•       Année 1960                                             

     

    Je crois savoir que beaucoup d'entre nous lisaient le journal "LISETTE", ma marraine m'avait abonnée

     

    Lisette est un périodique disparu des Editions de Montsouris destiné aux jeunes lectrices de 7 à 15 ans, qui paraît de 1921 à 1942 puis de 1946 à 1973. Il est dirigé par Monique Chollet.

    À partir de 1964, le contenu est le même que celui de l'hebdomadaire Nade, du groupe Bayard presse, il est alors dirigé par Pierrette Rosset jusqu'au 30 avril 1973, date de l'arrêt de sa publication.

    Dans les dernières années, l'hebdomadaire est édité au format 21 x 29,7 cm, 48 pages, illustré de photos couleurs et de gravures noir et blanc, avec une couverture souple, en couleur. Les pages sont agrafées. On y offre des bons, des primes, des objets.

    Parmi toutes ces offres, de nombreuses poupées, ainsi que des patrons, des jeux à découper, plier et monter jusqu'en 1969. La revue, dont la maquette est réalisée par Véronique Boiry, est éditée en quadrichromie à partir de 1970 et change de formule. Elle s'adresse alors à des fillettes modernes, avec une tournure légèrement féministe.

     

    On y trouve des reportages sur les métiers récemment accessibles aux femmes :

    l'interview de la première femme entrée à l'École polytechnique de Paris, Anne Chopinet, paraît dans le numéro du 1er octobre 1972, celle de la première femme aviatrice de carrière

    dans le numéro de 10 mars 1972.

    L'hebdomadaire offre aussi des dossiers-nature rédigés entre autres par Allain Bougrain-Dubourg, des bandes dessinées du tandem Henriette Bichonnier-François Bourgeon, ainsi que des pages pédagogiques sur l'actualité, et des pages de mode réalisées par Laure Boyer et Constance Poniatowski.

    . Le journal offre dès le premier numéro une poupée comme prime d’abonnement. Elle mesure 33 cm. Les poupées changent de taille au fil des années, 35 cm, 45 cm. La poupée de Lisette reste en porcelaine jusqu’en 1934. Elle est proposée en version incassable dès 1923.

    Après 1934, apparaît une poupée Lison, dodue, qui paraît être en composition.

    Jusqu’en 1946, les patrons proposés pour la poupée sont des versions adaptées à la poupée des patrons vendus pour habiller les petites filles.

     

    Lien externe Le blog d'une ancienne lectrice des années 1960 et 1970 qui a reconstitué sa collection :

    http://lisettejournaldespetitesfilles.blogspot.com

    http://vulcain.canalblog.com/archives/2012/10/08/25258955.html

     

    Année 1962

    Jusqu’en 1946, les patrons proposés pour la poupée sont des versions adaptées à la poupée des patrons vendus pour habiller les petites filles.

    Après-guerre : Lisette paraît du 12 mai 1946 au numéro 17 du 29 avril 1973. Puis le journal devient Lisette et Mademoiselle Caroline jusqu’ en août 1974.

    La poupée d’immédiat après-guerre est en terre de pipe. Puis apparaît Lisette en « Veralith », bientôt remplacée par Lisette en plastique de la firme Gégé.

    Paraissent aussi des almanachs ou des hors-séries « Lisette vacances » où il y a parfois des ouvrages pour la poupée.

    A partir des années 70, plus de patron pour poupées (à ma connaissance).

     

     

    http://lesjumellesnicoleetcolette.blogspot.com/feeds/posts/default?orderby=updated

    Pour la suite de l'histoire cliquez sur le lien ....

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  •                                                   
                                          

    Aggie

    Aggie est un personnage de bande dessinée.

    Aggie Mack est à l'origine un comic strip créé par le dessinateur Hal Rasmusson en 1946 dans le Chicago Tribune.

    Ce comic raconte la vie d'une adolescente américaine, de sa famille et de ses amis. En France, la série apparaît pour la première fois dans le magazine Fillette en 1947.

    Très vite, les aventures d'Aggie sont publiées sous forme d'albums, (édités par la Société parisienne d'édition), constitués d'une succession de petites histoires sans forcément de rapport les unes avec les autres. Aggie, qui a perdu sa mère très jeune, vit avec son père le commandant Mack, sa belle-mère et sa demi-sœur Mona. Durant les longues absences de son père, Aggie devient le souffre-douleur de Mona et fait figure de Cendrillon moderne. Heureusement, elle trouve du réconfort auprès de ses amis du collège et de son chien Moustachu.

    Les neuf premiers albums sont très sombres.

    À partir du dixième album, le père d'Aggie cesse de naviguer et sa présence à la maison allège considérablement l'ambiance. Mona disparaît presque totalement et le personnage d'Aggie devient celui d'une jeune américaine d'après-guerre, insouciante et espiègle.

    À la mort de Hal Rasmusson, plusieurs auteurs se succèdent : Roy Fox, puis Gérard Alexandre -qui signe sous le pseudonyme d'Al.G.- en 1960, Pierre Lacroix en 1974 et enfin Anne Chatel en 1980.

    Au total, 34 albums ont été publiés.

    Dans les années 1990, ils seront réédités par les éditions Vents d'Ouest.

                                                                    

     

    La réédition tant attendue d'un grand classique de la bande dessinée.

    Véritable Cendrillon des temps modernes, Aggie est la fille du Capitaine Mack, absent du foyer la plupart du temps, et le souffre-douleur de sa cruelle belle-mère et de sa fille, Mona. A côté de cet enfer familial, Aggie peut compter sur une foule d'amis avec lesquels se nouent des intrigues amoureuses comiques et compliquées

    ... Les Editions Vents d'Ouest proposent aujourd'hui de redécouvrir ou de découvrir Aggie en albums cartonnés respectant la présentation de leur publication d'origine.

    Une série qui vient s'inscrire dans la collection Classiques, en compagnie de "L'Espiègle Lili" et des "Pieds Nickelés", offrant au public la collection complète de ces grands classiques de la bande dessinée. Aggie, , RASMUSSON, bd, Vents d'Ouest, bande dessinée Aggie, Aggie et son Français, RASMUSSON, bd, Vents d'Ouest,

      

     

    LE JOURNAL "FILLETTE"

    "Fillette" Avant guerre

    "Fillettes" après guerre,

    Année 1958/1959

    http://bd-nostalgie.org/JOURNAUX/05_fillette_gal_1958_1959.htm

    "Fillettes" 1963

    http://bd-nostalgie.org/JOURNAUX/05_fillette_gal_1962_1963.htm

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  •  Caroline, Pouf, Noiraud sont des amis qui ont fait parti de mon enfance et je viens d'apprendre que Caroline avait 60 Ans, elle n'a pas vieilli ... J'ai acheté quelques albums à mes petites filles et elles aiment beaucoup

                                                       

     

    Caroline est une série de 44 albums pour enfants, écrits et illustrés par Pierre Probst, publiés de 1953 à 2007. L'héroïne est une blondinette à couettes de sept à dix ans, active, moderne, indépendante, qui vit comme une grande personne. Elle est entourée de huit jeunes animaux espiègles et gaffeurs qui parlent et agissent comme des humains.

     À partir de 1951, le dessinateur Pierre Probst crée de jeunes animaux pour des livres de la collection « Albums roses » d'Hachette :

    Pouf et Noiraud campeurs, Le Voyage de Pipo, Pouf et Noiraud bricoleurs, Youpi au zoo…

    Didier Fouret, directeur d’Hachette Jeunesse, lui propose de créer un personnage humain, un garçon, qui serait entouré de tous ces jeunes animaux.

    Pierre Probst opte pour une fille   , car il a une fille, Simone, 12 ans, vrai garçon manqué. Elle lui a déjà servi de modèle dans Youpi et Caroline (1953), pour un personnage secondaire à qui Probst a donné le prénom de sa grand-mère : Caroline, « une vieille dame délicieuse, un peu indigne, qui se nourrissait de café au lait et d'aspirine ».

    Caroline devient alors le personnage principal d'une série que Probst dessine, mais dont il écrit également les textes.

                                                 

    Le premier album, Une fête chez Caroline, paraît en 1953, et rencontre aussitôt le succès.

    Univers La gare des Vallées figure dans Une fête chez Caroline (en tant que « gare de Belles-Fleurs ») et dans Caroline aux sports d'hiver (sous son véritable nom). Caroline semble habiter tout près, comme Pierre Probst qui habite La Garenne-Colombes. En dépit de décors et de costumes réalistes, l'univers de Caroline baigne résolument dans l'invraisemblable :

    la petite fille vit comme une adulte, les jeunes animaux se comportent comme des humains, et nul témoin ne paraît s'en étonner. La série se caractérise par la fantaisie et l'humour. Dans les illustrations se nichent en effet nombre de gags — mini-catastrophes déclenchées par les huit petits étourdis.

    La variété des thèmes et des aventures est très grande. Caroline et ses amis parcourent le monde entier (Inde, Canada, Égypte, pôle Nord) et même la Lune.

     

    Certaines histoires ont un parfum d'enquête policière (Caroline détective) ou scientifique (Caroline et le mystère du chat fossile).

    Certaines flirtent avec l'angoisse (Caroline et l'île mystérieuse) ou le fantastique (Caroline et le fantôme du Loch Ness).

    L'une aborde l'Histoire (Caroline à travers les âges), l'autre le conte philosophique (Caroline chez les Lillipuchiens)…

    Personnages Caroline Coiffée de deux couettes blondes, Caroline est une petite fille moderne, active, indépendante. Elle porte une salopette rouge. Elle est chaussée de ballerines blanches, qui deviennent par la suite des tennis. Au début, elle a sept ou huit ans. Les rééditions sont l'occasion de la faire grandir un peu : en 1984, dans la réédition en petit format du premier album, elle a environ dix ans.

    Mais ses activités sont bien au-dessus de son âge : elle conduit son automobile en tractant une caravane, dirige un cirque, loue un camion pour déménager, s'achète une maison de campagne qu'elle retape elle-même, voyage en toute liberté.

     

    Comme ses turbulents compagnons rivalisent de fantaisie et d'insouciance, elle veille sur eux dans les situations les plus abracadabrantes. Elle intervient avec à-propos, sauve la situation, montrant un joli sens des responsabilités :

    « Ce qui a tout de suite fait la force de Caroline, dit Pierre Probst, c'est qu'elle prenait en main la destinée de sa petite équipe d'animaux, un peu à la manière d'une cheftaine scoute. »

    Elle ne pleure qu'une fois, dans Caroline aux sports d'hiver, quand Bobi a disparu après un prodigieux saut à ski.

                                                          

    Les huit amis de Caroline Créés avant la série Pitou la panthère, paresseuse et rusée. Pierre Probst la crée pour Pitou la petite panthère, paru en 1952 dans la collection « Les albums roses » d'Hachette. C'est le premier personnage de la future série Caroline.

    Pouf, chaton blanc à nœud papillon. Élégant, un peu snob, farfelu. Ennuie tout le monde quand il détaille trop longuement ses rêves de grandeur. N'aime ni l'eau ni le froid.

    Noiraud, chaton espiègle, fanfaron, farceur, imprévisible. Aime rire. Une tendance à l'affabulation. La même répulsion que Pouf pour l'eau et le froid.

    Pipo, chien de berger efficace, courageux. Le sens du devoir. Indépendant, débrouillard, curieux, intelligent, vif. Il n'apparaît pas dans les deux premiers albums de Caroline, mais dans le troisième, Caroline aux Indes.

    Youpi, cocker naïf, turbulent, un peu bougon, mais très généreux, dévoué, affectueux. Peureux, casanier, aime se faire câliner par Caroline.

    Créés dans le premier album Boum l’ourson. Rêveur, gourmand. Beaucoup de bonne volonté, mais de la maladresse. Kid le lionceau. Un peu paresseux, comme Pitou. Glouton, mais fort, brave, gentil, serviable.

    Créé dans Le Voyage de Caroline Bobi le chiot, rieur, intrépide. Beaucoup de dons naturels. Il excelle dans toutes les disciplines sportives (grâce parfois à la complicité de Pipo). Il apparaît dans le deuxième album, Le Voyage de Caroline.

      

     L'automobile de Caroline est une antique 5 CV « Trèfle » jaune et noir des années 1920, qui annonce le tacot jaune et noir de Gaston Lagaffe. Probst s'est inspiré de la voiture de son père. Caroline la conduit, de même que le chat Pouf, le chien Youpi ou le chien Bobi. Les gendarmes semblent trouver cela normal, reprochant seulement aux petits animaux de livrer une bataille de pommes de terre au beau milieu de la route.

    Titus:

    Titus est un robot (« affectueux et dévoué », dit le descriptif du marchand) que Caroline achète pour faire le ménage en vacances, à la place de ses huit petits paresseux. Il n'apparaît que dans quelques albums (Caroline et le robot, Caroline et l'île mystérieuse, Caroline et les vacances de Titus…)

    Les 44 albums :

    Les albums ont 28 pages. Ils paraissent d'abord en grand format (227 × 310 mm). Le premier album de Caroline est d'ailleurs le premier d'une collection qui a pour nom « Les grands albums d'Hachette ». En 1972, à l'occasion de la parution d'un ensemble des 15 premiers volumes, quelques titres changent. En 1974, le texte de cinq albums est remanié.

    En 1984, l'éditeur décide de réduire le format à 196 × 270 mm, ce qui est l'occasion pour Probst de moderniser certains éléments de costume ou de décor, voire de redessiner entièrement certains albums1. En 30 ans, le dessin a pris beaucoup d'élégance. Les couleurs intimistes, les fonds sombres de 1953 cèdent la place à une grande luminosité.

       

     

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  •  

     Photo offerte par Mamé 09 Francoise (Pechers en fleurs devant le Canigou) sur son très beau blog de photos

    http://photosmame09.canalblog.com/

    Aujourd'hui c'est le Printemps et il ne fait pas beau, le temps est humide et gris !

     

    Monsieur Printemps

    Monsieur Printemps est un bel homme

    Toujours pimpant frais et dispos

    Il enfile son habit vert pomme

    Et n'est jamais en repos

    Il met son nez à la fenêtre

    Dès que revient le mois d'avril

    Et dit tout haut: "quel temps fait-il?

    Voici le moment de paraitre

     

    " Monsieur Printemps, monsieur Printemps

     

    Revenez-nous et pour longtemps

    Monsieur Printemps, Monsieur Printemps

    Restez chez nous encore longtemps

     

     

     

    Voici que la rosée en perles

    Brille partout sur les gazons

    Les papillons ouvrent leurs ailes

    Et au-dessus font des tourbillons

    Les oisillons font des aubades

    Et disent bonjour au soleil

    En criant "voilà le réveil Rions!

    Chantons! Les camarades!"

     

     

    monsieur Printemps,monsieur Printemps

    revenez-nous et pour longtemps

    monsieur Printemps,monsieur Printemps

    restez chez nous encore longtemps!

    appris à l'école ,

     

    http://www.momes.net/dictionnaire/jardinage-enfant/conseil-jardiner-enfant.html

     

     

     

    Conseils pour jardiner avec les enfants

    jardinage pour enfant | Momes.net

    Jardiner avec les enfants,

    c’est une véritable école de vie !

    Râteau à la main et bottes aux pieds, les enfants apprendront tout d’abord à observer la nature et appréhender son rythme. Ils observeront l’évolution des saisons et son impact sur la nature, s’émerveillant jours après jours devant l’éclosion d’une fleur ou la maturation d’un fruit. Ils découvriront les insectes et petits animaux des jardins et leur rôle dans l’écosystème.

     

     

    Jardiner avec les enfants,

    c’est leur apprendre des valeurs fondamentales telles que la patience et le respect de la nature. A l’heure où l’environnement tient une grande place, rien de tel que le jardinage pour éveiller les jeunes esprits à la question de la préservation de la nature et de l’écologie.

     

    Jardiner avec les enfants,

    c’est partager un moment de complicité rare. Quel plaisir de les voir s’émerveiller devant leur propre travail et de pouvoir leur transmettre des connaissances ! Quel plaisir pour eux de se sentir à la fois entourés et autonomes !

     

    Jardiner avec les enfants,

    c’est leur permettre de s’épanouir en mettant tous leurs sens en éveil. Ils en prendront plein la vue devant une jardinière haute en couleur ou un potager teinté de vert, rouge et orange. Ils adoreront également mettre les mains dans la terre, manipuler des bulbes, des graines, se salir, respirer le parfum d’une fleur ou d’un fruit….juste avant de goûter à la joie de le mettre à la bouche !

     

    Un jardin rien que pour lui jardinage-enfant

    Vous avez un jardin ? Alors laissez une petite parcelle dont votre enfant sera le jardinier en chef ! Délimitez-là avec des petits piquets. Si vous n’avez pas de jardin, une jardinière fera tout aussi bien l’affaire, car l'idée c'est que votre petit jardinier se responsabilise autour de ses plantations et soit fière de voir une petite pousse pointer le bout de sa tige ! Et puis cela évite de marcher sur les plates-bandes de l'autre !

     

     Les 10 commandements du p'tit jardinier !

       

    1. Le sol, tu prépareras : environ 15 jours à l'avance, débarrasse la terre des mauvaises herbes, cailloux et saletés.

    2. Tes graines, tes bulbes, tu prépareras : avant toute chose, il faut réfléchir à ce que tu veux planter et bien sélectionner tes espèces.

    3. Au plan de ton jardin tu réfléchiras : un peu d’organisation s’impose ! Il te faudra, avant de commencer, attribuer une place à chaque espèce de légumes, fruits ou fleurs. 10 astuces de jardiner

    4. Des outils dont tu auras besoin tu t’équiperas. Bêche, râteau, plantoir, un bon jardinier est un jardinier équipé !

    5. De patience tu t’armeras ! Certaines fleurs et certains légumes prendront un certain temps à sortir de terre. Il te faut respecter le rythme de la nature !

    6. Les animaux tu protègeras : tu ne seras pas seul dans ton jardin ! Vers de terre, limaces ou escargots t’accompagneront. A toi d’y prêter attention !

    7. Tes plantes, fleurs et légumes régulièrement tu arroseras ! Il est indispensable de les arroser souvent mais pas trop tout de même !

    8. Te salir, tu n’hésiteras pas : en jardinage, il ne faut pas avoir peur des taches ! Le mieux est de te préparer une tenue spéciale jardinage que tu pourras salir à ta guise.

    9. Fier de toi tu seras ! Lorsque tu verras apparaitre tes premières courgettes ou tomates, tu sauras que tu as bien travaillé !

    10. Te régaler, tu n’oublieras pas : que ce soit avec les yeux, en admirant les fleurs que tu as semé ou avec la bouche en goûtant ta première tomate, prends ton temps et savoure ce moment !

                                                       

     

     

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     Calimero est un personnage de fiction de dessin animé. Un poussin anthropomorphe charmant mais malchanceux : seul poussin noir dans une portée de jaunes, il porte sur la tête sa coquille d'œuf à moitié brisée.

     Histoire:

    La notoriété de Calimero est importante du début des années 1960 jusqu'à la fin des années 1970. Personnage d'origine italienne, créé par les frères Nino et Toni Pagot ainsi que par Ignazio Colnaghi, Calimero est né en 1962 pour les besoins d'une publicité de la lessive Ava diffusée pendant l'émission Carosello.

    Il fait sa deuxième apparition dans la série La costanza dà sempre buoni frutti (traduisible par « La fidélité paye toujours ») puis dans une série dédiée « Calimero le poussin noir » à partir du 14 juillet 1963. Et s'il est noir c'est qu'il est tombé dans la boue en naissant.

    Dans la publicité, la lessive le nettoie et le poussin retrouve sa couleur jaune.

    Après la mort de Nino Pagot, les héritiers produisent une série de dessins animés non-publicitaires (en couleurs) de 1, 2 puis 5 et enfin 20 minutes. Ces épisodes, destinés au marché international, furent même exportés au Japon. Le studio Toei en produisit 47 anime entre 1974 et 1975.

    En 1992, une nouvelle version (de 52 épisodes) fut réalisée avec de nouveaux équipements et personnages. Ces épisodes (diffusés avec les séries de grande écoute pour enfants) se concluaient systématiquement par la même complainte se perdant dans l'éloignement « C'est pas juste ! C'est jamais juste ! c'est toujours à moi qu'on s'en prend ! C'est pas parce qu'on est petit et faible que... » dont la fin inaudible a donné lieu à bien des supputations.

    Le nom du personnage, et sa célèbre phrase préférée « C'est vraiment trop injuste » (souvent écrit « C'est vraiment trop inzuste », le personnage zézayant), entrent ainsi dans l’imaginaire collectif : Calimero devient le symbole de la personne qui se plaint de manière dérisoire ou victime d'un syndrome de persécution.

    Le personnage de Calimero et les seconds rôles de la série sont encore utilisés de nos jours dans des activités promotionnelles : vêtements, casques de moto, produits scolaires, gadgets etc.

     

    Caractéristiques:

    L'ambiance des histoires correspond au lieu d'origine des auteurs : la province de Padoue notamment les alentours de Mirano. Le nom du poussin vient de la basilique San Calimero (à Milan) où Nino Pagot s'est marié.

    Dans la série officielle, Calimero est présenté comme le dix-septième poussin de la couvée d'une poule padouane appelée Cesira (s'exprimant en dialecte padouan dans la version originale), qui renie ce fils car il est noir, et du (en apparence) rustre Gallettoni. Noir de la queue à la tête, il n'abandonne jamais la coquille de l'œuf dans lequel il est né. Calimero vit une série d'aventures dans lesquelles — malgré son statut de vilain petit canard abandonné par sa famille et en mauvaise compagnie — le bien et la vérité triomphent toujours grâce à la bonne foi et l'honnêteté du poussin. À la fin de chaque épisode, le personnage publicitaire qu'est la Hollandaise de Mira Lanza (la marque de lessive) montre qu'en réalité Calimero n'est pas noir : il est seulement sale ! Comme ses parents n'offrent pas de refuge sûr au poussin, il réussit uniquement grâce à la Hollandaise et au produit vanté par la publicité.

    Cependant, le monde de Calimero n'est pas franchement hostile, il est confortable même si peuplé de nombreux personnages peu recommandables :

    le rustre Papero Piero ou le pédant professeur Galletti. Ceux-ci contrastent avec les personnages amicaux que sont la fiancée de Calimero (Priscilla) et son ami Valeriano. Les histoires qui ont suivi la période de Carosello furent quasiment reprises telles quelles, le message publicitaire en moins. Dans ces épisodes (contrairement à ceux de Carosello) Calimero habite en famille (avec Cesira et Gallettoni), sa famille l'aime et il est fils unique.

    À la fin des années soixante-dix, Pagot voulait exporter Calimero aux États-Unis, mais le personnage est rejeté car il est noir, ce qui n'était pas acceptable dans ce pays à cette époque. Un des thèmes musicaux de la série avait été écrit avec la collaboration d'auteurs tels que Luciano Beretta et Carmelo La Bionda. On leur doit le style disco/années soixante-dix du thème.

    Personnages des séries Calimero

    - Le héros de l'histoire, il est réservé et se sent parfois délaissé du monde qui l'entoure. Au fond de lui il est très généreux.

    Priscilla - La petite amie de Calimero, un oiseau timide plein de bon sens, elle est amoureuse de Calimero c'est pour cette raison qu'elle le défend tout le temps quand Pierrot l'insulte.

    Ambroise Gallettoni

    - Le papa de Calimero. Cesira Gallettoni

    - La maman de Calimero.

    Maitre Hibou

    - Le Professeur d'école. Valeriano

    - Un oiseau vert obsédé par la réalisation de films.

    Susy - Une cane toujours en pleine forme.

    Piero - Le copain de Susy, également un canard.

    Rosella - La copine de Valeriano, un oiseau timide, c'est aussi l'amie de Calimero.

    Auteurs Mise en scène :

    Nino Pagot, Toni Pagot

    Dessin et animation : Nino Pagot, Toni Pagot, Gianfranco Barenghi, Davide Benvenuti, Secondo Bignardi, Daniele Faragazzi, Anacleto Marosi, Alberto Manfredini, Carlo Peroni, Emilio Raineri. Scénarios : Nino Pagot, Toni Pagot, Ignazio Colnaghi

    Voix : Ignazio Colnaghi

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