-
Par Mamé Annie le 14 Juillet 2019 à 08:05
Encore du soleil, la récolte va etre bonne
Isabelle Pierre, Nicole Lapointe de son vrai nom, chanteuse quebecoise, populaire dans les années 60-70. un petit montage avec quelques photos et la Chanson: Le temps est bon, parole et music de Stephane Venne
Encore une belle journée ensoleillée
4 commentaires -
Par Mamé Annie le 11 Juillet 2019 à 17:16
A l'entrée de la piscine de Piriac
Au Croisic
http://www.cap-atlantique.fr/dossiers/operation-ici-commence-la-mer
Dans le prolongement de l’opération HellO et dans l’esprit des actions menées par la ville de Collioure depuis 2017 et par la ville de Cannes, Cap Atlantique et ses 15 communes ont décidé de renforcer la sensibilisation à la qualité de l’eau en particulier pour rappeler le caractère séparatif des réseaux d’eaux pluviales et d’eaux usées ; principe qui est souvent source de confusion pour les résidents principaux comme pour les résidents secondaires.
Le dispositif baptisé « Ici commence la mer. » devrait ainsi permettre une meilleure appropriation des bons réflexes à l’année face à la présence d’une grille d’eaux pluviales évitant ainsi les rejets nuisibles à la qualité de l’eau et à ses usages (baignade et pêche à pied) tels que les mégots, les substances chimiques (solvants, pesticides, peinture, graisse…) et les déjections canines !
Détails du dispositif "Ici commence la mer !"......... A suivre sur le lien, si vous voulez en savoir plus
http://www.cap-atlantique.fr/dossiers/operation-ici-commence-la-mer
Le traict du Croisic entre le Croisic et Pen-Bron la Turballe
Le port du Croisic à marée basse
Kurun (« Tonnerre » en breton) est un cotre de plaisance de type norvégien, dessiné par l'architecte naval Henri Dervin pour le navigateur français Jacques-Yves Le Toumelin, qui effectuera à son bord un tour du monde de 1949 à 1952, puis une croisière aux Antilles en 1954-1955.
Le Kurun fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 30 octobre 19931.Histoire
Il a été construit au chantier Leroux du Croisic entre 1946 et 1948. C'est un cotre à déplacement lourd, du style des plans Colin Archer à arrière norvégien, sans moteur auxiliaire.
Au retour de ses périples, Le Toumelin mit son bateau au sec sous hangar et ne s'en servit plus. L'ayant délaissé depuis 1960, il cèda son bateau en 1986 à une association du Croisic. Après une restauration, Kurun est remis à l'eau en 1991, toujours sans moteur. Il participe à Brest 1996.
Il est classé monument historique en 1993, à la ville du Croisic pour le franc symbolique, sous réserve qu'il ne navigue plus jamais. Cette clause ne fut pas respectée par la ville, obligeant le navigateur à porter plainte . Motorisé en 2004, il participe à de nombreux rassemblements maritimes comme les fêtes maritimes de Brest : Brest 2004, Brest 2008, Les Tonnerres de Brest 2012 et autres, plus modestes.
Géré par l'Association des Amis du Kurun, il effectue maintenant des promenades au départ du Croisic pour les membres de l'association.
Il est parfois amarré, comme yacht agréé, à quai du Musée maritime de La Rochelle.
6 commentaires -
Par Mamé Annie le 6 Juillet 2019 à 00:12
Meme si elle est la reine des fleurs sur les cotes vendéennes on la trouve aussi sur les chemins de bretagne sud
Très belle vivace à la floraison abondante durant tout l’été, la rose trémière enchante les massifs et les murs de nos jardins.
Cette plante a de très jolies fleurs blanches, roses, ou encore pourpres au bout de longues tiges au feuillage léger.
On la trouve souvent sur les routes, les trottoirs et elles sont capables de se semer naturellement presque n’importe où. Leur force leur permet de se nicher là où il y a de la place et de soulever certains revêtements de route.
Elle constitue une fleur idéale pour les jardins champêtres, elle se marie parfaitement avec l’althéa ou les lavatères, de proches cousins.
La rose trémière a depuis toujours des vertus médicinales reconnues pour ses bienfaits apaisants. Les fleurs de roses trémières sont parfaitement comestibles et se consomment aussi bien crues, en salades, qu’en infusion pour en faire des tisanes.
9 commentaires -
Par Mamé Annie le 5 Juillet 2019 à 00:01
Congés
L’adjectif juillettiste (ou parfois juilletiste) désigne quelqu’un prenant des vacances en juillet, par opposition aux aoûtiens, prenant leurs congés en août.
Les congés scolaires annuels les plus longs ont lieu traditionnellement en été à partir de juillet car c’était la saison des récoltes et des fourrages, qui demandaient autrefois un apport important de main d’œuvre agricole (notamment les enfants d'âge scolaire).
Dictons du mois et interprétations
Ces dictons traditionnels, parfois discutables, ne traduisent une réalité que pour les pays tempérés de l'hémisphère nord.
« Juillet doit rôtir ce que Septembre mûrira »
Juillet sans orage Famine au village
Petite pluie de Juillet ensoleillée, Emplit le grenier.
En Juillet petite pluie du matin Est bonne pour le vin.
Entre en Juillet La faucille au poignet.
Quand l’abeille tarde à rentrer, C’est signe qu’il pleuvra demain.
Année de groseille, Année de bouteille.
Ciel bleu foncé, Vent renforcé.
Rouge gorge haut perché, Le beau temps va durer.
Juillet mouillé, Janvier trempé.
En Juillet mois d’abondance, Le pauvre a toujours sa pitance.
La fraîcheur de l’été Amène l’eau au ruisseau.
Si le coq chante le soir C’est signe qu’il va bientôt pleuvoir.
Firmament bien étoilé Changement de temps peu éloigné.
6 commentaires -
Par Mamé Annie le 4 Juillet 2019 à 00:50
En allant chez mon dentiste, j'ai découvert sur le toit de la maison d'en face au premier étage, une colonie de goélands qui venaient de pondre et j'ai suivi sur un mois la croissance des poussins
Les photos ne sont pas trop moches compte-tenu qu'elles sont faites sur du double vitrage pas trop rpropre !
Désignation et étymologie
En réalité, il n'y a guère que la langue française à faire cette distinction de nomenclature entre « mouettes » et « goélands » : pour simplifier, dans la nomenclature normalisée, un goéland est une grosse mouette. En catalan et occitan où existe également une distinction entre les deux espèces les termes équivalents sont respectivement gavina/gavià (catalan) et gabina (ou gabianòla) / gabian (occitan), d'où vient le terme gabian utilisé sur les côtes méditerranéennes. Toutefois, dans ces langues le terme employé a la même origine (l'un est le diminutif de l'autre), contrairement au doublon français mouette/goëland.
L'opinion la plus communément admise est que le français goéland est un emprunt au breton gwelan ou gouelan qui désigne effectivement les goélands et signifie « pleurer » et qui décrit précisément le chant de cet oiseau.
Son équivalent anglais, gull, a une origine brittonique analogue. La désignation des mouettes et goélands est effectivement très homogène dans les langues celtiques du rameau brittonique : gwelan en breton (Gouelan en breton moderne), gwylan en gallois et guilan en cornique. Ces trois termes auraient pour origine commune le celtique *voilenno, racine que l'on retrouve aussi dans les langues du rameau gaélique : l'irlandais faoileán, l'écossais faoileag et l'ancien écossais gûrplan.
Description
Ce sont des oiseaux de taille moyenne ou grande, généralement gris ou blancs, avec souvent des marques noires sur la tête ou les ailes. Ils ont un bec long et épais, des pieds palmés. Les pattes sont de couleur verte, jaune, rose ou rouge.
Les jeunes, souvent nommés « grisards », ont un plumage mêlant le brun, le beige, le gris et le blanc ; ils mettent de deux à quatre ans pour acquérir, progressivement, le plumage adulte complet.
Alimentation
La plupart des goélands sont omnivores, se nourrissant d'animaux et parfois de charognes. Certaines espèces de Goélands sont capables de digérer des os de tailles considérables.
Géographie
Les goélands sont presque tous côtiers ou insulaires, s'aventurant rarement en haute mer. Mais on peut également trouver ces oiseaux dans des villes traversées par des fleuves ou rivières à faible débit.
Sa reproduction
Selon son espèce, un goéland peut vivre seul, en couple ou en colonie. Dès l'âge de 5 ans, la femelle s'accouple avec un mâle pour pondre 2 à 3 œufs au printemps, généralement au mois de mai. Les deux parents se relaient pour couver les œufs, pendant 25 à 30 jours. A leur naissance, les poussins pèsent 65 g et sont couverts d'un duvet beige.
S'ils peuvent quitter le nid dès le 3ème jour, les oisillons ne sauront voler qu'au bout de 5 ou 6 semaines.
Ils garderont leur plumage gris jusqu'à l'âge de 4 ans.
Ils ne vont pas tarder à s'envoler !
5 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique