•                                                             

     

                                                            

     http://fr.wikipedia.org/wiki/Bleuet_de_France

     

    Le choix du symbole Dans le langage des fleurs, le bleuet symboliserait la délicatesse et la timidité et serait

    « le messager de tous les sentiments purs, naïfs ou délicats ».

    Les bleuets – comme les coquelicots – continuaient à pousser dans la terre retournée par les milliers d’obus qui labouraient quotidiennement les champs de bataille. Ces fleurs étaient le seul témoignage de la vie qui continuait et la seule note colorée dans la boue des tranchées.

    Ce terme de « Bleuets » désignait les soldats de la Classe 15 – nés en 1895 – fraîchement arrivés sur le champ de bataille du Chemin des Dames, en raison de l’uniforme bleu horizon dont ils étaient vêtus.

    Ces jeunes recrues qui, pour des milliers d’entre eux n’ont jamais eu vingt ans, avaient été surnommés ainsi par les poilus plus anciens qui avaient porté le désastreux pantalon rouge garance encore en usage au tout début de la Première Guerre mondiale. Cette appellation perdura pendant toute la guerre parce que l’uniforme neuf aux couleurs encore fraîches qui équipait le nouvel arrivant contrastait avec la couleur de boue des uniformes des vétérans.

    La popularité des « Bleuets » est telle que son image est utilisée par la propagande au travers de cartes postales, affiches, chansons et poèmes :

    « Les voici les p’tits « Bleuets »

    Les Bleuets couleur des cieux

    Ils vont jolis, gais et coquets,

    Car ils n’ont pas froid aux yeux.

    En avant partez joyeux ;

    Partez, amis, au revoir !

    Salut à vous, les petits « bleus »,

    Petits « bleuets »,

    vous notre espoir ! »

    — Alphonse Bourgoin, extrait de Bleuets de France, 19163.

    SUITE Sur WIKIPEDIA le lien

    Au Royaume-Uni et au Canada:

      Une tradition semblable existe au Royaume-Uni et dans les pays du Commonwealth, où la fleur symbole des anciens combattants est le coquelicot (Poppy en anglais), car les coquelicots dont le rouge rappelait le sang, poussaient en grand nombre sur les champs de bataille des Flandres.

    L’origine de ce choix est le poème In Flanders Fields de John McCrae, écrit le 3 mai 1915 à la mort d’un de ses amis :

    « In Flanders fields the poppies blow

    Between the crosses, row on row,

    That mark our place… »

    Soit en français :

    « Dans les champs de Flandres, les coquelicots oscillent au vent, entre les rangées de croix qui marquent nos tombes… »

                                                                 

     

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  •                                                   

     

    http://moniqueth-images.fr/galerie-creations-chansons.htm

    Quand Madelon..., appelée aussi La Madelon, est un chant populaire créé par le chanteur Bach (Charles-Joseph Pasquier), le 19 mars 1914, au café-concert l'Eldorado, à Paris.

    La chanson doit surtout son succès au théâtre aux armées où Bach l'interpréta devant des soldats en permission.

    Elle devient rapidement un chant militaire.

      

      Historique:

    Les paroles de la chanson sont de Louis Bousquet2 (1870-1941), et la musique de Camille Robert3 (1872-1957).

    En 1913, Bach passe commande au compositeur et au parolier « d’une chanson cocardière renouvelée », mais la chanson rencontre peu de succès lors de sa création. Camille Robert, compositeur de Quand Madelon...

    En août 1914, Sioul, un chansonnier qui était présent à la création de Quand Madelon... à l’Eldorado, mobilisé comme artilleur et cantonné à l’école Jules-Ferry de Fontenay-sous-Bois, chante cette chanson à ses camarades. Celle-ci obtient un véritable succès. Les canonniers la diffusent. Le chant est alors fréquemment interprété par des comiques troupiers, très prisés durant la Première Guerre mondiale, les tourlourous.

    Le chanteur Marcelly fut le premier à enregistrer cette chanson en 1917.

    En 1921, une plaque est apposée sur la façade de l’école de Fontenay-sous-Bois, indiquant :

    « La Madelon est partie d’ici en août 1914 pour faire le tour du monde ». Lucien Boyer, l’auteur de La Madelon de la Victoire, reçut la Légion d’honneur en 1920.

    Marlène Dietrich l'a chantée à Paris lors de la célébration du 14-Juillet en 1939. Il existe une traduction en anglais : When Madelon.[réf. nécessaire]

     

                                                              

     

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  • Pour ne pas oublier

                

    http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/Nouvel-article,194.html

                                                        

    Le 11 novembre 1918, à 5 heures du matin, dans un wagon aménagé au carrefour de Rethondes en forêt de Compiègne une convention d'armistice est signé, pour les Alliés, par le maréchal Foch, commandant en chef des armées alliées et l'amiral Wemyss, First Sea Lord, et, pour l' Allemagne, par le secrétaire d'État Erzberger, président de la délégation allemande, le comte von Oberndorff, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire, le général major von Winterfeldt, et le capitaine de vaisseau Vanselow.

    La convention d’armistice du 11 novembre 1918 est conservée par le service historique de la défense. Ce document de 13 pages est relié avec les textes des conventions du 13 décembre 1918, 19 janvier et 16 février 1919 prolongeant la durée de l’armistice, auxquels sont joints le protocole du 4 avril 1919 et les cartes et rapports, annexes de ces conventions. Il est à noter que l’exemplaire allemand a été détruit.

    La convention stipule les conditions d’armistice conclues entre Alliés et Allemands.

    Elle se compose de 34 articles répartis dans six chapitres :

    les conditions d’armistice sur le front occidental ; les dispositions relatives aux frontières orientales de l’Allemagne ;

    les conditions dans l’Afrique orientale ; les clauses générales traitant du rapatriement de tous les internés ;

    des clauses financières ;

    des clauses navales ;

    et de la durée de l’armistice.

                                 

    Tableau représentant la signature de l’Armistice de 1918 dans le wagon-salon du maréchal Foch. Derrière la table, de droite à gauche, le général Weygand, le maréchal Foch (debout) et les amiraux britanniques Rosslyn Wemyss et G. Hope.

    Devant, le ministre d’État allemand Matthias Erzberger, le général major Detlof von Winterfeldt (avec le casque) de l’Armée impériale, le comte Alfred von Oberndorff des Affaires étrangères et le capitaine de vaisseau Ernst Vanselow de la Marine impériale.

                                                        

    Cette photographie a été prise après la signature de l'armistice à la sortie du « wagon de l'Armistice » du train d'État-Major1 du maréchal Ferdinand Foch (deuxième à partir de la droite). Cette photographie est prise dans la forêt de Compiègne, au pied du wagon-salon du train de Foch où vient d'être signé l'armistice.

    Ce wagon fut réquisitionné auprès de la Compagnie Internationale des Wagons-Lits afin d'être affecté au train de l'état-major. Le maréchal Foch est au premier plan, second sur la droite, entouré par les deux amiraux britanniques Hope et Rosslyn Wemyss.

                                                   

    LA CHANSON DE CRAONNE

    Compilation de chansons de guerre

     Source du texte

    En savoir plus Télécharger l'armistice numérisé (format pdf, 1,04Mo) Michel Roucaud, « La convention d’armistice du 11 novembre 1918 » in Revue historique des armées, n°245, 4/2006, [En ligne].

    Le 11 novembre : un jour mémoire, Collection Mémoire et citoyenneté, Ministère de la défense, direction de la mémoire et du patrimoine [Télécharger au format pdf]

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  •                                 

     

    Comment occuper une petit fille de 3 ans pendant les vacances

    CAHIERS DE VACANCES !

    J'avais acheté quelques albums pour colorier et "écrire", elle le fait avec plaisir je précise, elle recopie trop bien et facilement !

     

    Mes cahiers de jeux

     

    http://www.teteamodeler.com/dossier/modelage.asp

     

    CAHIERS DE VACANCES !

    Il y a aussi la tente de princesse que j'ai achetée pour deux fois rien chez LIDL ou l'on se réfugie pour lire dans le calme !

     

     

     

    CAHIERS DE VACANCES !

     Ma robe de princesse que je ne quitte pas !

     

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    LES CHEVRES NAINES

    Dans la réserve africaine de SIGEAN j'ai fait une découverte merveilleuse, c'est la chèvre naine.

    Un enclos ou les enfants peuvent entrer et jouer avec ces charmants animaux, a été créé.

    Ca donnerait presque envie d'en avoir une dans son jardin !

     

    LES CHEVRES NAINES

    http://chevresnaines.e-monsite.com/pages/la-chevre/qui-est-elle.html

                                                      

    ... "Et la chèvre naine dans tout ça?

    La chèvre naine est une race rustique, d'origine afriquaine.

    Elle est aujourd'hui très répandue sur tout le territoire français. Elle est utilisée comme débroussailleuse, comme animal d'ornement et de plus en plus fréquemment comme animal de compagnie.

    Mini biquette est en effet très familière; elle s'adapte très rapidement et s'attache très vite à ses humains! Comme toutes les autres chèvres, elle a un standard officiel:

    Taille: Maximum 50 cm au garrot (mâles y comprit);

    Silhouette: Corps trapu, poitrine profonde et large.

    Pattes courtes et musclées;

    Tête: Cornes tournées vers l'extérieur.

    Barbiche chez le bouc; Poids: De 17 à 30 kg pour le bouc et de 12 à 20 kg pour la chèvre;

    Robe: Couleurs variées, souvent noires et blanches;

    LES CHEVRES NAINES

    Elles suivent les enfants comme des petits chiens et recherchent les caresses

    LES CHEVRES NAINES

     

     

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