entretenir les talus du marais, lui-même attaqué par une plante invasive, la baccharis.

    À Mesquer, la végétation a largement pris ses aises entre les salines, avec le risque que les graminées « salissent » la fleur de sel soumise à des normes strictes.

     Il y a encore 6 ans, par endroits, c’était presque une forêt,

    Maurice Brosseau

    L’agriculteur décide alors de mettre des brebis de race vendéenne dans les marais salants pour qu’elles mangent cette végétation envahissante et entretiennent ainsi le précieux et sensible espace de production de sel.

    Ça ne pouvait marcher que si l’herbe était de qualité. Ce qui est le cas. 

    Maurice Brosseau

    Le Mesquérais se lance seul dans cet élevage pastoral singulier et du même coup, dans la vente directe.

    L’agriculteur devient le berger des marais. 

    Six ans ont passé, l’espace est nettoyé ou presque. Les brebis font le job, sur les marais privés (avec accord des propriétaires), sur les parcelles du conservatoire du littoral ou les salines du Département de Loire-Atlantique.

     

    Les moutons des marais salants de Mesquer

     

     

    « Le bouche-à-oreille »

    Il y a quelques jours, une petite transhumance a eu lieu entre les marais du Mès et la prairie où 120 brebis paissent en toute tranquillité. Une cinquantaine reste encore sur les marais. Pas pour longtemps. L’hiver rend le site difficilement praticable et la nourriture des brebis se raréfie. Bientôt, elles rentreront toutes à la bergerie.

    La viande issue de ce cheptel est particulièrement prisée, commandée avec un délai entre 3 et 4 mois, par animal entier ou demi-bête, sous vide.

    Maurice Brosseau compte 300 clients, particuliers et restaurateurs, « le bouche-à-oreille a très bien fonctionné ». À 61 ans, l’ancien agriculteur conventionnel devenu berger ne regrette pas sa conversion.

    Couleurs d'automne dans les marais du Mès à Mesquer

    Couleurs d'automne dans les marais du Mès à Mesquer ©Cathy Ryo

    « Regardez comme c’est beau ! », s’exclame Maurice en cette belle matinée automnale, balayant du regard et de la main les marais du bassin du Mès.

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    Marée basse à la point de Mesquer-Merquel

     

    La Pointe de Merquel


     

     
      
    Pénétrer l’intimité des marais salants en allant au plus près de la culture paludière et des trésors naturels de ce site d’exception, est une expérience des plus saisissantes.
     
    L’œil toujours aux aguets, le randonneur va de salines en petit port et sentier côtier, à la rencontre de paysages époustouflants de beauté, de couleurs et d’authenticité, à la rencontre des oiseaux nombreux, curieux et épatants. En toutes saisons ce parcours offre ses charmes :
    du vent fort de l’hiver qui balaye les nuages et mouchette de clair-obscur les rochers et la plage, au pétillement joyeux du printemps, animant les haies bocagères autour des marais salants, les pas du promeneur ne sont jamais vains et l’amènent toujours hors du temps, aux premières loges de l’océan.

     

    Marée basse à la point de Mesquer-Merquel

     

    Marée basse à la point de Mesquer-Merquel

     

     

    Marée basse à la point de Mesquer-Merquel

     

     

    Marée basse à la point de Mesquer-Merquel

     

     

    Marée basse à la point de Mesquer-Merquel

     

     

    Marée basse à la point de Mesquer-Merquel

     

     

     

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    La tempete "Aurore" est passée cette nuit

     

    La tempete "Aurore" est passée cette nuit

    La tempete "Aurore" est passée cette nuit

     

    Météo France a relevé mercredi soir des rafales de vent à 137kmh à la pointe de Chemoulin en Loire-Atlantique.

     

    Le vent a soufflé jusqu'à 137 kmh à la point de Chemoulin en Loire-Atlantique © Maxppp -Jean-Luc Flémal

     

    La tempête Aurore est passée mercredi soir sur la Loire-Atlantique et la Vendée. Météo France a relevé des vitesses de vent jusqu'à 137kmh à la pointe de Chemoulin à Saint-Nazaire en précisant que la configuration de la côte à cet endroit là fait que les relevés sont toujours très importants.

    Le vent a soufflé à 108 km/h à Saint-Nazaire, 104 km/h dans le Pays-de-Retz, 97 km/h à Nantes. En Vendée, c'est sur l'ile d'Yeu et à Luçon que le vent a soufflé le plus fort, 109 km/h, 106 à Fontenay-le-Comte et 99 km/h aux Sables-d'Olonne.

     

    Appel à la prudence

    Au plus fort de la tempête hier soir, les pompiers de Loire-Atlantique ont lancé un appel à la prudence conseillant de ne pas sortir de chez soi. Le SDIS 44 a effectué 94 interventions essentiellement pour des chutes d’arbres, des routes coupées et des fils électriques tombés à terre. En Vendée, les secours ont réalisé 209 interventions. Dans les deux départements, plus de 400 pompiers étaient mobilisés.

     

     

     

    On contemplait la mer, on écoutait le vent, on se sentait gagner par l’assoupissement de l’extase. Quand les yeux sont remplis d’un excès de beauté et de lumière, c’est une volupté de les fermer. Tout à coup on se réveillait. Il était trop tard. La marée avait grossi peu à peu. L’eau enveloppait le rocher. On était perdu. Redoutable blocus que celui-ci : la mer montante. La marée croît insensiblement d’abord, puis violemment. Arrivée aux rochers, la colère la prend, elle écume.

    « Les Travailleurs de la mer », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie Première partie : Sieur Clubin, chap. VIII (« La chaise Gild-Holm-'UrV »), livre premier (« De quoi se compose une réputation »), p. 69 - Victor Hugo



     

     

    La tempete Amélie

     

     

    La tempete Amélie

     

     

    La tempete Amélie

     

     

    La tempete Amélie

     

     

    La tempete Amélie

     

     

    La tempete Amélie

     

    La tempete Amélie

     

     

    La tempete Amélie

     

     

    La tempete Amélie

     

     

     

    La tempete Amélie

     

     

    La tempete Amélie

     

     

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    Les chapelles

     


    Chapelle sainte Anne La Turballe

     

    Lever du soleil entre La Turballe et Piriac

    La chapelle Saint-Sébastien est un lieu de culte catholique situé sur la commune de Piriac-sur-Mer, dans le département français de la Loire-Atlantique.

    La chapelle se situe dans le village de Saint-Sébastien, appartenant à la commune de Piriac-sur-Mer. Elle est fondée et dotée en 1543 par Pierre Le Couaillon. Elle est dédiée à saint Sébastien, qui protégeait de la peste et des épidémies.

     

     

     

    Lever du soleil entre La Turballe et Piriac

     

    Saint Molf

    Chapelle

    la chapelle Saint-Germain (1875-1880), édifiée en remplacement d'une ancienne chapelle dédiée à saint Germain. Il s'agit à l'origine d'une église entourée d'un cimetière. Ni l'église, ni le cimetière ne subsistent aujourd'hui. Le porche est celui de l'ancien édifice. Le retable date du XVII-XVIIIème siècle et provient de l'ancienne église. Le vitrail, qui représente saint Molf, date du XIXème siècle. On y voit une statue, en bois polychrome, de saint Corneille (patron des bêtes à cornes) ;

    Chapelle

     

    Chapelle

     

    Chapelle

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     Insolite :

    la tempête Alex a couché deux arbres chez un particulier à Herbignac (Loire-Atlantique), ils sont tombés juste devant et derrière sa voiture sans rien casser !

     

     

     

    « Mon jardinier Alex est passé cette nuit, il a pas fait semblant », a posté vendredi 2 octobre 2020 James Vivier sur son compte Facebook.

     

    « Un truc de fou ! »

    « À 7 h, quand j’ai ouvert mes volets électriques, je me suis rendu compte que les arbres étaient couchés, un devant la voiture, l’autre derrière. Un truc de fou ! », rigole cet habitant d’Herbignac, commune de Loire-Atlantique frontalière avec le Morbihan.

    Car son Opel Zafira de 15 ans d’âge a été totalement épargné par ces sumacs vinaigriers de plus de 5 mètres.

     

    Un truc de fou

     

     

    Un truc de fouUn truc de fouUn truc de fouUn truc de fou

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