• LA CARTE POSTALE

     

     

     C'est les vacances ! le temps des cartes postales, galère ou plaisir ? On dit qu'elle  est en voie de disparition à cause d'internet, mais moi, j'aime bien envoyer des cartes postales à mon entourage que je personnalise, paysages, monuments, mer,animaux, fleurs, etc ... Et j'aime bien en trouver dans ma boite à lettres aussi ...

                                           

     

    La carte postale est un moyen de correspondance écrite qui se présente sous la forme d'un morceau de papier cartonné rectangulaire, de dimensions variables (le format le plus courant est le format A6, soit 10,5 x 14,8 cm), envoyé sans enveloppe, l'adresse et l'affranchissement y étant porté directement, aux côtés du message.

     

      Fonctions de la carte postale:

    La carte postale sert principalement à l'envoi d'un message court, sans enveloppe. Souvent, les administrations postales ont un tarif « carte postale », moins élevé que celui de la lettre habituelle, ce qui explique, à l'origine, sa raison d'être, et son succès à une certaine époque.

    Dans les années 1900 à 1920, âge d'or de la carte postale, l'usage en était pratiquement quotidien, de sorte qu'avant la diffusion générale du téléphone, il n'était pas rare de l'utiliser d'un quartier à l'autre de la même ville, par exemple pour se donner rendez-vous le lendemain. Selon les modèles et les époques, un des côtés peut porter une illustration dessinée ou photographique, à vocation, notamment, touristique, artistique ou humoristique.

    Depuis longtemps, la carte postale a pu également être considérée comme un objet de collection. Article détaillé : Cartophilie.

     

     

    Histoire de la carte postale :

    Si l'Angleterre fut le berceau du timbre-poste (en 1840), l'Autriche fut celui de la carte postale. Le docteur Heinrich von Stephan, Directeur Général des Postes et fondateur de l'Union Postale Universelle, en 1865, propose pour la première fois un mémoire sur la carte postale, à la conférence postale de Karlsruhe. L'idée n'est pas reprise tout de suite et il faut attendre le 1er octobre 1869, à Vienne, pour que le professeur Emmanuel Hermann convainque l'administration postale autrichienne de l'intérêt de ce support.

    Apparition de la carte postale en France en 1870 Carte-poste de Paris par ballon monté, 1870-1871. La carte de Strasbourg

     

    En 1870, La Société de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer, future Croix-Rouge internationale émet une carte pour permettre la communication interne entre les comités locaux de cette société. Le 12 août 1870, la ville de Strasbourg, assiégée par l’armée du général Von Werder, refuse toujours de se rendre1. Le comité strasbourgeois de la Société de secours aux blessés, qui possède un stock de ces cartes, propose au général prussien de laisser les blessés et les assiégés communiquer avec leur famille. Le général accepte. Les cartes sont affranchies d’un timbre prussien de  Kreuzer. Ce courrier sera censuré à Karlsruhe, puis transitera par Bâle ! Les premières cartes postales à circuler en France sont transmises par deux administrations étrangères, allemande et suisse, et sont affranchies avec un timbre prussien.

    Durant le siège de Paris, la section des Postes de la capitale crée les cartes-poste, pour « envoi ouvert » par ballon monté, avec l'adresse du destinataire d'un côté et la correspondance de l'autre. 

    Le 20 décembre 1872, la loi de finance, sur proposition du député Louis Wolowski, introduit en France de façon officielle la carte postale.

    L'utilisation de la carte postale officielle n'intervint, en France, que le 15 janvier 1873. Deux types de cartes postales furent d'abord mis en vente dans les bureaux de poste.

     

    L'une, de couleur jaune, affranchie à 10 centimes, était destinée à circuler à découvert en France et en Algérie, dans l'intérieur d'une même ville, ou dans la circonscription d'un même bureau. L'autre, affranchie à 15 centimes, pouvait circuler de bureau à bureau. La seule illustration (si l'on peut dire) de cette carte postale officielle est une frise de 4 mm d'épaisseur, encadrant la partie réservée à l'adresse du destinataire et portant le timbre d'affranchissement et les indications administratives. Le public fit à cette première carte un accueil favorable. Sept millions d'exemplaires s'écoulèrent en une semaine.

    Jusqu'en 1875, la carte postale est restée un monopole de l'administration des postes, ce qui ne signifie pas que des commerçants et des industriels n'en aient pas fait usage, à titre publicitaire, avant cette date.

    Dès 1873, les magasins À la Belle Jardinière font reproduire, au recto des cartes officielles, de petites illustrations représentant leurs immeubles de la rue du Pont-Neuf, à Paris.

    Une carte postale de 1900, représentant l'entrée de la Grande Mosquée de Kairouan La carte postale acquiert rapidement ses lettres de noblesse : ainsi, lors de l'Exposition universelle de 1889, une carte dessinée représentant la tour Eiffel sera vendue à 300 000 exemplaires.

     

     

    Le Marseillais Dominique Piazza semble être le premier à avoir commercialisé, en France, des cartes photographiques en 1891.

    Dès 1892, d’autres villes du sud de la France emboîtent le pas, suivies de Paris. Cependant, les cartes photographiques imprimées restent excessivement rares avant 1897. C'est à cette époque que l'imprimeur Neurdein va éditer des cartes pour chaque ville importante de France, et qu'Albert Bergeret, dès 1898, va produire des cartes illustrant l'Est de la France. Grüss aus Wasselnheim, de l’imprimeur alsacien Pie Ott à Wasselonne, vers 1890. .

    Durant la période qui se situe de l’Exposition internationale de 1889 à celle de 1900, outre les cartes officielles constituées surtout d’entiers illustrés, apparaissent les « Gruss ». Ces cartes allemandes, conviviales et à plans multiples, adressent souhaits, salut. Elles allient perfection et raffinement. La carte postale prend alors un essor considérable, surtout avec l'Exposition universelle de Paris, en 1900.

    Elle va connaître un âge d'or, jusqu'à la fin de la Première Guerre mondiale. À cette époque, les journaux ne comportent pas de photographies. La carte postale peut être utilisée comme un nouveau média : une espèce de télévision avant la lettre. À côté des grands éditeurs nationaux, de petits photographes locaux vont fixer, pour la postérité, les événements marquants, les scènes typiques de la vie quotidienne, de la vie politique, etc.

    Des hôtels, cafés, restaurants, des commerces en tous genres, utilisent la carte postale comme moyen publicitaire : le propriétaire pose avec ses employés et sa famille, devant la vitrine. Tous ces petits moments de l'histoire locale sont aujourd'hui précieux et très recherchés.

     

     

    Jusqu'au début de l’année 1904, il était interdit d'écrire au recto de la carte postale. Trois ou quatre lignes horizontales, sur toute la largeur de la carte, permettaient d'inscrire la seule adresse du destinataire. La photographie (au verso) ne recouvrait pas la totalité de l’espace, pour permettre la correspondance à côté de l’image. On parle alors de « carte nuage » ou « carte nuageuse ».

     

    Le tournant de 1904 :

    division du recto en deux parties À partir de 1904, décision est prise d'autoriser à écrire sur le recto de la carte postale, qui, à cet effet, est divisé en deux parties : l'une, à gauche, réservée à la correspondance, et l'autre, à droite, à l'adresse. Dès lors, la photographie peut librement occuper tout le verso.

    Si, à l'origine, la carte postale est un document presque exclusivement postal, imprimé par l’administration, à cette époque, des photographes, profitant des nouvelles avancées techniques, vendent leur production à une clientèle aisée sur les principaux lieux touristiques. La carte postale va aider la photographie à se diffuser à travers le monde et dans toutes les couches sociales. Le public pourra tellement s'approprier l'image qu'on en viendra même à faire développer des photos au format carte postale :

    c'est ce qu'on appelle les « cartes-photos ».

      L'âge d'or de la carte postale va de 1900 à 1920, environ. Elles circulent par millions, dans le monde entier. Les éditeurs de cartes postales foisonnent, et le moindre buraliste du plus petit village tient à voir son nom imprimé sur les cartes qu'il ne fait que diffuser, pour le compte d'un grossiste de la région.

     

    Le déclin :

    On constate déjà, à partir des années 1920, que les productions sont de moindre qualité. Par souci de rentabilité, les éditeurs font le choix de procédés et de matériaux médiocres et, d'autre part, ils diffusent surtout des vues générales, sans caractère, au détriment de scènes plus typées, mais aussi plus rapidement obsolètes.

     

     

    Mais, surtout après 1918, l'inépuisable créativité de certains éditeurs et illustrateurs ne parvient pas à enrayer une tendance de fond liée à l'évolution des modes de vie. La carte postale connaît un déclin quantitatif continuel, et finit par disparaître de la vie quotidienne, au profit de nouveaux modes de communications (tels que, surtout, le téléphone, puis le courriel) et de nouvelles pratiques de l'image (d'abord avec le développement de la photographie amateur, puis celui des appareils numériques et des pièces jointes).

    Selon une enquête réalisée pour le site internet itv.com auprès de 2 000 Britanniques, la carte postale serait désormais en perte de vitesse, supplantée notamment par les courriels.

    Cette enquête montre, ainsi, que le nombre de cartes postales envoyées, ces dix dernières années, aurait chuté de 75 %, et plus des trois quarts des jeunes trouveraient ce moyen de communication démodé.

    Le coup de grâce est pratiquement donné par l'apparition de la carte postale virtuelle. Il n'en reste pas moins vrai qu'elle reste le seul moyen simple d'envoyer une vue photographique de son lieu de vacances et que les vues présentées sont généralement plus réussies que celles des photographies amateurs.

      On distingue deux périodes, au cours de cette longue évolution : celle des cartes dites « semi-modernes » (de 1918 à 1975), puis celle des cartes dites « modernes » (de 1975 à nos jours). Mais, cette distinction, traditionnelle chez les cartophiles, paraît bien artificielle. Elle reflète surtout le point de vue subjectif des théoriciens de la cartophilie, dont l'âge d'or a précisément commencé au milieu des années 1970.

    D'autres cartophiles font la distinction entre les cartes postales anciennes (CPA), imprimées grâce au procédé de la phototypie, jusque dans les années 1940, les cartes postales semi-modernes (CPSM), produites par héliotypie et héliogravure, entre les années 1930 et 1970 – les cartes à bords dentelés en sont le modèle le plus connu – et les cartes postales modernes, imprimées par offset.

     

    En réaction, on constate chez les éditeurs, depuis la fin des années 1970, un renouveau des sujets proposés : cartes humoristiques élaborées, recours à des photographes célèbres, reproduction d'affiches et de tableaux de maîtres, paysages sublimés ... Par ailleurs, la carte postale redevient un support publicitaire prisé et un moyen de diffusion de la photographie d'art.

     

    Différentes catégories de cartes postales:

     

      La variété des cartes postales est presque infinie.

    Catégories de formes Cartes postales aniconiques (sans illustration).

    Cartes postales dessinées.

    Cartes postales « précurseurs ».

     

    Cartes postales colorisées (par différents procédés techniques).

    Cartes postales à dépliant.

    Cartes postales multivues.

     

     

    Cartes-photos. Catégories thématiques

    Caricature anti-allemande pendant la guerre de 14-18.

    Cartes postales paysagères

    Cartes postales ethnologiques

    Cartes postales artistiques

    Cartes postales familiales

    Carte d'anniversaire

     

    Cartes postales patriotiques

    Cartes postales historiques

    Cartes postales artistiques

    Cartes postales muséographiques

    Cartes postales touristiques

    Cartes postales humoristiques

    Cartes postales aéronautiques

    Cartes postales érotiques

    Cartes postales sentimentales

           J'aime beaucoup envoyer des cartes postales des endroits que je découvre et j'en ai envoyées eaucoup, mais j'aime beaucoup en recevoir aussi .....                                                  

    LA CARTE POSTALE


                                                          

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  • Quand le soleil réapparait les vacanciers envahissent la plage

     

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

     

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

     

    Quand le soleil fete son retour .....

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    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

     Les mouettes et les goelands sont nombreux à marée basse sur l'estran à la recherche de crevettes et petits crustacées dans les algues et les petites pierres

    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

     

    Mouettes, gris et goélands

     

    Jean RICHEPIN

     

    Recueil : "La Mer"

     

    Mouettes, gris et goélands
    Mêlent leurs cris et leurs élans.

    Leur vol fou qui passe et repasse
    Tend comme un filet dans l’espace.

    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

    Mouettes, goélands et gris
    Mêlent leurs élans et leurs cris.

    Parmi les mailles embrouillées
    Grincent des navettes rouillées.

    Mouettes, gris et goélands
    Mêlent leurs cris et leurs élans.

    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

    Ces navettes à l’acier mince,
    C’est leur voix aiguë et qui grince.

    Mouettes, goélands et gris
    Mêlent leurs élans et leurs cris.

    On voit luire en l’air dans les mailles
    Des ors, des nacres, des écailles.

    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

    Mouettes, gris et goélands
    Mêlent leurs cris et leurs élans.

    C’est un poisson que l’un attrape
    Et qu’au passage un autre happe.

    Mouettes, goélands et gris
    Mêlent leurs élans et leurs cris.

     

    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

     

    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

    Holà ! ho ! Du cœur à l’ouvrage !
    La mer grossit. Proche est l’orage.

    Mouettes, gris et goélands
    Doublent leurs cris et leurs élans.

    Mais soudain, clamant la tempête,
    Le pétrel noir au loin trompette.

    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

    Mouettes, goélands et gris
    Brisent leurs élans et leurs cris.

    Vite, vers leurs grottes fidèles
    Ils retournent à tire d’ailes.

    Mouettes, gris et goélands
    Rentrent leurs cris et leurs élans.

    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

    Lui, sa clameur stridente augmente.
    Quand vient ce roi de la tourmente,

    Mouettes, goélands et gris
    N’ont plus d’élans, n’ont plus de cris.

     

    Mouettes, gris et goelands de jean Richepin

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    avis du Petit Futé sur CONFISERIE MANUEL

    image: https://www.petitfute.com/images/logos_pf/plaque-millesim-pf2017.jpg

    Plaque millesim 2017

    Celui qui ne connaît pas cette vénérable maison n'a jamais fréquenté La Baule.

    Car la confiserie Manuel est une institution depuis 1937, date de sa création. Tous les enfants sont venus, parfois à l'insu de leurs parents, chercher bonbons ou caramels dans cette très belle boutique qui fait le coin entre l'avenue du Général de Gaulle et le remblai, autant dire en plein centre. Impossible d'ignorer ici les produits phares qu'on va chercher en famille lors de la promenade du soir.

    Tous ceux qui on fréquenté l'adresse se souviennent avec émotion des niniches, sortes de délicieuses sucettes tendres en caramel parfumé.

     

    Incontournable :

    la Bauloise au caramel beurre salé ou la Caramanuel. Mais les glaces ainsi que les cornets, également de fabrication maison, sont étonnantes. Si vous en mangez une, vous ne pourrez vous empêcher d'y retourner chaque jour, tant celles-ci sont goûteuses et légères.

    Après avoir dégusté joyeusement ces produits, intéressez-vous à la confiserie, un nombre incroyable de bonbons et caramels attendent les gourmands.

    Et les gaufres ! Goûtez celle à la Chantilly maison et chocolat, vous m'en direz des nouvelles. Tant que vous êtes dans la station, fréquentez cette confiserie assidûment et faites des provisions pour le retour, afin de prolonger le goût des vacances.

    Une adresse à ne manquer sous aucun prétexte.

    Informations et horaires sur CONFISERIE MANUEL

    Basse saison : ouvert du vendredi au mercredi de 10h à 19h30. En juillet et août, ouvert tous les jours jusqu'à minuit au minimum. Fermé de 13 h à 14h30.

    Horaires d'ouverture

    Tous les jours sauf le jeudi
    9h30-12h30 et 14h30-19h30

    Juillet-Aout : tous les jours
    9h-13h et 14h30-00h30

     


     
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  • LES NINICHES DE QUIBERON

     

                                                          

                                                     


      

    je me souviens quand nous étions enfants nous allions chaque soir de vacances à Quiberon ,manger notre Niniche chaude au caramel ouà la nougatine, un vrai délice, c'était notre "madeleine de Proust"

     

                                           

     

    Description

    Véritable institution gourmande à Quiberon, la niniche est une petite sucette cylindrique, d’une dureté de porcelaine, déclinée selon une cinquantaine de parfums différents !

    Le mince cylindre de 9 à 10 centimètres, au bout d’un bâtonnet, épouse la couleur (peu marquée) du parfum qu’il représente. Enveloppé de cellophane colorée, il est conditionné en boîte ou en sachets transparents.

    La fabrication démarre dans un chaudron de cuivre où ont été dissous le sucre de canne et le glucose (un sucre de maïs), le beurre frais, le sel de guérande.

    S’y ajoutent éventuellement du lait concentré pour les niniches au caramel, des essences naturelles pour les niniches aux fruits.

     

    Ce mélange est porté à 140 °C, puis versé sur une table froide où il est travaillé manuellement. Il est ensuite étiré au crochet, afin de lui donner sa texture satinée et nacrée. Enfin, le passage à la rouleuse donne naissance à la niniche telle que nous la connaissons.

     

     

                                                                 

     

                                                 

     

     

    Ces sucettes, inventées à Quiberon, en 1946, par Raymond Audebert (également fondateur de la confiserie artisanale « La Maison d’Armorine ») se dégustaient à l’origine chaudes !

    Le jeu consistait à leur donner une forme avant qu’elles ne durcissent. Cette sucette semble s’inspirer d’une friandise bretonne disparue : le caramollet (un bâtonnet de sucre pilé et tordu vendu dans les rues de Dinan et de Saint-Brieuc, dans la seconde moitié du XIXe siècle et au début du XXe siècle).

    Quoiqu’il en soit, la niniche, aujourd’hui renommée, régale tous les vacanciers depuis plus de soixante ans !

    Cette sucette caramel pur beurre, dans sa version épurée, demeure un vrai bonheur, pour peu qu’on en déniche une dans une épicerie de luxe ou dans une fête foraine ! Auteur F. Zégierman, relecture Keldélice.

                                                                   

     

    Cette recette est aujourd'hui référencée au patrimoine culinaire de France.

    Pour en savoir plus :

    http://www.niniche.com/

    http://www.salidou.com/public/histoire.php

     

                                                      

     

     

     

    LES PARFUMS

    La Niniche revêt une cinquantaine de parfums différents, allant des caramels les plus variés aux multiples saveurs naturelles de fruits.

    Fruits : 29 parfums

    Abricot - Ananas - Anis - Banane - Cassis - Cerise - Chocolat - Citron - Cola - Exotique - Fraise - Framboise - Groseille - Jamaïca orange - Lait fraise - Mandarine - Menthe - Melon - Miel citron - Mûre - Myrtille - Orange - Pamplemousse - Perroquet (anis-menthe) - Poire - Pomme - Prune - Réglisse menthe - Tutti-fruti

     

    Caramels : 20 parfums

    Caramel beurre - Caramel amandes - Caramel noisettes - Caramel noix - Caramel pistache - Caramel citron vert - Caramel orange - Caramel café - Caramel feuilleté praliné - Caramel noix de coco - Caramel chocolat - Caramel menthe - Caramel menthe-chocolat - Caramel nougatine - Caramel nougat-sésame - Caramel poire-chocolat - Caramel Grand Marnier - La Bretonne (beurre, pomme, calvados) - L'Antillaise (beurre, banane, rhum)

                                              

                                            

                                                  

     

     Demain, "les Niniches" de La Baule .......

     

     

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