• C'est l'ancien chanteur des "LOUISE ATTAQUE", c'est super cette chanson

     

     

    Gaëtan Roussel est un auteur-compositeur et interprète français, né le 1er janvier 1970, chanteur des groupes de rock Louise Attaque et Tarmac.

    En 2008, il participe à l'écriture des chansons et à la production du dernier album d'Alain Bashung, Bleu pétrole, récompensé en 2009 aux victoires de la musique.

    Il a composé la musique du film Louise-Michel de Benoit Delépine et Gustave Kervern. Gaëtan Roussel a également écrit pour Rachid Taha et Vanessa Paradis.

    En 2009, il se lance dans une carrière solo.

    Son premier album solo, Ginger, dont le premier single Help myself (Nous ne faisons que passer) est diffusé sur les ondes radios françaises. Il est aussi disponible en écoute gratuite sur Internet et est sorti le 8 mars 2010.

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  • On vient de l'apprendre, le chanteur JEAN FERRET est mort
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    ean Ferrat (né Jean Tenenbaum), né le 26 décembre 1930 à Vaucresson (Hauts-de-Seine) et mort le 13 mars 2010 à Aubenas[1], est un écrivain-parolier, musicien-compositeur et chanteur-interprète français.(Wikipédia)

      Dernier de quatre enfants d'une famille modeste qui s'installe à Versailles en 1935, il poursuit ses études au Collège Jules Ferry. Son père est joaillier et sa mère fleuriste. Durant la guerre, son père, qui est juif, est déporté par les nazis et meurt à Auschwitz. Il est alors caché par des militants communistes. À quinze ans, il doit donc quitter le lycée pour travailler afin d'aider financièrement sa famille. Il commence en même temps des études de chimie et devient aide-chimiste jusqu'en 1954, année de ses premières auditions. Déjà, à cette époque, il est attiré par la musique et le théâtre.

     Au début des années 1950, il entre dans une troupe de théâtre, compose quelques chansons et joue de la guitare dans un orchestre de jazz. Il passe sans grand succès quelques auditions, fait des passages au cabaret sous le nom de Jean Laroche, et, ne se décourageant pas, décide de se consacrer exclusivement à la musique. Le jeune guitariste prend ensuite pour pseudonymes Frank Noël, avant d'opter pour Jean Ferrat (d'après la ville Saint-Jean-Cap-Ferrat).

     Ainsi en 1956, il met en musique Les yeux d'Elsa, poème de Louis Aragon dont il est un admirateur. C'est André Claveau, alors en vogue, qui interprète la chanson et apporte à Jean Ferrat un peu de notoriété. Il se produit alors au cabaret parisien La Colombe de Michel Valette, en première partie de Guy Béart.

     En 1958, il sort chez Vogue son premier 45 tours, mais ne rencontre guère de succès. Une jeune chanteuse, Christine Sèvres, reprend quelques-unes de ses chansons. Il l'épousera en 1961. C'est la rencontre en 1959 de Gérard Meys, qui deviendra son éditeur et son ami, qui relance sa carrière, il signe chez Decca et, l'année suivante, sort son second 45 tours avec la chanson Ma Môme, qui est son premier succès et passe sur les radios.

     (*) En 1966, le succès étant venu pour Ferrat, Vogue rééditera ce 45t sous le label Pop4, label à bon marché destiné à la grande distribution de l'époque, style Prisunic. Sa rencontre avec Alain Goraguer, qui signera ses premiers arrangements sous le pseudonyme de Milton Lewis, sera par ailleurs décisive. Ce dernier deviendra ensuite l'arrangeur attitré des chansons de Jean Ferrat.
     Son premier 33 tours sort en 1961 et reçoit le prix de la SACEM. Il entame alors une longue carrière, émaillée de difficultés avec la censure. En effet, Jean Ferrat a toujours été un chanteur engagé. Il écrira ses textes ou mettra en musique ceux de ses amis poètes, Henri Gougaud, Georges Coulonges ou Guy Thomas.

    . En 1962, il fait la connaissance d'Isabelle Aubret. Un véritable coup de foudre amical a lieu entre les deux artistes. Ferrat lui écrit Deux enfants au soleil, un des titres majeurs de la chanteuse, et lui propose la première partie de la tournée qu'il démarre alors. Il compose une chanson sur des paroles écrites par Philippe Pauletto qu'il publie en 1970, et qui sera ensuite interprétée aussi par Isabelle Aubret : Tout ce que j'aime. Il a aussi composé une chanson sur des paroles de Michèle Senlis pour Jacques Boyer et Jean Louis Stain au début des années 1960 et qui sera, dans les années 1970, réécrite partiellement et interprétée par Daniel Guichard : Mon vieux. Jean Ferrat habitait dans la commune d'Antraigues-sur-Volane (près de Vals-les-Bains) en Ardèche, qui lui inspirera d'ailleurs la chanson La Montagne. Il meurt le 13 mars 2010 à l'hôpital d'Aubenas.

     L'artiste  engagé en général, Cet artiste très populaire, bien que largement diffusé par les postes périphériques, est rarement passé sur les écrans de la télévision. Il accuse le système commercial qui fait passer les considérations financières avant la chance donnée aux artistes créatifs.
     Publiant des lettres ouvertes aux différents acteurs de la vie culturelle, présidents de chaînes, ministres, il dénonce une programmation qui selon lui privilégie les chansons « commerciales » aux créatifs[.
     Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence.







    on ne sait pas quelle chanson choisir .....

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  • Quelques chansons sur les femmes !


    Julio Iglesias "Vous les femmes"

    Julien Clerc - Femmes je vous aime


    Serge Lama - Femmes, femmes, femmes -

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  • Non je ne lis pas "VOICI" ceci est une information que j'ai pris sur internet au lendemain du palmarès des "CESAR".

    ISABELLE ADAJANI a remporté le César de la meilleure actrice pour son role dans "LA JOURNEE DE LA JUPE".
    César bien mérité, car j'avais vu ce film "par hasard" sur ARTE (moi qui ne regarde jamais ARTE) et je l'avais trouvé saisissant d'émotions face à cette jeunesse violente et touchante à la fois
                      http://www.cinemovida.com/chateauroux/fichier/image/La_journee_de_la_jupe.jpg
    En compétition face à Sandrine Kiberlain, Audrey Tautou, Dominique Blanc et Kristin Scott Thomas, Isabelle Adjani était déjà donnée grande favorite avec La Journée de la jupe.

     Pourtant, à l'annonce de son nom par Gérard Depardieu, la ravissante brune aux yeux bleus ne semblait pas y croire. Les larmes coulaient sur son visage et ses mains cherchaient désespérément dans son petit sac à main le long discours qu'elle avait préparé pour l'occasion.

     «Je n'ai jamais été aussi émue que ce soir» « Merci beaucoup. Je crois que je n'ai jamais été aussi émue que ce soir pour ce César, a-t-elle déclaré tout en tentant au mieux de retenir les larmes qui s'échappaient encore.
     Ce César couronne le rôle le plus modeste de ma carrière et le choix d'un film dont personne ne voulait. Je suis très fière que mon travail soit reconnu de cette façon-là ». « Le cinéma teste notre conscience et l'héritage qu'on veut laisser à nos enfants. C'est pour moi une joie qui va au-delà de la récompense. Je n'en reviens pas car ce film était une toute petite entreprise et jamais je n'ai cru qu'on irait si loin avec la profession et le public. Tout est encore définitivement possible pour des films qui peuvent se frayer un chemin, alors que personne n'en veut souvent parce qu'ils sont importants », a-t-elle ajouté rappelant le parcours du combattant auquel elle a dû faire face avec le réalisateur Jean-Paul Lilienfeld et toute l'équipe du film pour que ce long-métrage d'abord diffusé sur Arte puisse sortir dans quelques salles.

     Il s'agit du cinquième César d'Isabelle Adjani, déjà récompensée pour Possession d'Andrzej uawski, L'Eté meurtrier de Jean Becker, Camille Claudel de Bruno Nuytten, et La Reine Margot de Patrice Chéreau. Et pour la première fois dans toute sa carrière, celle qui interprète une prof de Français qui prend sa classe en otage a choisi de dédier ce César à ses enfants et à sa maman, « où qu'elle soit » laissant encore les larmes embuer ses yeux. M-A.K.

    Source Voici



     
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  • http://images.uulyrics.com/cover/c/camille/album-sac-des-filles.jpg




    CAMILLEde son vrai nom Camille Dalmais, est une chanteuse française, née le 10 mars 1978 à Paris.

     Elle est également auteur et compositeur.
     Fille d'une mère enseignante et d'un père musicien, elle entre en hypokhâgne au lycée Henri-IV de Paris.
     Elle est ensuite admise à l'Institut d'études politiques de Paris, où elle consacre son stage à la production de son premier opus, Le Sac des filles, en 2002.
     À sa sortie fin 2002, l'album connaît un accueil mitigé de la critique, ce qui n'empêche pas plusieurs titres d'intégrer la playlist de France Inter ou de FIP (Paris, Le Sac des filles, Les ex) .
     Les multiples collaborations suivant cette première parution attirent l'attention sur la jeune chanteuse. En plus des albums de Magic Malik, Gérard Manset ou Sébastien Martel, elle fait une prestation remarquée sur l'album-DVD de Jean-Louis Murat, Parfum d'acacia au jardin (2004).

     Elle collabore ensuite au projet Nouvelle Vague[1], se proposant de reprendre des classiques new wave en version bossa nova. Chanteuse principale de l'album (4 chansons pour elle seule), elle est une artisane majeure du succès que rencontre l'album et la tournée estivale qui suivit où son extravagance ravit[2].

     En 2005 sort l'album Le Fil, un album au concept étonnant, construit sur le « fil » ou le « bourdon » : une seule note, un si en l'occurrence, qui forme un long segue du début à la fin de l'album (et même pendant 35 minutes après la dernière chanson). Co-arrangées par le réalisateur anglais MaJiKer, toutes les chansons sont construites sur une exploration de la voix, avec pour seul instrument une contrebasse et parfois un clavier. Sur scène, Camille reproduit ce minimalisme. Elle utilise l'oversampling pour retrouver la complexité des arrangements vocaux de l'album. Sly (beatbox), MaJiKer (piano, accordéon) et Martin Gamet (contrebasse, basse) l'accompagnent.

     Cette fois la critique est unanime et salue l'originalité de l'œuvre.
     Le single Ta douleur fait un carton et Camille enchaine interviews et passages télévisés. Douze mois après sa sortie, l'album est disque de platine, il approche les 500 000 exemplaires vendus. Tandis que le prix Constantin puis deux Victoires de la musique confirment l'adhésion de la profession, la longue tournée qui suit démontre l'engouement du public.

     Également en 2006, suite logique de cette tournée, sort son album Live au Trianon, enregistré les 17 et 18 octobre de l'année précédente. S'ensuit une série de concerts à l'international.
     En juin 2006, Camille chante les Ceremony of Carols de Benjamin Britten, et une création autour de 12 prières du monde. Elle fait une apparition remarquée sur un titre de l'album Hold Up du Saian Supa Crew, intitulé Si j'avais su qui est une des chansons les plus poignantes de l'album.

     Son troisième album studio, en anglais, Music Hole, est sorti le 7 avril 2008.
     Elle reçoit en 2009 une récompense dans la catégorie "Artiste Interprète Féminine" de l'année aux 24e victoires de la musique.

     Camille apparaît au cinéma. En 2001, elle figure dans Les Morsures de l'aube, le premier film d'Antoine de Caunes, où elle incarne une chanteuse.
     Elle fait également la voix française du personnage de Colette dans Ratatouille, un film du studio d'animation Pixar, sorti en août 2007.
     Elle interprète aussi la chanson Le Festin du générique de ce film.




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