Partagez ma vie de retraitée entre "sel et mer", sur la merveilleuse presqu'ile du Pays Blanc près de Guérande. Trouver le temps d'écouter, de regarder la mer et la nature, d'aimer de rire est ma devise. Je dédie ce blog à mes petites filles en espérant qu'elles pourront le lire quand elles seront plus grandes et y découvrir des histoires d'hier et d'aujourd'hui.
" La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents Gandhi"
La gavotte est une danse ancienne populaire, catégorie danse traditionnelle, devenue aussi une danse de salon. Diverses étymologies ont été proposées : pour certains cette danse serait originaire de la région des Gaves.
Pour d'autres, le terme viendrait d'un mot français signifiant "petit galop".
Toutefois, l'étymologie généralement retenue par les spécialistes fait dériver le mot gavotte du terme gavot qui désignait les habitants de la partie montagneuse de la Provence.
La gavotte est une danse française d'origine populaire, en chaîne ouverte, à rythme binaire, gaie et à mouvement modéré ou assez vif.
Attestée dès le XVIe siècle dans différentes régions de France, elle est introduite à la cour sous la forme d'une danse de couple et devient une danse de bal et de théâtre à la fin du XVIIe siècle. Cédant progressivement le pas à la contredanse naissante, la gavotte décline au cours du XVIIIe siècle, pour connaître un tournant à partir de 1785 :
une chorégraphie de Maximilien Gardel, pour la comédie lyrique de Grétry Panurge dans l'île des lanternes, obtient un si vif succès qu'on nommera dorénavant gavotte de Vestris le passage brillamment exécuté par le danseur Auguste Vestris. Elle fera le bonheur des bals du XIXe siècle et entrera même dans le répertoire de l'armée, devenant une épreuve obligatoire pour obtenir le brevet de « prévôt de danse ».
La musique:
Dans la musique baroque, c'est une des danses secondaires de la suite : comme les autres "galanteries", elle s'insère généralement entre la sarabande et la gigue. Elle est parfois (chez Bach notamment) suivie d'une seconde gavotte, au ton homonyme (ex. la majeur ou la mineur) ou relatif (ex. do majeur ou la mineur).
Elle est de coupe binaire (deux sections avec reprise chacune), en général à 2 temps (2/2, parfois 2/4), précédée d'une levée d'une demi-mesure. Accentuée sur le premier temps, elle se caractérise fréquemment par le rythme noire - 2 croches, et se termine sur un temps posé (thesis).
A l'audition, elle peut se confondre avec la bourrée, dont elle se différencie par la durée de la levée, et le tempo, en principe plus modéré. Rameau a écrit pour le clavecin une « gavotte variée » (Troisième Livre de pièces de clavecin, 1728), qui est un des sommets du répertoire de cet instrument.
Danses traditionnelles:
Le terme de gavotte est devenue l'appellation vernaculaire de différentes danses : danse en chaîne, danse de couple, ronde au bouquet, danse militaire, voire quadrille, allant même jusqu'à devenir un terme générique pour la danse. Un usage du terme de gavotte, attesté dès la fin du XVIIIe siècle dans la région de Quimper, est de désigner ainsi la danse bretonne initialement appelée dañs tro en breton. Les gavottes bretonnes forment en fait une grande famille de danses avec de nombreuses variantes correspondant aux anciens terroirs (bro en breton) :
gavotte de l'Aven, gavotte des montagnes, dañs fisel, gavotte glazik, gavotte kernevodez, etc. Gérard Nédellec évoque, dans D'Armor et d'Argoat, l'année 1945 : "Après un bon repas pris en commun, quelques gavottes terminent la soirée".
Variantes:
Une variante de la gavotte de l'aven a été initiée en 2003 par le groupe Djal avec le morceau Ivoirine. Elle est devenue très populaire dans les bals folks, la principale différence résidant dans un tempo abaissé et un style musical différent du canon esthétique en fin de tradition populaire. Afin de ne pas la confondre avec la gavotte de l'Aven traditionnelle, certain la nomment 'gavotte caresse' ou 'gavotte de Grenoble' en lien avec l'origine de leur créateur.
"Gavotte" est née le 7 avril 2017 et est arrivée chez nous depuis une quinzaine de jours, elle 'appelle Gavotte parce qu'elle est craquante comme Une Gavotte ce petit biscuit breton si croustillant !
Avoir un chat n’est pas seulement avoir un animal, c’est aussi avoir une compagnie, un être qui fait partie de votre famille à qui il faut donner à manger certes, mais pas seulement et sans lequel rien ne serait envisageable une fois que sa présence à nos côtés devient habituelle. Découvrez en exclusivité quels sont les bienfaits d’avoir un chat à ses côtés.
1) La tension artérielle diminue fortement
Avoir un chat à ses côtés permet de réduire ses tensions, de diminuer le stress ressenti, d’être plus en phase avec soi-même. Une étude de la sérieuse université de l’État de New York stipule que caresser un chat permet de faire baisser la tension artérielle.
2) Avoir un chat : vers un meilleur équilibre mental ?
Le chat est un incroyable compagnon qui permet de stabiliser sa santé mentale. Les caresses et sa présence aident à mieux aller et à mieux se concentrer dans notre quotidien ou en rentrant du travail le soir.
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3) Une forme de stabilité émotionnelle
Sa présence aide à se sentir mieux avec soi-même, surtout en ce qui concerne les personnes seules. Le chat constitue une présence qui rassure.
4) Diminuer le stress
Caresser un chat, entendre le ronronnement, sentir sa présence non loin de nous, tels sont les attributs positifs qui justifient le fait qu’avoir un chat permet de diminuer le stress d’une personne. Certains ont même mis en place la « ronronthérapie » : thérapie par les ronronnements qui est bienfaitrice pour ceux qui s’y adonnent.
5) Vivre mieux dans la longue durée
Concrètement, un chat peut vivre 20 ans ou plus, voilà pourquoi les qualités qui sont les leurs font partie de notre quotidien pendant toutes ces années. Le stress diminue, la tension aussi, les émotions se stabilisent, les enfants sont réjouis… tous ces facteurs contribuent à améliorer nos conditions de vie.