Partagez ma vie de retraitée entre "sel et mer", sur la merveilleuse presqu'ile du Pays Blanc près de Guérande. Trouver le temps d'écouter, de regarder la mer et la nature, d'aimer de rire est ma devise. Je dédie ce blog à mes petites filles en espérant qu'elles pourront le lire quand elles seront plus grandes et y découvrir des histoires d'hier et d'aujourd'hui.
" La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents Gandhi"
Des images du passé que l'on je verra sans doute plus jamais dans les rues !
La coiffe bigoudène est une coiffe de cérémonie, qui était portée par les femmes en Bretagne. À l'origine symbole de révolte, cette pièce en dentelle est devenue l'un des symboles de la région.
Selon la légende, la fameuse coiffe bretonne remonte au 17e siècle. Les femmes de la pointe bretonne l'auraient portée en signe de révolte contre Louis XIV qui voulait à l'époque augmenter des taxes. La hauteur des coiffes (jusqu'à 40 cm) serait une référence aux clochers des églises.
Dans l'histoire bretonne, il y avait ces fameuses coiffes hautes en dentelle, coton ou lin, portées lors des cérémonies. Mais aussi des coiffes utilisées lors des travaux quotidiens, qui ressemblaient à de simples turbans.
De la tradition au folklore
Après la Seconde Guerre mondiale, les bigoudènes (nom donné également aux femmes bretonnes) sont devenues désuètes mais elles ont peu à peu représenté une importante source de revenu pour la région. Dans les années 60 par exemple, 270 ouvrières fabriquaient dans un atelier de Pont-Aven des poupées bretonnes, exportées dans le monde entier.
Pendant des décennies, ce savoir-faire a permis à des milliers de bretonnes de travailler et de partager leur culture jusqu'à la Maison blanche. Une poupée a en effet été offerte à Caroline Kennedy. La haute coiffe bretonne est aujourd'hui l'un des principaux symboles folkloriques de la culture bretonne.
Les ingrédients pour mettre au point une coiffe bretonne ?
Du temps, une coiffe, beaucoup d’épingles, mais aussi, au choix, du beurre, des œufs, de la bière ou du savon !
Enfin ça, c’était à l’époque, avant l’invention de la laque.
« Il fallait que les cheveux soient bien pris et que ça tienne la journée ! », explique Gwen Richard, du cercle celtique de Pont-l’Abbé (29), rencontré à Quimper lors d’une démonstration de poses de coiffes, dans le cadre du Festival de Cornouaille.
Coucou Annie ! J'aime les coiffes je viens d'apprendre comment on les faisaient tenir avant la laque . Et comme tout cela se perd dommage .Un article avec beaucoup d'humour toujours agréable !
Oui elles sont jolies mais pas très pratiques à notre époque, tu imagines pour rentrer dans une voiture !
Quand j'étais petite on en voyait encore dans la rue et sur les marchés, elles faisaient de la dentelle, des nappes des gants et puis pu à peu elles ont disparues avec les vieilles femmes !
Coucou Annie ! J'aime les coiffes je viens d'apprendre comment on les faisaient tenir avant la laque . Et comme tout cela se perd dommage .Un article avec beaucoup d'humour toujours agréable !
Bises
Oui elles sont jolies mais pas très pratiques à notre époque, tu imagines pour rentrer dans une voiture !
Quand j'étais petite on en voyait encore dans la rue et sur les marchés, elles faisaient de la dentelle, des nappes des gants et puis pu à peu elles ont disparues avec les vieilles femmes !
Soleil aujourd'hui, bonne journée