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    "En AVRIL ne te découvre pas d'un fil .... en mai, fais ce qu'il te plait

    En Juin, tu te vétiras d'un rien !"

    Ce commencement de l’année (qui traduit le premier mois complet du printemps) survit au travers de la tradition païenne du poisson d'avril, fêtée le 1er avril.

    Cette célébration populaire est liée à l’ancienne détermination de la fête de Pâques qui a lieu le premier dimanche suivant la première pleine lune de printemps, et qui se produit pratiquement toujours en avril dans le calendrier julien des chrétiens orthodoxes et des traditions sémites (mais a lieu en fin mars environ une année sur trois dans le calendrier réformé grégorien des catholiques romains et des protestants).

     Le quatrième mois du calendrier est portant celui de l'amour, des plaisirs et de la beauté, puique son nom latin "aprilis", qui signifie "ouvrir", rend hommage à la déesse Aphrodite.

    Mois de la légèreté qui s'ouvre, dans chaque région de France mais aussi dans de nombreux pays, par le "jour des fous" de tradition pâienne ou circulent blagues et canulars, notamment dans la presse, et poissons d'avril dans le dos des personnes à qui l'on veut jouer un tour.

    Et puis, c'est aussi le mois qui a vu naitre une jolie petite fleur de Printemps...."Moi" hihihi ! 

     

     LE JOUR MONDIAL DE LA TERRE    

                                                                      

    Célébré pour la première fois le 22 avril 1970 lorsque un sénateur américain encouragea les étudiants à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l'environnement dans leurs communautés, le Jour de la Terre (22 avril) est aujourd'hui reconnu comme l'événement environnemental populaire le plus important au monde.

      Le Jour de la Terre est célébré par plus de 500 millions de personnes dans 184 pays.

    Créée en France en 1990, l'association Le Jour de la Terre a pour mission de protéger l'Environnement en sensibilisant les Français.

      Pour un meilleur avenir, il faut y penser mais surtout agir.

     

    Notre planète en danger Le 30 mars 2005, l'Unesco publiait la première évaluation des écosystèmes pour le millénaire, un rapport accablant sur l'impact de l'homme sur la planète.

    Au cours des dernières années, les activités humaines ont modifié les écosystèmes pour satisfaire une demande croissante de nourriture, d'eau douce, de bois, de fibre et d'énergie...

    Une dégradation irréversible aux conséquences désastreuses puisque le bien-être de l'homme est menacé d'ici à quarante ans.

    Un site à visiter : www.earthday.net

    SIGNE DU MOIS : LE BELIER

                                          

    PAQUES:

    Le jour de Pâques a été fixé lors du concile de Nicée (aujourd'hui İznik, en Turquie), en 325. Le jour de Pâques a lieu le premier dimanche après la pleine lune qui suit le 21 mars.

      Pâques est une fête religieuse qui commémore le passage de la Mer Rouge pour la religion juive et la résurrection de Jésus pour la religion chrétienne.

      C'est aussi une fête païenne qui annonce l'éveil du printemps. Pâques est une fête mobile qui se fête entre le 22 mars et le 25 avril.

    En 2014, Pâques, c'est le 20 avril  et le lendemain est jour férié!l

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    Le Petit Écho de la Mode est un magazine féminin hebdomadaire, fondé en 1880 par Charles de Penanster, disparu en 1983.

     Histoire /

    Ce titre connaît un succès immédiat et atteint un tirage de 300 000 exemplaires en 1900 et plus d’un million et demi d’exemplaires chaque semaine en 1950, avant de disparaître en 1983.

    Dénommé Le Petit Écho de la Mode de 1880 à 1955, puis Petit Écho de la Mode de 1955 à 1977 et enfin Petit Écho de la Mode/Femmes d'Aujourd'hui de 1977 à 1983.

     

    http://www.petit-echo-de-la-mode.fr/site_exposition/e-histoire-petit-echo-mode.php

     

    Les débuts Petit Echo de la Mode de 1888 Charles Huon de Penanster Les réussites commerciales ont souvent leur origine dans une idée simple :

    c'est le cas de celle du périodique féminin.

    Après le Second Empire, les débuts de la civilisation industrielle et le développement de l'instruction éveillèrent des besoins familiaux. C'est pour les satisfaire que fut fondé en 1880 « Le Petit Echo de la Mode ». Il succède, en fait, au « Petit JOURNAL de la Mode » créé l’année précédente, déficitaire (il ne tire que quelques milliers d’exemplaires) et racheté par Charles Huon de Penanster. Le titre devient « Petit Echo de la Mode ».

    La nouvelle formule de ce journal féminin et familial, résolument pratique, marque la naissance d'une nouvelle forme de presse. Elle est aussi le point de départ d'une très grande entreprise d’édition. Charles Huon de Penanster, son épouse Claire Le Roux qui sera l’âme du magazine et Emmanuel Ferré, ami et associé de la première heure, s’adressent ainsi aux mères de famille qu'aucun journal ne touche jusqu'alors et « Le Petit Echo de la Mode » se développe rapidement, dirigé par Philippe Orsoni qu’accompagne une rédactrice en chef virtuelle créée pour l’occasion : la baronne de Clessy.

    Son tirage passe de 5.000 à 100.000 exemplaires après l'insertion d'un roman-feuilleton, imprimé sur pages détachables et reliables. En 1893, l'encartage d'un patron gratuit le fait monter à plus de 200.000 exemplaires.....a suivre sur le lien ...

    1900-1904

     

    1928 - 1916

    1932 - 1940

     

    http://www.chatelaudren.fr/fr/information/29507/le-petit-echo-mode

     

    L' Histoire du Petit Echo de la Mode et des Editions de Montsouris (lien vers le site officiel) Résumé : Le Petit Echo de la Mode, premier et plus grand magazine familial de l'Histoire, est fondé en 1880 par un couple breton, Charles De Penanster et sa compagne Claire qui sera l'âme de la revue.

    Ce titre connaît un succès immédiat et atteint son apogée dans la seconde moitié du XXe siècle avec des tirages de plus d'un million d'exemplaires chaque semaine, avant de disparaître en 1983, après plus d'un siècle d'existence !

    En 1920, à l'étroit dans ses locaux parisiens du Parc de Montsouris, le Petit Echo de la Mode décide de la création d'une filiale en province, loin de la ligne de front et du conflit omniprésent dans les esprits après les ravages de la guerre de 14-18. La direction opte alors pour Châtelaudren. La capitale historique du Goëlo offre à l'entreprise l'énergie hydroélectrique de la rivière «le Leff» et la nouvelle imprimerie érige bientôt la ville en capitale des patrons-modèles.

    Aujourd'hui seule rescapée de l'odyssée des Editions de Montsouris, la friche industrielle bretonne est devenue un Centre Ressources qui, années après années, collecte les éléments d'une formidable aventure éditoriale....a suivre sur le lien ...

    1948 - 1953

     

    1960-1965-1970

                                                   

     N° 48 - 1970

     

    http://www1.rfi.fr/francefr/articles/098/article_62346.asp

    (le Petit Echo de la mode - 100 ans de presse familiale)

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    Lili (bande dessinée)

      Lili, ou L'Espiègle Lili, est un personnage de bande dessinée créé par Jo Valle et André Vallet en 1909.

    Ses aventures se poursuivent (avec quelques interruptions) jusqu’en 1998. La série détient le record de longévité (89 ans) pour une bande dessinée francophone, devant Les Pieds Nickelés (84 ans).

     Historique:

    Les 30 premières années Lili est créée dans Fillette, le 21 octobre 1909, par le scénariste Jo Valle et le dessinateur André Vallet. Quelques épisodes sont dessinés par André Galland. Les vignettes ne comportent pas de bulles, mais des blocs de texte dense, placés en dessous.

    De 1921 à 1936 (avec deux interruptions), la série est dessinée (et certains épisodes sont redessinés) par René Giffey2. Bernadette Hiéris et Al. G.

    C’est en 1946 que Lili rencontre deux auteurs qui lui assurent une grande popularité : la scénariste Bernadette Hiéris et le dessinateur Al. G. (Gérard Alexandre). Al. G. impose un dessin élégant et n’enferme pas ses personnages dans des cases. À partir de Lili travaille (1952, n° 7), il remplace les blocs de texte par des bulles.

    Dans les six premiers albums de cette quatrième série, Lili est une préadolescente turbulente, que ses parents tentent d’assagir. Dans Lili travaille, les parents de Lili essuient un revers de fortune et doivent partir au loin. On ne les reverra plus. Ils laissent leur fille à la fébrile sollicitude d'un tuteur, monsieur Minet. Lili, qui semble soudain plus âgée, doit gagner sa vie. Au fil des albums, elle enchaîne les petits boulots. Moderne, volontaire, elle garde toujours sa bonne humeur, et pardonne inlassablement à ses ennemis.

    Les 36 dernières années À partir de Lili à Chantalouette (1962, n° 25), Bernadette Hiéris cède la place à Paulette Blonay pour le scénario. Al. G. meurt en 1974.

    À partir de Lili et le grand Ted (1980, n° 47), le dessinateur Jacarbo prend le relais, suivi par Jo Martin (de 1986 à 1988), Paulette Blonay assurant toujours le scénario. En 1996, la série reprend, scénarisée par François Garnier et Florence Crémoux, et dessinée par Anne Chatel. La rupture est consommée entre les générations de lectrices : les plus anciennes restent nostalgiques de la Lili des années 1950, tandis que les plus jeunes préfèrent une Lili plus proche de leurs préoccupations, telle que dans Lili chez les Top Models (1996) ou Lili à Chérie FM (1998).

    La série s’arrête en 1998.

      

    Personnages Lili :

    Personnage titre de la bande dessinée. Il s'agit d'Élisabeth, Alice, Amélie, Elise, Marie-Line d'Orbois, dite Lili. Elle est issue d'une famille riche qui a connu des revers de fortune.

    En 1909, Lili est une petite fille turbulente. Elle grandit, se marie (en 1923), rajeunit, vieillit à nouveau, au gré des épisodes et des changements d’auteur. Aujourd’hui, elle est surtout connue sous les traits d’une adolescente débrouillarde des années 1950, telle que l'a racontée Bernadette Hiéris et telle que l'a dessinée Al.

      

    1926 - 1927

     

    G. Monsieur Minet :

    Monsieur Minet apparaît dès Lili en voyage (1949, n° 1 de la quatrième série). Il n’est encore que le professeur de Lili. Il devient son tuteur dans Lili travaille (1952, n° 7). Il est d’une nature extrêmement inquiète. Il est également distrait, naïf et empoté : « Vous ne savez donc même pas traire ? se moque la fermière dans Lili à la ferme. Qu’est-ce que vous faites dans la vie ? — Je suis professeur de philosophie ! »

     

    Les cousines de Saint-Herbu :

    D’une noire méchanceté, mère et fille sont jalouses de leur cousine Lili.

     

    Dan : C’est le camarade américain de Lili.

     

    Gédéon :

    C’est un photographe, ami de monsieur Minet.

     

                                                                

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    Avant-guerre :

    du numéro 1 du 17 juillet 1921 au n° 11 du 15 mars 1942. Le journal offre dès le premier numéro une poupée comme prime d’abonnement.

    Elle mesure 33 cm. Les poupées changent de taille au fil des années, 35 cm, 45 cm. La poupée de Lisette reste en porcelaine jusqu’en 1934. Elle est proposée en version incassable dès 1923.

    Après 1934, apparaît une poupée Lison, dodue, qui paraît être en composition.

    http://noushabillonslespoupees.fr/page73.html

    Jusqu’en 1946, les patrons proposés pour la poupée sont des versions adaptées à la poupée des patrons vendus pour habiller les petites filles.

    Publicité du 16/09/1923

    De 1921 à 1932 la poupée Lisette mesure 33 cm ou 35 cm , tête en porcelaine ou incassable, selon les années. Francette mesure 35 cm.

    Publicité du 26/10/1921

     

    1962

    Après-guerre :

    Lisette paraît du 12 mai 1946 au numéro 17 du 29 avril 1973.

    Puis le journal devient Lisette et Mademoiselle Caroline jusqu’ en août 1974. La poupée d’immédiat après-guerre est en terre de pipe.

    Puis apparaît Lisette en « Veralith », bientôt remplacée par Lisette en plastique de la firme Gégé. Paraissent aussi des almanachs ou des hors-séries « Lisette vacances » où il y a parfois des ouvrages pour la poupée. A partir des années 70, plus de patron pour poupées (à ma connaissance)

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  •       Année 1960                                             

     

    Je crois savoir que beaucoup d'entre nous lisaient le journal "LISETTE", ma marraine m'avait abonnée

     

    Lisette est un périodique disparu des Editions de Montsouris destiné aux jeunes lectrices de 7 à 15 ans, qui paraît de 1921 à 1942 puis de 1946 à 1973. Il est dirigé par Monique Chollet.

    À partir de 1964, le contenu est le même que celui de l'hebdomadaire Nade, du groupe Bayard presse, il est alors dirigé par Pierrette Rosset jusqu'au 30 avril 1973, date de l'arrêt de sa publication.

    Dans les dernières années, l'hebdomadaire est édité au format 21 x 29,7 cm, 48 pages, illustré de photos couleurs et de gravures noir et blanc, avec une couverture souple, en couleur. Les pages sont agrafées. On y offre des bons, des primes, des objets.

    Parmi toutes ces offres, de nombreuses poupées, ainsi que des patrons, des jeux à découper, plier et monter jusqu'en 1969. La revue, dont la maquette est réalisée par Véronique Boiry, est éditée en quadrichromie à partir de 1970 et change de formule. Elle s'adresse alors à des fillettes modernes, avec une tournure légèrement féministe.

     

    On y trouve des reportages sur les métiers récemment accessibles aux femmes :

    l'interview de la première femme entrée à l'École polytechnique de Paris, Anne Chopinet, paraît dans le numéro du 1er octobre 1972, celle de la première femme aviatrice de carrière

    dans le numéro de 10 mars 1972.

    L'hebdomadaire offre aussi des dossiers-nature rédigés entre autres par Allain Bougrain-Dubourg, des bandes dessinées du tandem Henriette Bichonnier-François Bourgeon, ainsi que des pages pédagogiques sur l'actualité, et des pages de mode réalisées par Laure Boyer et Constance Poniatowski.

    . Le journal offre dès le premier numéro une poupée comme prime d’abonnement. Elle mesure 33 cm. Les poupées changent de taille au fil des années, 35 cm, 45 cm. La poupée de Lisette reste en porcelaine jusqu’en 1934. Elle est proposée en version incassable dès 1923.

    Après 1934, apparaît une poupée Lison, dodue, qui paraît être en composition.

    Jusqu’en 1946, les patrons proposés pour la poupée sont des versions adaptées à la poupée des patrons vendus pour habiller les petites filles.

     

    Lien externe Le blog d'une ancienne lectrice des années 1960 et 1970 qui a reconstitué sa collection :

    http://lisettejournaldespetitesfilles.blogspot.com

    http://vulcain.canalblog.com/archives/2012/10/08/25258955.html

     

    Année 1962

    Jusqu’en 1946, les patrons proposés pour la poupée sont des versions adaptées à la poupée des patrons vendus pour habiller les petites filles.

    Après-guerre : Lisette paraît du 12 mai 1946 au numéro 17 du 29 avril 1973. Puis le journal devient Lisette et Mademoiselle Caroline jusqu’ en août 1974.

    La poupée d’immédiat après-guerre est en terre de pipe. Puis apparaît Lisette en « Veralith », bientôt remplacée par Lisette en plastique de la firme Gégé.

    Paraissent aussi des almanachs ou des hors-séries « Lisette vacances » où il y a parfois des ouvrages pour la poupée.

    A partir des années 70, plus de patron pour poupées (à ma connaissance).

     

     

    http://lesjumellesnicoleetcolette.blogspot.com/feeds/posts/default?orderby=updated

    Pour la suite de l'histoire cliquez sur le lien ....

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