6. Tu parles, Charles !
Traduction : Prends pour une pomme, je ne suis pas né de la dernière pluie et je sais pertinemment que tu me racontes des cracs.
7. Embrasser Fanny
Traduction : Perdre une partie de pétanque sans avoir remporté un seul petit point. La misère. On est alors censé embrasser le uk dénudé d’une représentation féminine (n’allez donc pas faire ça pour de vrai à une femme sinon ça ira mal pour vous) censée s’appeler Fanny. Hyper cheloue cette tradition.
8. Fesse-Mathieu
Traduction : Être une grosse vilaine radasse qui préfère crever que de lâcher une clope (ou un euro). A la base ça vient de « face de Mathieu » en référence à Saint-Matthieu qui était probablement usurier.
9. Relaxe, Max !
Traduction : Pas de panique mon coco, tu n’as rien à te reprocher, la vie est belle, les oiseaux chantent. Pas aussi bien que Hervé Christiani mais quand même.
10. En voiture Simone
Traduction : Expression popularisée par Guy Lux, elle est au summum de sa popularité dans les années 70. Mais elle remonte à Simone Louise de Pinet de Borde des Forest, première femme à avoir eu son permis de conduire en 1929. Classe quand même. Bon aujourd’hui ça veut surtout dire « Bouge ton popotin et plus vite que ça ! ».
11. À l'aise, Blaise !
Traduction : C’est tellement facile, que j’ai fait ça les doigts dans le nez. Equivalent de « Relax, Max » (généralement, on donne les deux expressions à la suite).
12. Avaler le Gaspard
Traduction : Communier (oui on sait, là comme ça vous pensiez à un truc beaucoup plus sale).
13. Gros Jean comme devant
Traduction : Il faut savoir qu’autrefois « gros-Jean » désignait un mec un peu concon et le mot « devant » est à comprendre ici comme « avant ». En gros, plus on t’explique quelque chose moins tu comprendre.
Rien à voir avec le pantalon jean en tout cas.
14. Se faire appeler Arthur
Traduction : se faire engueuler bien comme il faut (sûrement parce qu’on l’a un peu mérité). Mais alors pourquoi Arthur me direz-vous ? Ça viendrait de la Seconde Guerre mondiale (trop ma pref) durant laquelle un couvre-feu était fixé à 20h (tin l’enfer, comment ça devait etre insup’, j’ose même pas imaginer). Or « 20 heures » en allemand ça donne « Acht Uhr », ce que criaient les patrouilles pour faire fuir les retardataires. Par déformation, ce serait ainsi devenu « Arthur ». Cocasse, pas vrai ?
On a vraiment un paquet d’expressions françaises très cheloues quand même.
Hé bien j'en connais pas vraiment faut dire qu'on ne les entend plus
Bonne journée
J'en connaissais certaines, mais il faut dire qu'on ne les emplie plus beaucoup
Bonne journée