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Par Mamé Annie le 23 Janvier 2012 à 15:35
terminons cette année du lapin de métal blanc sur trois jours de festivités.
Dès lundi, nous commencerons l'année du Dragon.
Le nouvel an chinois est l'événement qui créé le plus grand mouvement de masse au niveau mondial.
Et à Phnom Penh, comment ça se passe?
Le nouvel an chinois au Cambodge:
une fête nationale ?
Nouvel an chinois, nouvel an khmer (du 13 au 16 avril), on s’y perd ! Non, ne croyons pas que le traditionnel passage à la nouvelle année sur le calendrier chinois n’est pas célébré au Royaume. C’est une des festivités les plus importantes de l’année. D’ailleurs, si officiellement le jour n’est pas considéré comme férié, nombreuses sont les familles à partir en week-end, car évidemment, les festivités durent trois jours. Quant aux magasins, n’en parlons même pas ! Tenus pour la grande majorité par des personnes issues des minorités chinoises ou sino-khmers du Cambodge, ils seront presque tous fermés jusque mardi. Cela prend un sens lorsque l’on a conscience que ces minorités ne représentent pas moins d’un million d’individus sur l’ensemble du territoire. Evidemment, les Khmers se joindront aux festivités, sans parler des minorités vietnamiennes qui célèbrent à cette même occasion la fête du Têt.
En quoi l’année du dragon est-elle différente des autres années ?
La légende raconte qu'un certain nouvel an chinois, Bouddha appela à lui les animaux de la création en leur promettant une récompense à condition qu'ils daignent se déranger. Douze animaux seulement se rendirent à cet étrange rendez-vous, et dans l'ordre suivant :
le rat, le buffle, le tigre, le lapin, le dragon, le serpent, le cheval, la chèvre, le singe, le coq, le chien et le cochon.
A chacun d'eux Bouddha offrit une année qui porterait son nom, et dans l'ordre de leur arrivée.
Pour comparer avec notre type d'astrologie, la Dragon pourrait être l'équivalent du Bélier. Un signe fort, réfléchis mais qui peut, comme on dit, "foncer dans le mur". Dans l'astrologie chinoise le dragon est tout à fait particulier et très révéré. Déjà, il est le seul animal du zodiac à n'exister que dans l'imaginaire. Encore aujourd'hui, les Chinois associent le dragon avec le pouvoir et la sagesse. Alors que l'Année du lapin a été caractérisée par le calme et la tranquillité, l'Année du Dragon sera marquée par l'excitation, l'imprévisibilité, l'euphorie et l'intensité.
Camille LEBRUN et Emilie TÔN (www.lepetitjournal.com/cambodge) Vendredi 20 janvier 2012 LIRE AUSSI : SOCIETE - Dragon et Apsara
L'Asie fête la nouvelle année du Dragon, réputée propice Plus d'un milliard d'Asiatiques fêtaient lundi à coups de pétards et en famille l'entrée dans l'année du Dragon, en espérant profiter de son influence bénéfique, notamment sur le plan professionnel.
De la Malaisie à la Corée du Sud, des millions de gens ont parcouru d'énormes distances pour se réunir avec leurs proches pour ce nouvel an lunaire, la fête la plus importante du calendrier pour un grand nombre en Asie. Ils ont pris part aux traditionnels banquets familiaux, assisté aux danses du lion, distribué cadeaux aux enfants et souhaité bonne chance aux aînés.
Alors que minuit sonnait à Pékin, le ciel de la capitale chinoise s'est illuminé de milliers de fusées, dans un concert étourdissant de pétards censés éloigner les mauvais esprits. Une fête qui s'est répétée ainsi à travers tout le pays. Les niveaux de pollution atmosphérique dans la mégalopole, un sujet de préoccupation croissant, ont bondi dans les premières heures de lundi matin en raison des particules des feux d'artifice, avant de retomber, ont montré des statistiques officielles.
Aux Philippines, les noceurs pouvaient lundi faire la grasse matinée, le nouvel an lunaire étant devenu pour la première fois férié, grâce à une réforme qui a été vilipendée par des membres de la communauté des affaires.
L'année du Dragon, qui a suivi celle du Lapin, est considérée dans le zodiaque chinois comme la plus propice pour s'enrichir et se réaliser sur le plan personnel.
De nombreux couples essaieront de mettre au monde un enfant sous ce signe très favorable. Ainsi en Chine, une hausse de 5% des accouchements est prévue en 2012, selon l'agence de presse Chine nouvelle. Le même phénomène est attendu à Hong Kong, Taïwan et Singapour. Dans la cité-Etat, le Premier ministre Lee Hsien Loong a même appelé les habitants à profiter de l'année du Dragon pour relancer le taux de natalité obstinément bas. Ceci dans une tentative de réduire la forte dépendance du gouvernement aux travailleurs étrangers. "Je souhaite ardemment que cette année soit une importante année pour les bébés dragons. Cela est crucial pour préserver le coeur singapourien de notre société", a-t-il dit dans ses voeux de nouvel an.
Ailleurs sur le continent, de grandes villes modernes se sont vidées de leurs résidents, qui ont pris le chemin des temples, des pagodes et des berceaux familiaux à la campagne. Par exemple les autoroutes de Malaisie, où un quart de la population est d'origine chinoise, ont été saturées durant tout le week-end, alors que la capitale Kuala Lumpur était presque déserte.
En Corée du Sud, plus de la moitié de la population a aussi pris la route pour ces congés du nouvel an lunaire. Mais les commerces de la capitale, Séoul, ont été pris d'assaut par des milliers de touristes chinois, qui profitaient de leurs rares vacances. "J'ai l'impresssion de marcher dans la rue en Chine. Il y a tellement de Chinois", a confié à l'AFP Park Eun-Yong, un étudiant sud-coréen.
Les visiteurs chinois ont aussi afflué à Tokyo.
Dans le grand magasin Mitsukoshi, l'un des plus prestigieux du Japon, des interprètes étaient à pied d'oeuvre pour aider la clientèle, tandis que des annonces en mandarin étaient diffusées dans les étages.
http://www.francetv.fr/info/bienvenue-dans-l-annee-du-dragon_51883.html
de jolies images de dragons !
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Par Mamé Annie le 28 Novembre 2011 à 15:27
Un pistachier corse élu arbre de l'année 2011
Le pistachier lentisque de Ghisonaccia (Haute-Corse), élu arbre de l'année 2011.
Le pistachier lentisque de Ghisonaccia (Haute-Corse), élu arbre de l'année 2011. © Emmanuel Boitier ENVIRONNEMENT -
Le concours, organisé par l'Office national des forêts et le magazine Terre Sauvage, a récompensé cet arbre exceptionnel...
Ses 190 centimètres de tour de taille ne l’ont pas empêchés de remporter les faveurs du jury:
le pistachier de Ghisonaccia, en Haute-Corse, a des mensurations parfaites mais également une histoire qui ont ému l’écrivain Didier Van Cauwelaert et les jurés du prix de l’Arbre de l’année. Ce concours, organisé par l’Office national des forêts (ONF) et le magazine Terre Sauvage, avec le soutien (entre autres) de l’Unesco, du ministère de l’Ecologie, de la Fondation Yves Rocher et de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), a décerné jeudi soir le prix du jury à ce pistachier corse et le prix du public à un «arbre girafe» de Fouesnant, dans le Finistère.
Le choix fut difficile pour le jury, entre le châtaigner à vœux, le genévrier qui protège des épidémies, l’if millénaire dans lequel peuvent entrer 15 à 30 personnes et le poirier de 200 ans dont le propriétaire est resté vert malgré ses 94 ans.
Trois critères ont été prix en compte pour élire l’arbre de l’année:
sa beauté, son potentiel de biodiversité et surtout son histoire et son lien avec les hommes. «Il y a des vibrations qui circulent entre le végétal et nous, est convaincu Didier Van Cauwelaert, auteur de Journal intime d’un arbre. Peut-être les arbres absorbent-ils les émotions humaines et nous les renvoient, c’est pour cela que nous nous sentons en famille en forêt.» «Une maison ça se reconstruit, occupez-vous de l’arbre»
Sur les 26 arbres en compétition, c’est la belle histoire du pistachier de Ghisonaccia qui a le plus ému le jury: enseveli sous des gravats laissés sur place après la construction d’une route, l’arbre a été mis au jour par Elise Inversin, une bergère qui avait entrepris de démaquiser autour de chez elle pour éviter les incendies. «Elle a eu une phrase qui nous a bouleversé, reconnaît Didier Van Cauwelaert.
Alors qu’un incendie avait pris autour de chez elle, elle a dit aux pompiers "Une maison ça se reconstruit, occupez-vous de l’arbre".»
Depuis, le pistachier âgé de près de 1.000 ans est devenu la star du village. Ce serait même le plus vieux pistachier lentisque de tout le bassin méditerranéen. Ses branches qui s’élèvent à sept mètres de hauteur abritent de nombreuses espèces d’oiseaux.
«Cette belle aventure doit servir à faire prendre conscience que les arbres sont notre avenir, le poumon du monde, et qu’il faut les respecter», espère Elise Inversin. Le pistachier sera classé «arbre remarquable de France» et un de ses rameaux sera planté dans les jardins du ministère de l’Ecologie.
Une exposition de photos sur les grilles de l’Unesco permettra de l’admirer ainsi que les autres arbres sélectionnés. Audrey Chauvet (La croix.com)
LE PISTACHIER
Pistachier, Pistacia vera arbre et arbuste de la famille des Anacardiacées (Cotinus, Faux Poivrier, Manguier, Pistachier, Sumac)
Étymologie : du grec pistake, d'origine perse.
Origine : Asie mineure. Il existe une variété chinoise. Habitat : lieux secs et abrités.
Rusticité : zone 7 (il supporte le froid jusqu'à -17°).
Taille : arbuste de 6 m (le Pistachier chinois est un arbre de 25 m en Chine).
Port : cime touffue du fait de la largeur de ses ramifications. On rencontre deux espèces :
* Pistachier lentisque (Pistacia vera ou Pistacia lentiscus) : feuilles persistantes, paripennées, formées de folioles pointues, d'abord cotonneuses, puis coriaces, ce qui leur permet de mieux résister à la déshydratation dans les milieux arides (à gauche).
* Pistachier térébinthe : feuilles caduques, imparipennées. Les feuilles sont claires pour renvoyer la lumière et limiter l'évaporation (comme celles de l'eucalyptus). Espèce dioïque utilisée par Sébastien Vaillant au début XVIIIe siècle pour prouver le principe de la pollinisation.
Jussieu et Linné ont repris ses théories.
Cet arbre existe toujours au Jardin des Plantes de Paris. Les fleurs femelles forment des chatons qui se groupent en cymes. Pour la pollinisation, une plante mâle suffit pour 5 à 6 plantes femelles. Les fruits sont des drupes, de la grosseur d'une noisette, à l'écorce ligneuse et qui se fendent naturellement. Ils contiennent une graine verte allongée en forme d'amande, couverte d'une pellicule brun rosé. Celle-ci, riche en huile et en amidon, est utilisée en accompagnement d'apéritif Utilisations :
la variété de Méditerranée produit la pistache (graine du fruit), tandis que la variété de Chine a un fruit de petite taille, incomestible.
Le tronc du Pistachier térébinthe exsude une résine qui entre dans la composition de vernis, ou qui est utilisée, après distillation, pour des confitures ou des pastilles.
La résine du Pistachier lentisque était appelée mastic de Chios au XIXème siècle :
"Dans l'Empire ottoman, les femmes turques, grecques, arméniennes et juives mâchent avec délices cet odorant mastic, surtout le matin ; il se ramollit, parfume l'haleine, fortifie les gencives et blanchit les dents.
On le brûle dans des cassolettes pour parfumer les appartements, on le mêle à la pâte et on en fait un pain agréable". (Larousse)
8 commentaires -
Par Mamé Annie le 5 Septembre 2011 à 08:55
La terre est bleue comme une orange...
La terre est bleue comme une orange
Jamais une erreur les mots ne mentent pas
Ils ne vous donnent plus à chanter
Au tour des baisers de s’entendre
Les fous et les amours
Elle sa bouche d’alliance
Tous les secrets tous les sourires
Et quels vêtements d’indulgence
À la croire toute nue
. Les guêpes fleurissent vert
L’aube se passe autour du cou
Un collier de fenêtres
Des ailes couvrent les feuilles
Tu as toutes les joies solaires
Tout le soleil sur la terre
Sur les chemins de ta beauté.
Paul ELUARD, L'Amour la poésie (1929)
une petite explication
http://eluardexplique.free.fr/amour/laterreestbleue.html
6 commentaires -
Par Mamé Annie le 2 Juillet 2011 à 17:46
Achats et souvenirs de République-Dominicaine :
que ramener
Voici une liste des achats et souvenirs de République-Dominicaine intéressant à ramener, prévoyez un peu de place libre dans vos bagages.
Larimar La larimar, pierre bleue d'origine volcanique est la pierre de l'amour pour les dominicains. Elle est exploité principalement dans les mines du sud ouest du pays, à proximité de Barahona. Attention à la fausse larimar, privilégiez un achat dans une bonne boutique de Saint Domingue ou à Barahona même.
Café
Il est excellent.
Privilégiez les petites échopes le prix sera 3 fois moins chers que dans les pièges à touriste! Comptez environ 2 à 3$ le paquet.
Cigare de République Dominicaine
La République Dominicaine est une grosse productrice de cigare. Verifier que ceux que vous achetez sont bien fabriqué à la main
(hecho a mano)
Rhum
3 marques sur le marché, dont la plus connue est Brugal.
Il n'y a pas beaucoup de fabrication de rhum vieux. A notre goût il ne vaut pas le rhum des antilles française et particulièrement de Martinique.
Tableaux
Les dominicains ont repris à leur compte les symboles des indiens Taïnos, les habitants premier de l'île d'Ispagnola. On retrouve aussi des tableaux haïtiens. Intéressant et bien négociable, surtout dans les petites boutiques qui prolifèrent.
Poupées Limé
Elles représentent des dominicains.
Dont la particularité est de représenter les Dominicains, et comme il n'y a pas de "race dominicaine", on se contente d'un corps habillé et d'un visage abstrait sans yeux, ni bouche, ni couleur !
Musique CD de Merangue et Bachata pour pas cher.
3 commentaires -
Par Mamé Annie le 2 Juillet 2011 à 14:45
a bachata est un rythme dansant originaire de République Dominicaine, plein de folklore. On peut le considérer comme un mélange de boléro (surtout, le boléro rythmique) avec d'autres influences musicales d'origine africaine et avec d'autres styles comme le son, le merengue, le cha-cha-cha et le tango. La bachata est jouée par plusieurs guitares (deux ou trois), accompagnées de percussions (bongo, maracas, guiro) et une basse. On parle aussi de bolero campesino, bolero antillano ou cancion del amargue, une musique associée pendant longtemps aux couches sociales les plus défavorisées de Saint-Domingue
Au tout début, la bachata était dédaignée car c'était une musique qui provenait des classes sociales basses. À ses débuts, elle était très peu diffusée en radio. Mais l'intérêt a surgi à partir des années 1980, avec l'expansion des moyens massifs de communication, avec l'apogée du tourisme, et avec l'effort de quelques compositeurs qui ont vu qu'avait surgi un nouveau genre. Les auteurs comme Juan Luis Guerra et Víctor Víctor dans les années 1990, et de Luis Días depuis 1980, ont apporté une vision plus moderne et urbaine.
L'expansion du tourisme en République Dominicaine dans les années 1980 a fait donner à la bachata une popularité internationale, et est devenue un symbole de la République Dominicaine.
De cette génération appartiennent des chanteurs comme José Manuel Calderón, Rafael Encarnación et Luis Segura. La bachata naît le 30 mai 1962 dans la voix de José Manuel Calderón (accompagné du trio “Les Juvéniles”), avec les titres Borracho de Amor et Condena (que será de mí) de Bienvenu Fabián, enregistrés dans les studios de la Radio Télévision Dominicaine. Rafael Encarnación a aussi séduit les amateurs de ce rythme, mais son parcours dans le show businesss a duré moins d'un an.
Rafael Encarnación a débuté sa carrière en octobre 1963, et il est décédé tragiquement en mars 1964. Luis Segura enregistre son premier single (Cariñito de mi vida) en 1964, année où est créée également Radio Guarachita, qui va aider à diffuser ce genre...
La seconde vague
Luis Segura (L'Añoñaíto) peut être considéré comme le père de cette deuxième vague de succès de la bachata. Son succès Pena, enregistré en 1982, a tourné une autre page dans l'histoire de ce rythme, en le faisant accepter des classes sociales plus élevées. Mélida Rodríguez ("La Patiente") et Leonardo Paniagua sont aussi des chanteurs à succès de cette époque. Leonardo Paniagua a aussi connu le succèes avec des reprises telles que Chiquitita (du Groupe ABBA), Amada Amante (de Roberto Carlos).
La troisième étape
[Les chansons sont plus élaborées et termes d'arrangements musicaux et la qualité des textes est améliorée. De nouveaux sous-genres apparaissent, comme la "bachata rosa" et la tecnoamargue. Le chanteur Juan Luis Guerra La bachata rosa est représentée surtout par les auteurs interprètes Victor Victor et Juan Luis Guerra :
c'est une fusion de bachata et de ballade romantique. La tecnoamargue est représentée par la chanteuse Sonia Silvestre et le compositeur Luis Días :
la bachata fusionne avec rock, le jazz et d'autres rythmes dominicains et caribéens. Expressionnisme abstrait et poésie caractérisent les textes.
De nos jours
Les paroles ont souvent une double sens érotique - sexuel. Les vers sont plus poétiquement élaborés, avec des images littéraires plus raffinées. Des artistes comme Teodoro Reyes, Joe Veras, Luis Vargas, Antony Santos, Frank Reyes, Yóskar Sarante, Luis Miguel del Amargue, Raulín Rodríguez, Zacarías Ferreira, entre autres, forment la légion des nouvelles stars du genre. Apparaissent des duos comme Monchy y Alexandra, certains d'entre eux ne sont pas originaires de la République Dominicaine.
La sociologie de la bachata
Le bachata, reproduit le même esprit mélancolique, nostalgique et d'une animosité aimante de d'autres expressions musicales latino-américaines comme le soi-disant tango - chanson des quartiers de Buenos Aires du Buenos Aires, où se combine l'animosité passionnelle (l'amour - indifférence) avec la nostalgie du migrant. À l'égal, dans la bachata nous connaissons le côté nostalgique dans l'expression musicale grâce au fait que cela ait coïncidé avec la période de la plus grande apogée de la culture suburbaine provenant de la migration rurale-urbaine à partir de 1961. Dans cette période il a été connu comme "musique d'amargue" au sens nostalgique qui évoquait .
La danse
Le mouvement basique de la danse est une série de pas simples qui produit un mouvement d'avant en arrière, ou d'un côté à l'autre. Un schéma représentatif serait de la manière suivante : avec le pied droit, faites un chassé vers la droite, puis ramener le pied gauche à côté du pied droit 2 fois de suite.
Faites aussi de même vers la gauche pour le retour. Sur le quatrième temps par contre, rapprochez la pointe du pied gauche du pied droit. Tout de suite faites le même mais en commençant avec le pied gauche.
Le caractère de la danse est obtenu par un mouvement sensuel du corps et de la hanche qui garde une similitude avec certaines danses africaines.
Cette danse latine se danse généralement dans les soirées de salsa où elle est insérée par moment. Peu de cours existent encore pour cette danse mais se développent.
La rueda de bachata est une manière de danser la bachata à plusieurs couples en effectuant les mêmes figures annoncées par une personne, à la manière de la rueda de casino.
L'étymologie
Dans ses origines les plus lointaines connues, au début des années 1920, le terme bachata désignait en Cuba un type de réunion sociale, apparentée avec la fête de l'époque, défini par la présence de quelques genres populaires de musique et de danse.
Étymologiquement, le mot bachata d'une origine africaine et désigne la fête, la fête et la virée, selon Fernando Ortiz. Le bachata constituait une forme de récréation populaire :
une fête qui était réalisée dans toute cour, sous l'ombre d'un arbre de la rue, ou dans n'importe quel coin, et dont le précédent africain est évident, tandis que nous pouvons établir le précédent espagnol que c'était le fandango, duquel il rapporte Marcio Veloz Maggiolo que :
"Presque tous les chroniqueurs qui touchent ce sujet le rapportent à une fête ouverte et non à une musique". Les deux mentions les plus antiques au sujet de la bachata que nous avons trouvé dans des documents datent de 1922 et 1927. La première contient un rapport qui se réfère à l'homme commun de l'hameau de Sabaneta, dans la Ligne le Nord-ouest, et dit qu'il trouve cela chez le peuple "tout ce qui peut flatter ses vices et appétits mal mesurés :
des combats de coqs, de friandises et de rhum; mais ce qui lui enchante plus et attire est la fête (s'il est d'un accordéon) ou la bachata s'il est des guitares et de chants ou de boléros. Là on est de longues heures, entre une gorgée et une gorgée, sans qu'elle ne le préoccupe pour rien, l'hétérogénéité sociale de l'ensemble, ni l'haleine asphyxiante avec laquelle la poussière et la sueur raréfient l'atmosphère, ni la forme incivile avec laquelle les uns arrachent aux autres les bailadoras, jusqu'à ce que très rentrée la nuit il revienne grisé au foyer".
Quelques artistes
] Andy Andy Aventura Frank Reyes Juan Luis Guerra Monchy y Alexandra Prince Royce Toby Love Víctor Víctor Xtreme Yoskar Sarante (en) Zacarías Ferreira (en) Sources[modifier] ↑ Social Identity and Class in Bachata, an Emerging Dominican Popular Music", Deborah Pacini, University of Texas Press, 1989. [archive] http://es.wikipedia.org/wiki/Bachata (traduction)
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