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    http://image.toutlecine.com/photos/f/e/m/femme-du-boulanger-02-g.jpgPour le "casse tete" de la semaine sur la "FEMME", "La femme du boulanger" de Marcel Pagnol

     

     

    La Femme du boulanger est un film français réalisé par Marcel Pagnol d'après un passage du roman Jean le Bleu de Jean Giono, sorti sur les écrans en 1938.

     

     

    Synopsis

    Dans un village de haute Provence, un boulanger récemment installé découvre un matin que sa jeune femme est partie avec un berger. Il décide de faire la grève du pain tant que sa femme n'est pas revenue. Le village se mobilise pour pouvoir retrouver sa boulangerie.

     

    * Quand Pagnol prépare le tournage de La Femme du boulanger, il est alors en froid avec Raimu.

     

    L'auteur envisage de confier le rôle du boulanger à l'un de ses interprètes habituels, Maupi[]. Mais bientôt une évidence s'impose, et Maupi lui-même reconnait qu'« il n'y a qu'un comédien pour jouer le rôle du boulanger, c'est Jules [Raimu] ». Raimu se fait prier, et Pagnol, agacé par son « numéro de coquette », décide d'engager Henri Poupon. Finalement, après des réticences de part et d'autre, Raimu accepte d'interpréter Aimable[2]. * Pour le choix de l'interprète du rôle-titre, le cinéaste-auteur hésite longuement. Pendant un moment, il pense engager l'actrice américaine Joan Crawford, dont l'agent est contacté ; elle ne parle pas le français, Pagnol réduit donc au minimum les répliques du personnage d'Aurélie. Raimu suggère alors le nom d'une comédienne qui a été sa partenaire sur scène, Ginette Leclerc ; grâce à ce rôle, elle devient une vedette 

     

    * Le tournage a eu lieu dans le petit village du Castelet, près de Bandol[3].

     

    * Jusqu'à présent, il n'existe aucune version DVD du film.

     http://images.allocine.fr/r_760_x/b_1_cfd7e1/medias/nmedia/18/71/92/99/19721047.jpg

    Histoire du texte et première adaptation par Pagnol

    Marcel Pagnol avait écrit une historiette destinée au cinéma sous le titre Le Boulanger Amable. Amable est un boulanger ivrogne sauvé de la déchéance par l’amour d’une servante d’auberge qui devient sa boulangère. Ce récit devait devenir un film, mais Pagnol lut une nouvelle de Jean Giono, La Femme du boulanger, et décida de tourner plutôt l’histoire de ce « pauvre homme habité par un grand amour et qui ne faisait plus de pain parce que sa femme était partie ».

    C’est le fameux film de 1938, avec Raimu dans le rôle titre, qui fit l’admiration d’Orson Welles. Le scénario est assez différent du récit violent que Giono insérera dans Jean le Bleu.

    Les bergers de Giono sont des mâles fiers et sauvages qui dansent autour de grands brasiers ; les villageois en viennent aux poings ; le marquis est un seigneur mystérieux accompagné de créatures sensuelles.

    Pagnol avait déjà adapté trois œuvres de Giono :

    Jofroi de la Maussan donna le film Jofroi en 1933, Un de Baumugnes devint Angèle en 1934 et Regain fut porté à l’écran sous ce même nom en 1937.

     

    La Femme du boulanger est donc le dernier film de la « période Giono ».

      http://www.notrecinema.net/aviscine/images/wallpapers/14000/14836_la_femme_du_boulanger_la_femme_du_boulanger__lafemmeduboulanger4.jpg

     

    Autres adaptations

     

    En 1943, Giono, en bisbille avec Pagnol, adapte sa nouvelle pour le théâtre. Le boulanger, abandonné par sa femme, tente au départ de se faire passer pour mort afin « d’effacer la vie » et il en profite pour dire ses quatre vérités à tout le village.

     

    Après la Seconde Guerre mondiale, Pagnol adapte son propre film pour la scène et une troupe de jeunes comédiens en donna une unique représentation.

     

    En 1985, sa pièce est reprise par Jérôme Savary avec Michel Galabru dans le rôle du boulanger.

     

    En 1998, une nouvelle version du film de Pagnol est tournée pour la télévision par Nicolas Ribowski avec Roger Hanin.

     

    En décembre 2010, une pièce filmée en direct, version adaptée et mise en scène par Alain Sachs, est diffusée sur France 2, à nouveau avec Michel Galabru dans le rôle du boulanger. Philippe Caubère y est le marquis, Titoff le curé, Jean Galabru l'instituteur et Patrick Fiori le berger donnant la sérénade.

    Autres interprètes :

    Bernadette Lafont (Céleste), Laëtitia Milot (Aurélie, la boulangère), Bernard Larmande (Barnabé), Maxime Lombard (Maillefer), Roger Souza (Antonin), Jean-Claude Baudracco (Pétugue), Jean-Claude Bourbault (Casimir), Michèle Garcia (Miette), Jean-Marie Lecoq (Arsène, le boucher), Clémence Massart(Céleste), Julien Baudraco (Esprit) et Emmanuelle Galabru (Petite).

     

    En 2012 la pièce est de nouveau jouée avec Michel Galabru au théatre hebertot 17ème arrondissement de PARIS avec pour compagnons de scène :

    Christophe Abrial, Julien Cafaro, Jean Galabru, Sylvie Genty, Marianne Giraud, Bernard Larmande, Maxime Lombard, Christophe Mondoloni, Dominique Regnier, Roger Souza, Philippe Uchan. Jusqu'au 01 Juillet 2012 et puis une tournée en Province à partir du mois d'Octobre.

      http://www.ladepeche.fr/content/photo/biz/2011/07/01/201107011391_zoom.jpg

    Bibliographie

    * Marcel Pagnol, La femme du boulanger, Collection « Fortunio, Éditions de Fallois, 2002, p. 18. Film à lire.

    * Jean Giono, Jean le Bleu, Collection « Le livre de poche », LGF, 1995

    * Jean Giono, La femme du boulanger, Collection « Folio », Éditions Gallimard, 1979.

    * Marcel Pagnol, La femme du boulanger, L’Avant-scène théâtre, 1985.

    * Marcel Pagnol, La femme du boulanger, Collection Fortunio, Édition de fallois Liens externes

     

     

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    Pour les Seventies du Lundi je vais faire un petit hommage à GERARD RINALDI

    http://www.francesoir.fr/sites/default/files/dynimagecache/0/1987/1410/7-0-1987-1410-494-351/sipa_00622892_000005.jpg 

    Gérard Rinaldi : Mort d'un artiste complet Mort de Gérard Rinaldi Publié le 2 mars 2012 à 17h41

    Mis à jour le 3 mars 2012 à 12h40

    Gérard Rinaldi est mort ce vendredi d'un lymphome à l'âge de 69 ans à l'hôpital de Briis-sous-Forge (Essonne). Il avait connu le succès avec les Charlots, mais il a poursuivi sa carrière seul avec la même réussite.

    Gérard Rinaldi dans "Le grand bazar" au cinéma en 1973 Gérard Rinaldi dans "Le grand bazar" au cinéma en 1973 SIPA/DDP IMAGES FILMFOTOS Gérard Rinaldi s'est éteint ce vendredi, à l'âge de 69 ans.

    Célèbre pour avoir été le leader du groupe Les Charlots, il a su s'imposer au cinéma, à la télévision, en tant qu'acteur mais aussi en tant que voix de doublage dans des séries américaines et au théâtre.

     

    Retour sur une carrière exceptionnelle.

    La chanson Gérard Rinaldi aurait pu être un éternel Charlot. Mais, il a su prouver qu'il était un artiste complet. Il a commencé sa carrière par la chanson avec le groupe musical les Problèmes en compagnie d'Antoine.

    Avec les quatre autres membres du groupe, Gérard Filipelli, Jean Sarrus, Luis Rego et Jean-Guy Fechner, Rinaldi créé Les Charlots en 1966 qui rencontre un grand succès populaire des parodies et des chansons paillardes telles Paulette, la reine des paupiettes, Merci patron, Sois érotique, qui se hissent en tête du hit-parade.

     

    Le cinéma

    Mais, Gérard Rinaldi a plusieurs cordes à son arc et ne manque pas d'ambition. Il décide alors d'amener ses compères avec lui au cinéma. Le réalisateur Philippe Clair fera des Charlots les stars de son deuxième film,

    La grande java marquant leurs débuts dans le 7e art.

    Puis, ils collaboreront à de nombreuses reprises avec Claude Zidi.

    Des Bidasses en folie au Grand Bazar, des Fous du stade aux Charlots en délire d'Alain Basnier ou aux Charlots contre Dracula de Jean-Pierre Desagnat, le groupe réalisera une quinzaine de films.

    Puis, il reviennent à la musique pour un dernier tube.

    En 1983, l'Apérobic, pastiche de l'émission culte de Véronique et Davina, remonte, le temps d'un single, les Charlots au sommet du hit parade.

    Luis Rego commence alors une carrière solo, suivi par Gérard Rinaldi, en 1984, qui sent le vent tourner.

     

    Il joue alors dans quelques films dont La Vie dissolue de Gérard Floque de Georges Lautner ou Funny Boy de Christian le Hémonet, toujours au cinéma. Il tournera sous la direction Patrick Timsit pour Quelqu'un de bien, son dernier long métrage sorti en 2002.

     http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/ZoomPE/3/3/0/3760063955033.jpg

    Mais, la télévision aussi lui a fait les yeux doux. La télévision La carrière télé de Gérard Rinaldi commence dans les fameuses Saintes Chéries de Jean Beckerdès 1970.

    Dans l'épisode Eve et son premier client, il donne la réplique à la grande actrice Micheline Presle. Il attendra donc dix-sept ans avant de retrouver le petit écran. Mais l'attente valait le coup puisqu'il entre la peau du personnage principal d'une série, Marc et Sophie.

    Il est Marc, un vétérinaire sympathique dont la femme Sophie est médecin et citadine. Les aventures du couple et de leurs voisins amusent les Français qui se reconnaissent en eux. Un succès popualire qui durera quatre ans (de 1987 à 1991).

    http://www.mange-disque.tv/fs/md_452.jpg 

    Il fait également des appartions dans Cluedo, Les Cordier juge et flic, Blandine l'insoumise, Commissaire Valence, Fabien Cosma ou encore Père et maire, puis La Nouvelle Maud et Chez Maupassant en 2011.

     

    Une voix

    Mais, sa carrière ne s'arrête pas là. Celui qui a connu le succès grâce à la chanson a également prêté sa voix dans des séries animées et des séries américaines. Ainsi, il passe de la voix de Dingo le chien, à celle de Sipowicz dans New York Police Blues, au commandant Sinclair dans Babylon 5, ou encore de l'agent du FBI Tobias Fornell dans NCIS : enquêtes spéciales. Mais, il est aussi la voix de l'impitoyable Montgomery Burns, le petit vieux aigri et riche des Simpson qui possède la centrale nucléaire. Mais pas seulement puisqu'il est aussi celle de trois autres autres personnages de la série animée : le Chef Wiggum, Kent Brockman et Krusty le Clown.

     

    Le théâtre

    Gérard Rinaldi a aussi foulé les planches, avec succès et encore une fois, il a côtoyé les sommets en jouant notamment dans l'univers de Feydeau. Il a interprété le double rôle du bourgeois Chandebise et de l'ivrogne Poche dans La Puce à l'oreille, dans une mise en scène de Jean-Claude Brialy (1992-1993). Puis, il retrouve Feydaux dans Le ruban en 1998.

    Il joue aussi dans des pièces de boulevard comme Le canard à l'Orange avec la belle Grâce de Capitani.

    Un artiste complet s'en est allé ce vendredi. Par M.-E. W.-J.

     

     

    http://www.francesoir.fr/people-tv/people/gerard-rinaldi-mort-d-un-artiste-complet-191172.html

    http://www.leprogres.fr/fr/images/82424581-5DE1-4A4B-900F-8391EBBBEEC2/LPR_03/afp.jpg 

     

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  • Une chanson me vient à l'esprit pour illustrer le thème de la semaine sur la LUMIERE

     

    "Entrez dans la Lumière" de Patricia Kass

     

     

     

     

     

    Et puis "la fete des lumières"à Lyon

    La Fête des Lumières, autrefois appelée fête du 8 décembre ou fête des illuminations, est une manifestation populaire qui se tient chaque année quatre jours autour du 8 décembre, date traditionnelle de l'évènement, à Lyon (France).

     

      http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/20/La_Place_des_Terreaux.JPG/800px-La_Place_des_Terreaux.JPG

     

    La ville de Lyon vénère la Vierge Marie depuis le Moyen Âge et s'est mise sous sa protection en 1643, année où le sud de la France était touché par la peste : les échevins de Lyon, le prévôt des marchands et les notables firent alors vœu de rendre hommage chaque année à la Vierge si l'épidémie de peste cessait. Depuis, un cortège solennel municipal se rend à la basilique Notre-Dame de Fourvière depuis la Cathédrale Saint-Jean chaque 8 septembre (et non le 8 décembre), jour de consécration de la ville à la Vierge, le jour de la fête de sa Nativité, pour lui offrir cierges et écus d'or :

    il s'agit du Vœu des Échevins Confusions régulières[modifier]

    Les versions quant à l'origine de cette célébrations prètent à confusion :

    souvent le mélange des vœux à la Vierge et l'oubli des dates fait remonter l'origine des Illuminations, voire la création de la Basilique Notre-Dame de Fourvière, à un vœu prononcé après une épidémie de peste qui aurait sévi en 1643.

     http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/65/Cath%C3%A9drale_de_Fourvi%C3%A8re.JPG/800px-Cath%C3%A9drale_de_Fourvi%C3%A8re.JPG

    Premières illuminations du 8 décembre

    En 1852, est inaugurée la statue de la Vierge Marie érigée sur la chapelle de la colline de Fourvière. Réalisée par le sculpteur Joseph-Hugues Fabisch, elle a été proposée par quelques notables lyonnais et fervents catholiques puis acceptée par le cardinal de Bonald en 1850.

    L'inauguration de la statue aurait dû avoir lieu le 8 septembre 1852, jour de la fête de la nativité de la Vierge et date anniversaire du vœu des échevins de 1643. Mais une crue de la Saône aurait empêché qu'elle fût prête ce jour-là et que la cérémonie s'effectuât. L'archevêché, en accord avec la commission des laïcs, choisit alors de reporter l'inauguration à la date du 8 décembre.

    Or, le 8 décembre est la date de la fête de l'Immaculée Conception de la Vierge, fête célébrée depuis le IXe siècle, même si la proclamation du dogme ne date que de 1854. Les jours qui précèdent l'inauguration, tout est en place pour les festivités : la statue doit être illuminée par des feux de Bengale, on prévoit des feux d'artifices depuis le haut de la colline et des fanfares vont jouer dans les rues. Les notables catholiques lyonnais proposent d'illuminer les façades de leurs maisons comme cela se fait traditionnellement pour les grands évènements (entrées royales, victoires militaires...).

    Mais le 8 décembre au matin, un violent orage s'abat sur Lyon. Le maître des cérémonies décide aussitôt de tout annuler et de reporter les réjouissances nocturnes au dimanche suivant. Puis, finalement, le ciel se dégage, et la population lyonnaise qui avait tant attendu cette cérémonie, d'un geste spontané, illumine ses fenêtres, descend dans les rues et quelques feux de bengale allumés à la hâte éclairent la statue et la chapelle de Notre-Dame-de-Fourvière (la basilique n'existe pas encore).

    Les Lyonnais chantent des cantiques et crient « Vive Marie ! » jusque tard dans la nuit.

      http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/01/Multicolour-candles-2.JPG/220px-Multicolour-candles-2.JPG

    Poursuite de la tradition

    Lumignons

    Depuis 1852, la fête a été reconduite chaque année. La tradition veut que chaque famille lyonnaise conserve désormais avec ses décorations de Noël, son assortiment de verres du 8 décembre, épais et parfois colorés. On appelle ces verres garnis d'une bougie des « lumignons ». Dès le mois de novembre, on trouve dans les magasins des sacs de ces fameuses bougies courtes et cannelées comme des gâteaux, ainsi que des assortiments de verres. Le soir du 8 décembre, les bougies sont allumées et placées dans les verres déposés sur le bord des fenêtres.

    Depuis la municipalité de Michel Noir en 1989, la fête spontanée est accompagnée par des animations proposées par la municipalité et les professionnels du spectacle. Ces animations ont fait que cette fête a revêtu un caractère également touristique, attirant plusieurs millions de visiteurs chaque année. La participation populaire demeure néanmoins très présente du fait des façades illuminées et des déambulations le soir du 8 décembre. Affluence exceptionnelle dans le métro lors de la Fête des lumières (ici à Bellecour en 2006)

    Toutefois, et malgré un attachement de la population lyonnaise à la tradition, les fenêtres pourvues de lumignons demeurent minoritaires aujourd'hui. Ceci s'explique notamment parce que la fête commerciale a fait de l'ombre à la tradition religieuse.

    La fête ne cesse cependant de prendre de l’ampleur et la présence, ces dernières années, de concepteurs nationaux et internationaux de renom illustre bien le rayonnement international grandissant de cette manifestation. Étendue sur 4 jours depuis 1999,

     

    Lyon 8 décembre

    – Fête des Lumières anime tous les quartiers et offre dans toute la ville des scénographies et des spectacles de lumière innovants et surprenants, sur des sites traditionnels ou insolites.

    En 2010, 3 millions de personnes ont déambulé dans les rues de Lyon pour la Fête des Lumières[1].

    Heavent Sud, le salon des professionnels de l’évènement, organisait, le 29 mars 2007 au Palais des Festivals de Cannes, la première édition des trophées de l’évènement.

    La Fête des Lumières s’est vu décerner le trophée du « meilleur évènement Grand Public 2006 ».

    Article Wikipédia

     

    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/ed/Lumiere_Lyon_France.jpg

     

    C'est beau une ville la nuit !

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  • http://www.moviepilot.de/files/images/0611/8880/THE_ARTIST_Peppy_mit_Uggy_Delphi_kl.jpg

    Ce lundi 27 février, on Fête Sainte Honorine.

     

    Nous sommes le 58ème jour de l'année.

    Aujourd'hui nous fêtons les : Galmier, Honorin, Honorine

    Demain n'oubliez pas de Fêter les : Antoinette, Léandre, Romain, Toinon

     

    Le proverbe du jour :

    "Plus vieux est le bouc, plus dure est sa corne" [Proverbe belge]

     

    Le dicton du jour :

    Février remplit les fossés, mars les vide.

     

    Citation du jour :

    Les bonheurs que je me rappelle je ne les ai pas poursuivis ni cherchés au loin, ils ont poussé et fleuri sous mes pieds, comme les pâquerettes de mon gazon. Rien n'arrive dans la vie ni comme on le craint ni comme on l'espère. [Alphonse Karr] Une Poignée de vérités. Mélanges philosophiques.

     

    La pensée du jour :

    L'impossible nous ne l'atteignons pas, mais il nous sert de lanterne

    <René Char(poète francais 1907_1988)

      http://l.yimg.com/bt/api/res/1.2/4YKxxX4Qg6MWJqHh8tXxuQ--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Zmk9aW5zZXQ7aD02MDY7cT04NTt3PTUwMA--/http://media.zenfs.com/fr_CA/News/Showbizz/84oscarstatuette.jpg

    L'expresion du hour :

    "ETRE LE MECENE DE QUELQU"UN"

    Soutenir quelqu'un financièrement

     

    Proche de l'empereur romain Auguste, Caius Cilnius Maecenas(vers 69 av. J.C.) mieux connu sous son nom francisé de Mécène, était l'ami des écrivainset des artistes.

    Il décida de mettre à profit son influence et sa fortune pour les promouvoir et les aider financièrement.

    Grace à lui, de grands auteurs comme Horace ou Virgile purent se consacrer entièrement à leurs oeuvres.

    Patron des poètes, ce bienfaiteur des arts apparait très fréquemment dans les vers de ses protégés,de manière directe ou sous forme elliptique.

     

      http://static1.purepeople.com/articles/7/96/60/7/@/802326-image-du-film-the-artist-637x0-3.jpg

     

    http://media.actu.woopic.com/pictures/culture/photo_1330317375789-59-0.jpg

    L'Oscar du meilleur a été remis à The Artist de Michel Hazanavicius.

     

    Après les mots émus du producteur Thomas Langmann, le réalisateur a lancé des mots d'amour sublimes à sa bien-aimée Bérénice Bejo qui n'aura pas eu le prix de l'actrice dans un second rôle, mais se réjouit du succès du film.

     

    5 prix pour The Artist (Costumes, musique, réalisateur, acteur et film).

     

    Face à lui se trouvaient :

    Cheval de guerre

    Le stratège

    The descendants

    The tree of life

    La couleur des sentiments

    Hugo Cabret

    Extrêmement fort

    et incroyablement près

    Minuit à Paris

    Il succède au Discours d'un roi de Tom Hooper.

     

     

    http://static1.purepeople.com/articles/7/96/60/7/@/802337-the-artist-de-michel-hazanavicius-637x0-1.jpg

    http://www.purepeople.com/article/oscars-2012-le-meilleur-acteur-est-jean-dujardin_a96610/1

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