J'ai longuement hésité, j'avais peur qu'elles ne tiennent pas aux pieds, et puis j'ai sauté le pas, j'ai acheté une paire sur internet (histoire de faire d'jeunes")Hihihi ..... On verra bien !

LA FAMILLE RONDINI:

DEPUIS PLUS DE 80 ANS UN SAVOIR FAIRE UNIQUE

Qui ne connaît pas, au moins de renom, à Saint-Tropez les Tropéziennes ?

Cela fait plus de 80 ans que la famille Rondini, la plus ancienne maison sur la place de St-Tropez, a pignon sur rue dans la cité du bailli de Suffren. Sa production, loin d'emboîter le pas à la cadence industrielle, trouve malgré tout acquéreurs venus des quatre coins du globe. Robustesse et souplesse, sobriété et régularité des chaussures à lanières, professionnalisme de la maison ont fait et continuent de faire des "Rondini" la famille par qui la sandale arrive .....

  C'est en 1927 que Dominique Rondini décide de se lancer dans la fabrication de sandales. Dans un premier temps, un modéle unique s'offre à la clientéle, mais bien vite Serge - le fils - va développer l'affaire en créant d'autres lignes bercées par le soleil de Capri, des Indes, de l'Egypte et par le sable chaud du Sahara.

Depuis 1983, Alain - fils de Serge et de Roseline - a repris le flambeau. Aujourd'hui, tout se passe encore dans le petit atelier à l'arrière de la boutique d'où sort imperturbablement une production artisanale élaborée pièce par pièce à la main "Ce sont toujours des cuirs à semelle français tannés à l'écorce de chêne pendant 12 mois, qui sont utilisés pour nos tropéziennes."

http://rondini.fr/fr/histoire/

http://boutique.rondini.fr/fr/chaussures-femmes-7

le site : Facebook

https://www.facebook.com/Sandales.Tropeziennes.Rondini

LES TROPEZIENNES PAR M. BELARBI

La marque « Les Tropéziennes par M. Belarbi » est née au début des années 80 dans le village le plus branché de la côte varoise.

Son créateur, M. Belarbi, résident de St-Tropez depuis près de trente cinq ans, développe au fil des années des chaussures originales, inspirées par la mode locale.

En 1982 la marque connaît son premier best seller: la botte indienne, déclinée en vingt trois couleurs. En 1987, c’est au tour de la « 3004 », un modèle rétro chic pour femmes, adapté l’année suivante pour les hommes et les enfants.

Au début des années 90, « Les Tropéziennes par M. Belarbi » comptent jusqu’à quatre magasins à Saint-Tropez, un à Megève, un à Courchevel et sept cents dépositaires en France et dans le monde.voyage En 2007, M. Belarbi s’associe avec un acteur majeur de la chaussure en France.

« Les Tropéziennes par M. Belarbi » renouent immédiatement avec le succès, autour de deux modèles tout cuir : la spartiate (« HIC ») et la sandale tropézienne (« HÉRISSON »).

Elles entrent dès lors dans la légende pour faire partie des indémodables. «Les Tropéziennes par M.Belarbi» existent pour une génération ayant grandit avec la mondialisation et l’échange entre les peuples. Le voyage et la découverte font partie intégrante de l’accomplissement de soi. Plus de 35 500 étudiants utilisent annuellement le programme Erasmus leur permettant de voyager à travers l’Europe.

L’ouverture au monde et la sensibilité aux problèmes de l’ensemble des peuples du globe galvanise cette génération.

La tropézienne est portée par la femme indépendante, vivant au grès de ses envies et se réalisant elle-même.

La tropézienne est la petite ouverture vers le monde que la fille/femme active s’accorde dans son quotidien urbain et connecté.

Voir la collection 2015 (ce ne sont pas mes jambes, Hélas !)

http://www.lestrops.com/?page_id=9

http://www.lestrops.com/?page_id=14