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    Je crois que c'est la page du blog qui a le plus de succès, depuis toutes ces années, les lecteurs me demandent toujours des renseignements sur ces différentes sucreries, je n'en reviens pas .....

    Et je la fais remonter régulièrement !

     

    Une page régressive comme on dit ..... On retourne en enfance

     

    A l'heure actuelle, on dirait au enfants que c'est du poison, qu'il y a trop de sucre, trop de colorant, trop, trop, trop ......On a peur de tout, on ne peut plus rien faire. C'était une époque beaucoup plus douce !

    A la sortie de l'école, on allait tous chercher nos bonbons à 1 ou 2 centimes, maintenant les enfants ne peuvent meme plus aller tout seul au bout de la rue ou à la boulangerie !

    http://entre-sel-et-mer.eklablog.fr/les-bonbecs-de-la-recre-des-annees-1950-mistral-gagnant-a98705373?reply_comm=92695462

     

    Réflexions sur le "Mistral gagnant", nostalgie d'enfants ...

     

    Le mistral gagnant était un bonbon en poudre. Il se présentait sous la forme d'un sachet en papier contenant une poudre sucrée, parfumée et pétillante sur la langue, dans lequel on insérait une « paille » en réglisse destinée à l'aspirer dans la bouche.

    Historique

    Le Mistral gagnant était le successeur de l’Aspire frais, pionnier, puis du Fraisuc. Le Fraisuc existait dans les années 1970 dans un sachet papier coloré avec une paille en plastique. Ce bonbon se nommait aussi Reine chantante. Il était vraisemblablement prévu d'y ajouter de l'eau pour obtenir une boisson gazeuse dans le sachet (ce qui n'était cependant pas dans les coutumes des écoliers).

    Une première version était vendue dans des sachets verts où le mot « gagnant » pouvait se trouver à l'intérieur et autorisait l'échange de l'emballage vide contre un nouveau sachet.

    Au tout début des années 1960, le fabricant eut l'idée de profiter de l'électrification jusqu'à Marseille de la ligne PLM (Paris-Lyon-Marseille, puis Nice) du réseau SNCF et la mise en service de motrices électriques remplaçant les anciennes locomotives à vapeur tractant le train express "de prestige", le Mistral, pour changer le visuel de l'emballage. Les sachets devinrent alors bleu pâle et chaque face « avant » des sachets présentait une image stylisée d'une des nouvelles locomotives portant le nom Mistral.

    Certains de ces sachets — vendus 10 centimes jusqu'à l'arrêt de la distribution de la friandise — permettaient d'en obtenir immédiatement un autre, gratuitement, si en face « arrière » à l'intérieur du rabat de fermeture, l'acheteur découvrait le mot « GAGNANT ».

    La paille du Mistral gagnant était pré-insérée dans le sachet, qui était rectangulaire mais replié aux deux coins contigus supérieurs ; l'angle supérieur du triangle formé était percé et maintenait le tube de réglisse douce — contrairement à la réglisse du Coco Boer qui était une réglisse dure en poudre, genre Zan (marque d'Uzès déposée en 1884, et rachetée en 1987 par le confiseur allemand Haribo).

    La poudre était sucrée, fruitée et légèrement acide (pour l'effet frais ou « mistral »). Le bonbon n'est plus produit aujourd'hui. L'effet acide et pétillant était dû à une composition contenant de l'acide tartrique et du sodium comme pour la limonade, avec du sucre et d'autres ingrédients (colorants, excipients, arômes…).

    Une présentation dénommée « soucoupe », a ensuite vu le jour. Elle était fabriquée dans une grande gélule en pain azyme coloré, munie d'une petite paille en plastique.

    Il n'est plus fabriqué aujourd'hui

     

     


      

    Avec la boite de réglisse, on jouait à la marelle !

     

     

       

     

     

    Je ne suis pas certaine que ces deux derniers soient politiquement corrects à notre époque !

     

     

     

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     Il neige, il pleut, un peu de douceur et de réconfort, un feu de bois et un chocolat chaud

                                                         

     

                                                                                                                                 

     Chocolat chaud aux Chamallows

     Votre marché pour deux tasses de chocolat :

    2 cuillères à café de sucre en poudre, 100g de chocolat pâtissier à fondre, 20cl de lait, 30cl de crème fraîche liquide, 6 Chamallows, un peu d'eau

    Matériel : 1 verre doseur, 1 casserole, 1 cuillère à café, 1 cuillère à soupe

    A vos fourneaux : 

    Dans une casserole, faire fondre le chocolat avec un fond d'eau

    2. Ajoutez le lait, la crème fraîche

    3. Portez à ébullition et ajoutez le sucre

    Le petit truc en plus :

    • Servir le chocolat chaud avec des Chamallows que vous pourrez tremper dedans. Un délice !

    A très bientôt pour le goûter ! Blog : http://lheuredugouter.unblog.fr

                                                                

    Temps de préparation : 5 minutes

    Temps de cuisson : 2 minutes

    Ingrédients (pour 1 personne) : - 5 marshmallows (ou chamallows selon votre région) - 2 cuillères à soupe de cacao - 25 cl de lait demi-écrémé

     

    Préparation de la recette :

    Versez le cacao dans une grande tasse, le lait et les marshmallows.

    Mettez le tout au micro-onde, laissez chauffer quelques minutes.

      

     Chocolat Chaud aux Chamallows et Nutella

     

    25cl de lait

    1 cuillère à soupe de nutella

    mini chamallows

    Préparation:

    Faire chauffer, dans une casserole, à feu doux 25cl de lait et 1 cuillère à soupe de nutella par tasse voulue.

    Remuer à la cuillère en bois jusqu'aux premiers frémissements.

    Verser dans votre plus joli pot à lait une cuillerée de nutella au fond de la tasse avant de servir le lait "nutellaté", et parsemer enfin de mini chamallows (Vahiné, rayon pâtisserie).

    Remarques A faire avec votre chocolat en tablette préféré pour plus de goût, encore et encore !

     

     

                                                                                        

     

     

     

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    Le saviez vous, le CHAMALOW, cette confiserie en guimauve est originaire de SAINT MALO

    Une jolie page sucrée

     

     

    Guimauve (confiserie)

    (Redirigé depuis Chamallow) .

    Guimauves roses. Blanches dans leur forme la plus simple, on les commercialise néanmoins souvent avec des colorants.

    La guimauve, ou pâte de guimauve est une confiserie qui était originellement confectionnée avec le mucilage extrait de la guimauve mais qui, dans sa forme moderne est faite de sucre, de blanc d'œufs et de gélatine.

    Elles ont une consistance spongieuse et généralement la forme de cubes ou de longs bâtons souples. Elle est naturellement d'un goût assez neutre et de couleur blanche mais est souvent aromatisée et colorée en teinte pastel dont les plus courantes sont rose, verte, bleue et jaune.

    Cette friandise, sous la forme de bâtonnet d'une dizaine de centimètres, est connue en Belgique sous le nom de « lard ».

    En France, une confiserie faite de guimauve originaire de Saint-Malo] est commercialisée sous l’appellation commerciale « Chamallows » ; la consonnance est proche du nom de la matière en anglais qui est marshmallow. Le produit ne ressemble que d’assez loin à celui vendu en Amérique.

    La marque appartient à la société Haribo-Ricqlès-Zan.


     

      Histoire:

    La guimauve est probablement dérivée d'une préparation médicamenteuse à base d'un extrait mucilagineux de la racine de la Guimauve officinale, une herbe arborescente (Althaea officinalis) poussant sur les littoraux euro-méditerranéens et connu pour son pouvoir antitussif.

    Utilisée depuis l'antiquité, la racine de guimauve était alors sucrée au miel et utilisée contre les maux de gorge mais aussi comme confiserie. Il est aussi attesté l'utilisation de la tige confite au sucre.

    Au début du XIXe siècle, une première innovation fut faite par les confiseurs français en utilisant du sucre au lieu du miel et en battant le mélange pour lui donner du volume. Le procédé demandait beaucoup de main-d'œuvre.

    À la fin du XIXe siècle, les confiseurs français innovent à nouveau en utilisant du blanc d'œuf monté en neige, de la gélatine et de l'amidon. Cette confiserie était alors souvent aromatisée à l'eau de rose.

    Les ingrédients de base revenaient moins cher et la fabrication demandait moins de main d'œuvre et pouvait être plus facilement mécanisée. C'est le début de la production industrielle de guimauve. La première entreprise un peu industrialisée fut la maison Oudard, rue des Lombards à (Paris), à l'enseigne des "Vieux Amis", existant avant 1804 .

    L'existence de la pâte de guimauve est attestée dès 1779, dans une lettre du Marquis de Sade, enfermé au donjon de Vincennes, à sa femme, où il lui dit, "Encore un pain de pâte de guimauve, je vous prie."


     

    Chateaubriand en parle aussi dans son Itinéraire de Paris à Jérusalem en 1811.

    À cette époque, elle est notamment citée dans un ouvrage de Zola et dans un ouvrage d'Alphonse Daudet : « Une boîte de guimauve. Il s'interrompit pour prendre à poignée cinq ou six morceaux de pâte de guimauve (...) il jetait, dans sa bouche ouverte, les morceaux les uns après les autres (ZOLA, Assommoir, 1877, p. 735). »

    « Et le fabricant de pâte de guimauve, allongeant, tordant en gigantesques anneaux la pâte blanche qui sent l'amande ! (A. DAUDET, Rois en exil, 1879, p. 232). »

                                                                 

    En 1948, l'Américain Alex Doumak met au point le procédé breveté d'extrusion consistant à produire un cylindre continu de pâtes coupé en sections régulières et roulés dans un mélange de fécule et de sucre glace. C'est le début de la production industrielle et de la forme cylindrique de la guimauve telle que nous la connaissons de nos jours.

    Aux États-Unis et au Canada, les guimauves sont très populaires aussi bien chez les enfants que chez les adultes et se mangent avec ou sans accompagnement.

     

    Préparation:

    Dans sa forme moderne, la guimauve est confectionnée en battant des blancs d'œufs puis, au stade mousse semi-ferme, en y versant un mélange chaud de sucre et de gélatine tout en continuant à battre jusqu'à tiédissement de la masse.

    Le procédé est identique à celui mis en œuvre pour la meringue italienne.

    Les recettes commerciales y ajoutent divers additifs pour faciliter le battage à basse température et pour faciliter la montée et la prise du mélange ainsi que sa tenue dans le temps. Les additifs les plus couramment employés sont pour les édulcorants le sirop de glucose, le fructose ou le saccharose, des stabilisants comme le sorbitol, la maltodextrine et la gomme arabique, des produits de masse comme l'amidon, des arômes artificiels, des acidifiants comme l'acide citrique, des colorants alimentaires. La densité finale est d'environ 0,5 g/ml.

    Il est aussi possible de faire une guimauve maison allégée, sans l'ajout d’œuf et de multiples agents de conservation. On y ajoute une panure de céréales ou de noix et noisettes qui rend un peu de vitamines à la préparation de sucre blanc raffiné, amidon et gélatine (collagène et eau).

    Utilisation:

    Guimauve grillée

    Dans la culture populaire américaine, on consomme également la guimauve grillée, généralement lors de veillées autour d'un feu de camp. La guimauve est placée au bout d'un bâton, et grillée au-dessus du feu. Cela caramélise sa surface, et liquéfie son cœur. Les guimauves grillées encore chaudes sont donc très collantes et il est très facile pour les consommateurs pressés de s'en brûler les lèvres.

    Une variante, au décapeur thermique, est peut-être moins poétique, mais assure une caramélisation parfaite de l'extérieur sans pour autant brûler le sucre.

    Guimauves au four micro-ondes

    Arbre à guimauve

    Une variante de la guimauve grillée consiste à placer trois guimauves dans un bol et de les placer au micro-ondes.

    Quand les guimauves ont triplé de volume, les sortir et attendre qu'elles dégonflent et refroidissent un peu, c'est du cœur de guimauve grillé. En travaillant cette masse on obtient une pâte irisée, la guimauve de fête foraine.

     

    La guimauve dans la culture :

    Le film Les Vacances de monsieur Hulot de Jacques Tati (1953) montre monsieur Hulot aux prises avec un morceau de guimauve dégoulinant.

    Dans le film SOS Fantômes apparaît la marque fictive de guimauves Stay Puft, dont la mascotte est le géant de guimauve, « Monsieur Stay Puft » (en anglais : The Stay Puft Marshmallow Man) ou encore le Bibendum Chamallow (les Français l'assimilant plus aisément, par son allure ronde, à Bibendum, le personnage des pneus Michelin).

    La mascotte de Michelin aurait d'ailleurs servi d'inspiration à Dan Aykroyd, créateur de la franchise.

     

    Économie :

    Le terme de guimauve est parfois, en France, évincé par des noms de marques comme la marque chamallows® de la société Haribo ou la marque shamallows.

     

     

    J'ai trouvé ce jouet sur un site de jouets pour enfants OXYBUL

    http://www.oxybul.com/kiosque-a-marshmallow/produit/317937

    LE KIOSQUE A MARSMALLOW

    Kiosque à marshmallow Sentosphère De 7 ans à 12 ans 

    Un véritable atelier de confiserie

    Des guimauves à la texture si moelleuse

    4 arômes différents

    Sucres colorés pour décorer ses guimauves

                                                                 

                                                                         

     

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     Entre les pommes d'amour, les sucres d'orges et les nuages de barbe à papa, tournez manèges !

                

    On ne peut pas parler de "fete foraine" sans parler des douceurs et bonbons que l'on y achète et dommage que l'on ne puisse pas sentir toutes ces bonnes odeurs sur le blog !

     

    http://ekladata.com/hScHGiud2hzcSaz5s8ch46gjK2E@150x172.gif

    LA BARBE A PAPA


        

                 
    La Barbe à papa est un produit de confiserie avec du sucre, le plus souvent coloré (en rose par exemple). Ce sucre est transformé en filaments que l'on enroule autour d'un batonnet, jusqu'à former une sorte de boule dont l'aspect fait penser à du coton.


                                                   
    HISTOIRE
    L'histoire de la barbe à papa débute en 1897, lorsque William Morrison et John C. Wharton, confiseurs de Nashville au Tennesse, inventent une machine pour réaliser une sorte de filage de sucre cristallisé qui, enroulé autour d'un baton, forme une barbe à papa.

    Ils présentent leur "FAIRY GLOSS" à l'exposition universelle de Saint Louis en 1904 (aussi appelée Foire internationale de Saint Louis) et remportent ainsi un succès monstre. Malgré un prix de 25 cents l'unité, somme importante pour l'époque (c'était la moitié du prix d'admission à la foire) ils en vendront 68 655. (C'est d'ailleurs à la meme foire qu'a été présenté le premier cornet de crème glacée au monde).

    Dans les pays anglophones, la barbe à papa est connue sous des noms différents : candy floss - Angleterre,
    Cotton Candy (Etats Unis), Fairy floss (Australie)

     

                                                                                             

    PRALINE

    La praline est, en premier lieu, un bonbon constitué par une amande enveloppée de sucre cuit, lequel peut etre teinté et parfumé de diverses manière.

    On raconte souvent que la première recette fut inventée au XVII Siècle par le chef cuisinier de César Gabriel, Duc de Choiseul, maréchal de France, Comte de Plessis-Praslin, mais les preuves manquent.

    Il existe aussi la praline rose dont le sucre est coloré (le sucre de la praline de Montargis est caramilisé, donc brun). Elle sert notamment de base à la Tarte aux pralines, un dessert lyonnais dont la garniture est composée pour moitié de pralines roses concassée et pour moitié de crème fraiche.



    Et puis, n'oublions pas, le "CHICHI" ou "CHURROS" , et les GAUFRES

         

     

                                                                           

    LES CHOUCHOUX DE LA FETE FORAINE

                                                           

     

     

     

        

    et aussi les belles "POMMES D'AMOUR"

                                                                      

    La pomme d’amour est une confiserie constituée d'une pomme fraîche entourée de sucre cuit, souvent coloré en rouge. Elle est vendue dans les foires. Les pommes d'amour sont piquées d'un bâton de bois pour pouvoir les tenir.

    Variante :

    la pomme d'amour peut aussi être trempée dans le chocolat noir ou au lait et durci, comme est la variante habituelle en Irlande par exemple.

      

    LE SUCRE D'ORGE 

      Le sucre d'orge est une confiserie sous forme de berlingots de couleur ambrée ou de bâtonnets translucides, en sucre dur coloré contenant des extraits d'orge (ou de glucose qui remplace progressivement l'orge aujourd'hui).

      Deux thèses s’affrontent sur l’origine du terme : selon la première, il aurait été à l'origine composé de sucre et d’orge ; selon l'autre, son nom original aurait été « sucre brûlé », mal traduit en « sugar barley » (littéralement orge en sucre) en Angleterre.

                      

    Histoire:

    La recette a été créée en 1638 par les bénédictines du prieuré de Notre-Dame des Anges à Moret-sur-Loing, qui découvrirent que la décoction d'orge perlé (ou gruau d'orge) pouvait colorer et parfumer le sucre de canne cuit, et y ajoutèrent du vinaigre pour éviter la cristallisation du sucre. Elles en firent un bâton qui servait de médication calmant les maux de gorges des moines chargés de lire les sermons et des prédicateurs.

     

    Sa mode se développa à la cour royale et comme pastille soulageant les maux de gorge des orateurs. Il subit un déclin suite à la disparition du monastère bénédictin en 1792 mais il connut un nouvel essor sous le second Empire car le sucre d'orge de Vichy, créé par la confiserie Larbaud Aîné, était très apprécié de Napoléon III.

                   
                  

    Il fut remis à la mode essentiellement dans les stations thermales (Évian-les-Bains, Plombières-les-Bains, Cauterets) mais aussi à Moret où des religieuses la confectionnèrent jusqu'en 1972, date à laquelle elles transmirent la recette au confiseur Jean Rousseau qui perpétue la tradition des berlingots (sous forme d'un cœur transparent marqué d’une croix et des initiales R et M pour « Religieuses de Moret », ils sont recouverts de sucre glace pour empêcher qu’ils ne collent dans leur boîte de conditionnement) ou des bâtonnets enveloppés de cellophane. La maison Rousseau a également créé la confrérie du sucre d’orge en 1997.

    Avec une recette voisine se fabriquait le pénide, qui était, avec d'autres produits sucrés, un élément du catholicum simple de la pharmacopée maritime occidentale au XVIIIe siècle .

                                                  http://albumphotosvoyages.fr/news/les-sucres-d-orge-des-religieuses-de-moret-sur-loing

     

    LE NOUGAT

     

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