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    Description

    Ils sont connus pour leur cou courbé (ils possèdent le plus grand nombre de vertèbres cervicales de tous les vertébrés[réf. nécessaire]) et pour leurs belles plumes blanches, au nombre de 25 000 chez le cygne adulte1. Cependant, quelques espèces ont un plumage noir. Leurs deux pieds sont palmés. Les petits du cygne sont appelés cygneaux.

    Les cygnes sont les plus grands membres de la famille des canards Anatidae, et sont parmi les plus gros oiseaux en vol, pesant jusqu'à 15 kg et mesurant 1,50 m environ. Par rapport aux oies, ils sont à la fois plus grand en taille et ont des pieds et un cou proportionnellement plus grands.

    Ils ont aussi une pièce de peau déplumée entre les yeux et sur le bec chez les adultes. Les plumages de chaque sexe sont similaires, mais les mâles sont généralement plus grands et plus lourds que les femelles.

    Le cygne est l'oiseau dédié à Apollon dans la mythologie grecque.

    Juste avant de mourir, le cygne chanterait davantage et avec plus de force.

    Cette caractéristique a donné l'expression qui remonte à l’Antiquité grecque (en référence au dernier discours de Socrate condamné à mort pour impiété).

                                                                  

    Liste des espèces

    D'après la classification de référence  du Congrès ornithologique international (ordre phylogénique),  espèces sont répertoriées, le cygne de Bewick est considéré comme une sous-espèce de Cygnus columbianus.

     

    Un lien pour en savoir plus sur le cygne ...

    http://www.bestioles.ca/oiseaux/cygnes.html

    La Mort du Cygne

    Michel Fokine est un chorégraphe des ballets russes de Diaghilev, il crée en 1905 le solo la mort du cygne (A ne pas confondre avec le lac des cygnes) pour la danseuse Anna Pavlova, sur une musique de Camille Saint-Saëns. Le thème de la mort du mouvement influence nombre de chorégraphes modernes et contemporains.

     

    Le Lac des cygnes (titre original russe : Лебединое озеро / Lebedinoïe ozero) est un ballet en quatre actes sur une musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski (opus 20) et un livret de Vladimir Begichev inspiré d'une légende allemande.

                                                            

                                                            

     

                                                                           

     Photos du cygne : Rémy Jacquemin-Verguet

    http://monjura.actifforum.com/

     

     

                                                                     

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    Ah ! Qu’il faisait bon, dehors dans cette campagne !

    C'était l'été, une cane, assise là, sur son nid couvait consciencieusement ses canetons ; pourtant elle commençait à en avoir assez, car cela durait depuis quelque temps déjà. Soudain les oeufs craquèrent, les oisillons brisaient leur coquille en sortant la tête l’un après l’autre. Cependant, un oeuf ne voulait pas se percer. C’était le plus gros d’entre tous. La cane soupira et se résigna à attendre ; elle se recoucha pour tenir cet oeuf bien au chaud sous son ventre. Enfin le gros oeuf creva et un étrange petit canard apparut. Il était grand, tout dégingandé et terriblement laid. La cane le regarda fixement et elle dit :

    - Voilà un caneton vraiment différent, aucun des autres ne lui ressemble, il est gris et si gros ! Mais qu’importe ! Elle prit ses petits sous son aile, et tous ensemble partirent faire une promenade sur le lac. Le lendemain, il fit un temps délicieux alors, la mère cane vint présenter la nouvelle famille à tous les animaux de la basse-cour ; mais lorsque ceux-ci s’aperçurent de la différence du dernier venu, les réactions ne se firent pas attendre.

    - Celui-là, nous n'en voulons pas ! Et aussitôt une cane lui mordit le cou. - Laisse-le tranquille, dit la mère, il ne fait de mal à personne. - Non peut être, dit la cane qui avait mordu, mais il est trop grand et trop laid. - Il n'est pas beau, mais il a bon caractère, et il nage magnifiquement bien. Il est resté trop longtemps dans son oeuf, voilà pourquoi il est si gros. Hélas le pauvre vilain caneton fut mordu, bousculé, nargué toute la journée, et ce fut de pire en pire ensuite. Le pauvre petit fut pourchassé par tout le monde, même ses frères et soeurs le rejetaient.

                                                           

    Un jour, sa mère lui dit : - Je voudrais que tu sois bien loin mon chéri ! Alors le vilain petit canard s'envola par-dessus la haie et parvint cahin-caha au grand marais habité par les canards sauvages. Il se cacha dans un coin et il y passa toute la nuit, très las et très triste. Le matin, les canards sauvages l’aperçurent.

    - Quelle sorte d'oiseau es-tu ? Le caneton se tourna de tous les côtés, et répondit en bégayant : - Je, je, je suis un canard !! - Aaah ! Tu es vraiment laid, dirent les canards sauvages. Mais ça nous est égal, pourvu que tu ne te maries pas dans notre famille. Soudain, au-dessus d'eux, on entendit :

    Pif, paf ! Et deux canards sauvages tombèrent raides morts. Pif, paf résonna de nouveau. C'était une grande chasse. Le vilain petit canard effrayé tourna la tête pour la cacher sous son aile, quand soudain, un grand chien terrible surgit devant lui. Le chien approcha sa gueule, montra ses crocs pointus et... tourna les talons sans se préoccuper du petit caneton. - Oh ! Dieu merci, soupira le vilain petit canard, je suis si laid que même le chien ne veut pas me mordre.

                                                                    

    L'automne arriva, les feuilles devinrent jaunes et le vent s'en empara pour les faire danser. Le vilain petit canard passait tout son temps à chercher une famille voulant bien l’accueillir, mais les animaux le dédaignaient toujours à cause de sa laideur.

                                                              

    Puis, l'hiver arriva qui fut extrêmement froid ; le caneton devait tout le temps nager pour empêcher l’eau de geler complètement autour de lui ; mais à la fin, complètement épuisé, il ne bougea plus, et fut prisonnier de la glace. Le matin, de bonne heure, un paysan le vit, brisa la glace, et l'emporta chez lui pour le ranimer.

                                                                

    Lorsqu’il se réveilla, les enfants voulurent jouer avec lui, mais apeuré, il se sauva et se cacha parmi des buissons couverts de neige. Il y resta tout l’hiver, attendant patiemment que l’air se réchauffe pour pouvoir repartir. Petit à petit, l’air fut plus doux, les oiseaux se mirent à chanter et le soleil devint de plus en plus présent. Le printemps arrivait ; cependant le vilain petit canard était toujours tout seul.

                                                                             

    Un jour, droit devant lui, s'avancèrent trois beaux cygnes qui ébrouaient leurs ailes et nageaient légèrement dans l’onde pure d’un étang. En voyant ces magnifiques bêtes, il fut pris d'une étrange tristesse. - Je vais voler vers vous, oiseaux royaux, et vous me massacrerez, parce que j'ose m'approcher. Moi ! Le vilain petit canard. En un coup d’aile, il s’éleva au-dessus de l’étang et se dirigea vers les superbes voiliers.

    Les trois oiseaux l'aperçurent, se retournèrent et accoururent vers lui à grands coups d'ailes en rasant les flots.

    - Tuez-moi si vous voulez ! dit le vilain petit canard. Il pencha la tête sur la surface de l'eau, attendant le choc et sa mort certaine... mais, il n’en crut pas ses yeux, quelle surprise en voyant son reflet !

    Il vit qu’il était devenu lui-même un cygne. Il en perdit le contrôle de son vol et tomba violemment dans les profondeurs de l’étang. Quand il rouvrit les yeux, les grands cygnes nageaient autour de lui et le caressaient tendrement avec leurs becs. Alors ses plumes se gonflèrent, son cou se dressa et heureux comme jamais, il comprit enfin tout son bonheur d’avoir retrouvé sa vraie famille.

                                                           

    Hans Christian Andersen (1805-1875) est un écrivain danois, qui, grâce à ses Contes pour enfants, incarne le génie populaire nordique. Il est né à Odense le 2 avril 1805, au sein d'une famille pauvre. Son père est cordonnier et meurt lorsqu'il a onze ans. Il part seul à quatorze ans chercher fortune à Copenhague. Il est tenté par le chant, le théâtre puis la danse et travaille quelque temps pour le directeur du Théâtre Royal, qui financera plus tard ses études.

    Parmi ses contes, les plus célèbres sont «le Vilain Petit Canard», «la Reine des neiges», «les Habits neufs de l'empereur», «les Cygnes sauvages» et «la Petite Sirène». Il meurt à Copenhague le 4 août 1875. Ses histoires, traduites en plus de quatre-vingt langues, connaissent un succès durable et inspirent des écrivains, des metteurs en scène, des réalisateurs, des chorégraphes, des sculpteurs et des peintres.


    Disney le vilain petit canard par delfabomb

     

                                                    

     

       

     

                                    

    LE CYGNE ET SES CYGNEAUX (photo Wikipedia)

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    C'est demain la Chandeleur,

    Demain nous mangerons des crêpes.

    Des crêpes rondes,

    des crêpes blondes,

    Des crêpes qui s'envolent,

    Comme à pigeon vole.

    Des jolies crêpes dorées

    Qui pourraient bien nous sauter sur le nez.

                                           

     

    MANGEONS DES CREPES   

     

    Quand on fait des crêpes chez nous

    Ma mère nous invite

    Quand on fait des crêpes chez nous

    Elle nous invite tous

     

    Une pour toi, une pour moi

    Une pour mon p'tit frère

    François Une pour toi, une pour moi

    Une pour tous les trois!

                                                                           

    QUAND ON FAIT DES CREPES CHEZ NOUS

                                                                                                          

    C'EST LA CHANDELEUR

    C'est la chandeleur

    C'est la chandeleur,

    c'est la chandeleur

    la crêpe danse dans la poêle

    la poêle danse avec la crêpe

    la crêpe saute dans la poêle

    la poêle saute avec la crêpe hop,

    retournons nous (bis)

                                      

    C'est la chandeleur,

    c'est la chandeleur

    la crêpe glisse dans la poêle

    la poêle glisse avec la crêpe

    la crêpe saute de la poêle

    la poêle saute avec la crêpe

    hop, regalons nous (bis)


                                                         

     

    Les crêpes P.Jaymes, P.Glaeser Extrait du CD Le resto des p'tits gourmands

     Miam miam, mangeons des crêpes,

    Salées ou bien sucrées

    Dégustons ces galettes

    Au dessert en entrée

    Miam miam, mangeons des crêpes

    Légères ou bien dorées

    Faisons sauter nos crêpes

    Sans les faire tomber

     

    Venez dans la cuisine

    On va bien rigoler

    Mélangeons la farine

    Et un litre de lait

    Le jaune, le blanc des oeufs

    Du sel un peu de beurre

    Les enfants sont heureux

    Vive la chandeleur !

     

    Tartinons de fromage,

    De crème et de jambon

    Plus ou moins davantage

    De viande ou champignons

    Chauffer à petit feu,

    Replier bien en deux

    Et d'un coup de fourchette,

    Faire glisser dans l'assiette !

     

    Si après ce festin,

    Vous avez encore faim

    Gardez un peu de pâte

    Au fond de votre jatte

    Ajoutez-y du sucre

    Ou de la confiture

    Du miel, du chocolat

    Ou du sirop de mûre !

                                                        

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    . Zecchino d'Oro

    Zecchino d'Oro est un festival de chant international pour les enfants se produisant tous les ans depuis 1959 et diffusé sur la chaîne de télévision italienne Rai 1.

     

    Il fut lancé par Cino Tortorella, et les deux premiers festivals se passèrent à Milan.

    En 1961, celui-ci fut repris par l'institut Antoniano et se déplaça jusqu'à Bologne.

    En 1963, Mariele Ventre, un directeur des jeunes chanteurs, créa le choral enfantin Piccolo Coro dell'Antoniano (appelé ensuite Piccolo Coro « Mariele Ventre » dell' Antoniano après sa mort, et dirigé dès lors par Sabrina Simoni). À partir de 1976 le festival a pris une ampleur internationale et chaque année, 7 chansons italiennes et 7 chansons étrangères sont chantées par des enfants d'environ 5 à 10 ans, et dont le vote est laissé à un jury tout aussi jeune.

    La chanson gagnante est récompensée par le Sequin Zecchino d'Oro.

    L'émission est très populaire et tous les petits italiens connaissent par cœur au moins une dizaine de ces chansons.

     

       

     

                                                       

     

     

         

    J'adore "la bouille du petit chanteur" .... et je suis étonnée par la voix, il chante avec une justesse incroyable !

                                                      

     

                                                              

        

     

                                                                                                  

     

      

     

                                                                 

                                                                                                         Ils sont craquants, ils chantent avec une facilité  et un naturel incroyable étant donné leur jeune age, de la vraie graine de star !

                                                                                

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    Berceuse Bretonne (Toutouig)

     

    Dors en paix, mon enfant sage!

    Dors en paix mon gars!

     

    Ton père est loin, là-bas sur l'eau

    Il pense que tu fais dodo

     

    Dors en paix, mon enfant sage!

    Dors en paix mon gars!

     

    Pour ta maman ferme les yeux

    Demain nous reprendrons nos jeux

     

    Dors en paix, mon enfant sage!

    Dors en paix mon gars!

     

    Un ange passe dans le soir

    Ses ailes d'or portant l'espoir

     

    Dors en paix, mon enfant sage!

    Dors en paix mon gars!

     

    Ton père rentrera bientôt

    Demain viendra son beau bateau

     

    Dors en paix, mon enfant sage!

    Dors en paix mon gars!

     

    La brume tombe sur la mer

    La lande chante au vent d'hiver

     

    Dors en paix, mon enfant sage!

    Dors en paix mon gars!

      

     

     

                                                                     

    Comptines et berceuses de Bretagne / Livres-disques Collection Comptines du monde Sélection : Chantal GROSLEZIAT - Illustrations : Aurélia GRANDIN - Préface : Yann-Fañch KEMENER - Arrangements et réalisation musicale : Jean-Christophe HOARAU - Chant : Annie EBREL, Yann-Fañch KEMENER, Eugénie DUVAL, Yann-Guirec LE BARS. - Chant : Anne-Marie PELHATE, Philippe LE GUERN, Yann-Pier DEREDEL, Yannick THEPAULT. 26,5 x 26,5 cm / 23.8€

      Achetez en ligne sur : achetez sur librairie dialogues achetez sur amazon achetez sur fnac Annie Ebrel, Yann-Fañch Kemener...

    Les plus belles voix de la Bretagne d’aujourd’hui pour un voyage intense et émouvant!

    Autour d’eux, une dizaine d’interprètes nous invitent à (re)découvrir un patrimoine d’une grande poésie au son du violon, de la harpe, de la clarinette, de la cornemuse... En alternant gallo et breton, ces 28 chansons nous plongent dans une Bretagne riche et généreuse. Témoignage d’un patrimoine vivace, elles puisent dans les sources celtiques et chantent la vie quotidienne, la nature dans un esprit parfois très surréaliste.

    Thèmes : Bretagne, Comptines, Langues régionales, Breton, Gallo.

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