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     le dimanche sera consacré aux slows de l'été, L'époque du quart d'heure américain et des slows dans les boites de nuit de vacances, tout fout le camp ! C'était tellement bien !

    les images sont du film "Pierrot le fou"

     

    http://suite101.fr/article/variete--les-plus-grands-slows-de-lete-de-tous-les-temps-a15019#.U61EL7HIzNg

    http://suite101.fr/article/50-ans-de-slows-de-lete-1960---2010-a9870#.U61FVbHIzNg

     

    j'ai retrouvé ca MONIA été 1969 ca nous rajeunit pas !

    Une autre version Michel Cogoni

     

     

    LA PLAGE AUX ROMANTIQUES - Pascal Danel

     

    ALINE - Christophe

     

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  • http://bullies.b.u.pic.centerblog.net/5164be40.gifChantons sous la neige avec une petite sélection de chansons

     

     

     

     

     

    http://image.mabulle.com/m/mc/mc-creations.mabulle.com/hiver/2011/parcheminhiver.gif

     

     

    http://www.kazeo.com/sites/fr/photos/268/photo-2688124-L.gif http://ageheureux.a.g.pic.centerblog.net/f0cd18ac.gif http://www.photofiltregraphic.com/18gifanime/sqirlz/sqirlz_d/anim_neige.gif http://mamie72.m.a.pic.centerblog.net/3gleoj6p.gif

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  • Aujourd'hui on voyage, on va en Espagne, je vais vous parler de GEORGETTE PLANA qui est décédée à l'age de 95 ans, ce n'est pas d'aujourd'hui, mais j'aime bien c'est festif, gai, sans prétention

                                                              

    la chanson populaire est souvent dénigrée de nos jours mais ca fait du bien d'entendre des chansons sans prétention

    Georgette Plana débute comme danseuse de music-hall à Bordeaux, puis monte à Paris en 1941 comme chanteuse. Ses nombreuses reprises des chansons des années 1920 ont du succès :

    elle chante à l’Alhambra en 1942 avec Bourvil dans La Revue du rire, puis aux Folies-Belleville en 1944, et obtient un grand succès populaire avec son entrain et son timbre gouailleur. Elle enregistre un disque des succès de Fréhel, et chante Le Bar de l'Escadrille, Feu follet, et Le Petit Rat de l’opéra, qui connaît le succès en 1947.

    Elle se marie à la fin des années 1940 et quitte la scène peu de temps après. Elle revient une vingtaine d'années plus tard, en 1968, en reprenant Riquita, une chanson des années 1920 écrite par Bénech et Dumont. C'est un immense succès : 450 000 disques sont vendus, et le disque est premier au Hit Parade.

    Dans la foulée, Georgette Plana enregistre d'autres anciens succès de Bénech et Dumont, Gaston Gabaroche, Léo Daniderff, Lucien Boyer, Montéhus, etc., dont Le Dénicheur, Zaza, Rugby marche, La Femme aux bijoux et L'Hirondelle du faubourg, accompagnée par l'accordéoniste Aimable1 et son orchestre.

    Ces chansons, enregistrées, sont également imprimées en partitions. Fille d'un Compagnon Charpentier du Devoir de Liberté (les « Indiens », enfants de Salomon) et de la Mère des « Indiens » de Bordeaux, elle a également enregistré un disque de chants compagnonniques pour la Fédération compagnonnique des métiers du Bâtiment qui en assure la distribution. En 1969, Georgette Plana chante à l’Olympia aux côtés de Robert Charlebois et d’Antoine, avec lequel elle chante Je t'offre un verre, réconciliant ainsi deux, et même trois générations.

    En 1974, elle fait partie de la tournée « Podium » d'Europe 1 avec les Martin Circus. Pascal Sevran révèle dans son journal Le Privilège des jonquilles (2006) qu’elle a été victime en 2005 d’un infarctus cérébral.

    Georgette Plana décède à L'Isle-Adam le 10 mars 2013 à l’âge de 95 ans.

                                                                 

                                                        

     

                    

     

                                                    

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  • http://www.the80s.fr/photo/single/renaud-marche_a_ombre.jpg

    Cette semaine un film et une chanson pour le CASSE TETE DE LA SEMAINE

     

    MARCHE A L'OMBRE

      http://www.notrecinema.com/images/cache/marche-a-l-ombre-affiche_41847_21489.jpg

     

     

     

    Histoire et explication de  Marche à l’ombre

    Marche à l’ombre de Renaud figure sur l’album du même nom sorti en 1979.

    Marche à l’ombre raconte l’histoire d’un loubard qui expulse, les uns après les autres, les clients du bar dont il est – semble-t-il – l’un des grands habitués.

    Toute la société française y passe, du hippie sur le retour à la « petite bourgeoise bêcheuse ».

    La chanson donnera le titre au film de Michel Blanc, Marche à l’ombre, avec Gérard Lanvin.

    Marche à l’ombre est considérée comme l’une des plus grandes chansons de Renaud, notamment pour la richesse de ses paroles, où l’argot parisien tient une place prépondérante. Le texte est régulièrement étudié par les lycéens de France. À noter enfin, pour la petite histoire, que l’album Marche à l’ombre est dédié au gangster Jacques Mesrine, mort en 1979.

     

     

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  • y a dix ans, le 24 novembre 1997, s'éteignait Barbara, la «longue dame brune». Artiste complète, elle a durablement marqué la chanson française par sa voix toujours au bord de la rupture, son style théâtral et son écriture sensible et intemporelle.

     

    Monique Andrée Serf, dite Barbara (ou Barbara Brodi à ses débuts), est une auteur-compositeur-interprète française, née le 9 juin 1930 à Paris et morte le 24 novembre 1997 à Neuilly-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine, âgée de 67 ans et inhumée dans la 4e division du Cimetière parisien de Bagneux.

    Sa poésie engagée, la beauté mélodique de ses compositions et la profondeur de l’émotion que dégageait sa voix lui assurèrent un public qui la suivit pendant quarante ans.

     Biographie

    Née dans le 17e arrondissement de Paris au 6 rue Brochant, Monique Serf passe dans ce quartier des Batignolles les premières années de sa vie entourée de ses parents, Jacques, juif alsacien et Esther BrodskyNote 1, de sa grand-mère russe et de son frère Jean, de deux ans son aîné. La famille s’est agrandie :

    une deuxième fille, Régine, est née à Roanne en 1938 et un deuxième garçon, Claude, né à Tarbes en 1942. Bien avant que la guerre éclate, sa jeunesse est marquée par des déménagements successifs rue Nollet à Paris en 1931, au 6 boulevard Gaston Crémieux à Marseille en 1937, ceux-ci redoubleront sous l’occupation nazie pour fuir la chasse faite aux Juifs sous le gouvernement de Vichy. S’y ajouteront les séparations pour déjouer les dénonciations. À la fin de la guerre, les membres de la famille se retrouvent au Vésinet. Barbara aura à supporter le comportement incestueux de son père pendant son enfance.

    Elle refusera d'évoquer le drame en public, sauf dans ses Mémoires1

     

    . Premières vocalises 

    Monique a seize ans. Peu attirée par les études, elle ambitionne depuis longtemps de devenir pianiste et chanteuse. Ses parents lui promettent de lui offrir des cours de chant. Elle s’inscrit à ceux de Madame Dusséqué. Sa vie en est changée. Au bout de quelques leçons, son professeur la présente à Maître Paulet, enseignant au Conservatoire de Paris qui la prend comme élève.

    En 1946, les Serf s’installent au 50, rue Vitruve, dans le 20e arrondissement. L’été est assombri par la mort de la grand-mère. Dans le nouvel appartement, un piano loué par son père est installé ; Monique en joue d’instinct, sans prendre de leçons.

    La jeune fille entre au Conservatoire comme auditrice mais au répertoire de chant classique, elle préfère celui de la chanson populaire. Elle arrête les cours. En 1948, après avoir passé une audition au théâtre Mogador, elle est engagée comme choriste dans l’opérette Violettes impériales. Un jour, son père abandonne soudainement le foyer pour ne plus revenir.

    Bientôt, la location du piano ne peut plus être honorée. Contrainte de s’en séparer, elle vit un déchirement.

     

    La période belge :

    Monique Serf devient Barbara Voulant à tout prix concrétiser son rêve, devenir « pianiste chantante », elle quitte Paris, en 1950. Grâce à l’argent prêté par une amie, elle se rend chez un cousin à Bruxelles qu’elle quitte au bout de deux mois. Sans ressources ni connaissances, la vie est difficile. Au hasard d’une rencontre, elle rejoint une communauté d’artistes à Charleroi, qui se réunissent dans un local appelé la Mansarde. Là, elle trouve de l’aide et commence à chanter dans des cabarets sous le nom de Barbara Brodi (inspiré du nom de sa grand-mère, Varvara Brodsky).

    Son répertoire est constitué de chansons d’Édith Piaf, de Marianne Oswald, de Germaine Montero, de Juliette Gréco et de Jacques Brel. Fin 1951, elle retourne à Paris pour des auditions sans lendemain. Elle revient à Bruxelles où un ami du groupe de Charleroi lui donne l’occasion de chanter. Elle est mise en relation avec Ethery Rouchadze, une pianiste qui accepte de l’accompagner et auprès de qui elle se perfectionnera au piano. Cette dernière lui présente Claude Sluys, jeune apprenti avocat.

    Habitué des lieux de spectacles, il se pique d’écrire quelques chansons. Fin 1952, il déniche le « théâtre du Cheval blanc » et use de ses relations pour y ouvrir un cabaret afin qu’elle s’y produise sous le nom de Barbara.

     

     

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