•   http://static.blogstorage.hi-pi.com/photos/mcgenny.blogspace.fr/images/gd/1265974247/C-EST-VENDREDI.jpgCe vendredi 22 octobre, on Fête Sainte Élodie.

     

    Nous sommes le 295ème jour de l'année. Aujourd'hui nous fêtons les : Élodie, Salomé

     

    Demain n'oubliez pas de Fêter les : Morgan

     

    Le proverbe du jour:

    Il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes. [Proverbe français]

     

    Le dicton du jour :

    Octobre glacé, fait vermine trépasser.

     

    Citation du jour :

    Rien de ce que nous entreprenons ne peut être accompli entièrement seul. Il y a une part de nous-mêmes en chacun de nos semblables. [Lloyd Alexander] Les Chroniques de Prydain

      http://www.caramba.fr/data/mini/elofie-frege-1268222034-N-90-600.jpg

    e prénom du jour : Élodie •  (Elodie Frégé)

     

    Couleur : bleu • Chiffre : 5 • Signe associé : lion

    Étymologie : du latin alodis, « propriété », ou du grec elodié, « fleur fragile ».

     

    Célébrités : a chanson de Serge Gainsbourg, Melody Nelson, qui joue évidemment du prénom d’Élodie.

     

    Histoire et caractère :

    Sainte Élodie (IXe siècle) fut martyrisée sous le califat d’Abd Er Rahman, en Espagne, dans sa province natale de Huesca. Ce prénom, très musical, suggère une fine et ardente sensibilité. Son côté subtilement désuet semble paradoxalement le remettre en vogue de nos jours.

    http://photos-b.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-snc3/hs493.snc3/26949_402668402663_22547692663_5077441_2549642_n.jpg

    http://www.fleurdementhe.com/musique-clip/elodie-frege-mon-coup-de-coeur-musical-francais/

    Elodie Frégé, mon coup de coeur musical français…

     

    Elodie Frégé, vous la connaissez au moins pour ses débuts dans la Star’Ac il y a des années. La blonde donnait à l’époque l’image d’une fille passe-partout, transparente, presque insignifiante… Sa victoire a été critiquée car sa voix, son style n’avait rien de nouveau. Cela lui a quand même permis de sortir son premier album. Comme tous les premiers opus des gagnants de l’émission, le style musical et les thèmes ont été légèrement dirigés par les producteurs. A l’époque, son titre « De l’eau » est son premier single en tant qu’artiste, et il est légèrement creux… Aussi peu de travail d’écriture que le mythique « J’attends l’amour » de Jenifer à sa sortie de la Star’Ac.

     

    Avec son second album sorti en 2006, Elodie Frégé avait entamé son virage musical avec des chansons et un univers qui lui correspondait plus. Effaçant la fille de papier glacé, on y découvre une femme mystérieuse qui interprète très sensuellement les chansons écrites par Benjamin Biolay.

     

    Dans son tout nouvel album « La fille de l’après-midi », la plume d’Elodie Frégé est remarquable.

    La chanteuse assume et défend ses valeurs musicales. Elle refuse catégoriquement de « se conformer aux critères des radios qui font et défont le succès des artistes ».

    Elle fait ce qu’elle aime, ce qui apporte à ses chansons une profondeur touchante. Dans une longue interview sur Ozap, elle avoue avoir fait quelques insomnies pour laisser son âme écrire les textes mis en chanson dans son dernier opus. Elle chante surtout l’amour, léger ou plus sulfureux (Ta désinvolture), mais ne connaît-on pas toutes ces facettes dans nos relations amoureuses ?

    Les médias semblent la boycotter, alors qu’elle est unique dans le paysage musical français.

    J’aime, j’aime, j’aime et peut-être qu’en vous écoutant son dernier album, elle vous touchera vous aussi… En attendant, voici son dernier clip : « La fille de l’après-midi »

     

     

    Elodie Frégé : "Je ne suis pas là pour prendre les gens pour des cons" Publié par Charles Decant -ozap.com

     

    Mercredi 20 Octobre 2010 | I l y a quinze jours, Elodie Frégé dévoilait "La Fille de l'après-midi", son troisième opus. La gagnante de la troisième saison de Star Academy, qui s'est clairement détachée de son image de chanteuse de télé-réalité, confirme la direction prise sur son précédent opus, "Le Jeu des 7 Erreurs", composé avec Benjamin Biolay, et propose un album complexe, intrigant et résolument personnel, qu'elle a quasiment entièrement écrit et composé.

     

    A l'occasion de la promotion de l'album, Elodie Frégé a accordé un long entretien à Ozap.

     

    Elle évoque ce nouvel opus, bien sûr, les risques qu'elle pren

    d face à une industrie où tout est de plus en plus formaté, mais aussi son désir de restaurer un peu la langue française, même si elle comprend le succès de René La Taupe - et avoue même être capable de lui écrire une chanson !

    Enfin, elle revient sur la polémique Sexion d'Assaut, qui l'a personnellement touchée et qu'elle ne comprend pas. Entretien. « Si c'est pré-mâché, on se fait c**** » Parle-moi un peu de ton nouvel album... "La fille de l'après-midi", c'est mon troisième album. J'ai écrit et composé trois quarts du projet toute seule, travaillé les arrangements avec un garçon qui n'est pas très connu - mais qui j'espère sera connu très bientôt - et qui s'appelle Benjamin Tesquet. On a travaillé tous les arrangements ensemble, après on a co-composé deux ou trois morceaux, notamment le prochain single "La Belle et la Bête".

     

     

    C'est un disque beaucoup plus violent que le précédent, il y a une certaine rancoeur, une sensualité aussi. Je trouve que je me suis livrée plus dans ce sens-là et dans l'interprétation. Par contre, c'est vrai que mon écriture est toujours aussi fournie, aussi touffue, on va dire.

    C'est un reproche qu'on t'a déjà fait ?

    Oui, on m'a fait ce reproche, on m'a dit « les gens n'écouteront pas ton disque parce que les gens, actuellement, ne veulent pas travailler. Ils ne veulent pas avoir à se poser des questions, ils veulent du pré-mâché ». Et moi je ne sais pas faire du pré-mâché parce que dans la vie, je suis tellement compliquée que quand j'écris des chansons, ça s'en ressent. Je suis comme ça. C'est un album qui est très inspiré par les films de la Nouvelle Vague, mon idée du romantisme, de l'érotisme chic. Tout est fait de façon à être subtil, mais derrière c'est la vie. C'est très banal ce que je raconte, après j'ai ma façon de le raconter. C'est peut-être bien que ce ne soit pas pré-mâché, si tu racontes des choses banales...

    Bah sinon on se fait c****, quoi ! Non, mais c'est vrai ! « Il faut arrêter de faire du parisianisme à deux balles » Quel regard portes-tu sur la chanson française en général ?

     

    En fait, je suis une bonne cliente des chansons de bonne variété, parce que tout de suite la variété c'est catalogué mauvais, grand public... Il faut arrêter de faire du parisianisme à deux balles ! Moi, je suis snob, je suis hyper snob, franchement il y a peu de choses qui m'intéressent vraiment, mais quand il y a une bonne chanson... Je veux dire, Gainsbourg il a fait de la variété aussi, je peux écouter toutes ces chansons-là qui ont été faites dans une période où la musique était pas aussi contaminée par des virus actuels, comme le téléchargement ou ce genre de choses, ou quand ce sont les radios qui décident de ce qui va marcher ou pas.

     

    C'est plus difficile d'être artiste de variété aujourd'hui ?

    A notre époque, on ne peut plus vraiment profiter de la variété, les artistes sont obligés de décider d'aller dans telle ou telle direction parce que ça va marcher ou pas, surtout s'ils sont un peu sur la sellette. Moi, pour le coup, j'ai eu beaucoup de chance, j'ai vraiment fait ce que j'avais envie de faire, et je ne suis pas sure que ça marche, parce que les gens ne sont plus habitués à écouter des choses aussi différentes. Tout est très calibré, il faut que ça dure 3 minutes, sinon on coupe la fin de ta chanson à la radio, moi je ne peux pas accepter ça. Ca me vaudra certainement des mises à la porte...

     

    Mais ce n'est pas grave ?

    Bah... Je ne veux pas me manquer de respect, je fais les choses avec beaucoup d'intuition, et j'ai eu de la chance jusque-là. Parfois il faut faire des concessions, et je peux les faire si je travaille avec des gens qui partagent avec moi le même goût des mots, du verbe, des sons... Il y a des choses qui fonctionnent et il n'y a rien autour. Pas de projet marketing pour lancer le produit. C'est juste là. Et je suis sure que ça peut encore marcher, on n'y peut rien, l'art c'est comme ça. Il y a des choses qui te touchent, et tu n'y peux rien. Et moi, je suis désolée mais entendre à la radio une énième sous-version d'une énième copie de Lily Allen, sortie en 2006, ça me saoule. « Je ne suis pas là pour prendre les gens pour des cons »

     

    Tu penses proposer quelque chose de différent ?

    En fait, j'ai envie que les gens qui vont écouter mon disque se posent des questions - c'est pas prétentieux, j'ai foi en ça -, j'ai envie de leur laisser la liberté de choisir dans quelle direction ils veulent entendre cette chanson, ce texte, cette phrase... Et pas qu'ils se disent « Ah tiens, ça ressemble à ça... ». Il y a des chansons qui sont écrites très simplement mais qui fonctionnent, comme par exemple... Gainsbourg, "L'eau à la bouche". C'est simplement écrit mais ça parle aux gens. C'est bien écrit. Mais des chansons du genre (elle chantonne) « Oh tu m'as pas envoyé un SMS », ça je ne peux pas ! Déjà, dans la vie, on vit tout ça, alors pourquoi il faudrait tout à coup vulgariser l'écriture française, l'élégance à la française. Jacques Brel il écrivait très simplement, c'était populaire et il parlait aux gens, mais il habitait le truc.

     

    Là, c'est complètement désincarné. Peut-être que, justement, le choix de ces thèmes un peu banals est fait pour que les gens puissent s'identifier... ? Toi, dans ton album, tu mets une distance dès le départ, parce qu'il faut vraiment prêter attention à chaque mot, chaque phrase, ça demande comme tu le disais tout à l'heure de la réflexion...

    Il faut arrêter ce qu'on fait et se consacrer à 100% au disque. C'est vrai qu'il y a un effort à fournir. Mais quand j'écris, c'est un truc tellement égoïste et donc forcément intègre... Ce que je partage avec les gens, c'est qui se passe en moi, une nuit d'insomnie... Je préfère faire ça plutôt que me mettre à penser à ce qui passe en radio en ce moment. Benjamin Biolay c'est aussi quelqu'un qui a une écriture très alambiquée et que les gens ont enfin réussi à comprendre. Brigitte Fontaine, bon elle est moins écoutée, mais c'est aussi très alambiqué, très poétique. Et puis surtout, je ne suis pas là pour prendre les gens pour des cons. Si j'ai envie de faire un truc qui me correspond, je ne vais pas me dire « Ah bah non, je vais écrire comme j'aime pas parce que les gens sont des cons ». Non, pour moi, ce ne sont pas des cons. Ce sont des gens qui, comme moi, ont besoin d'entendre d'autres choses, d'être surpris. Donc il y a une vraie forme de respect là-dedans. « Même mes parents écrivent en langage SMS, ça me déprime »

     

    Est-ce que tu es nostalgique ?

    On retrouve dans l'album cette sensation de distance, de froideur, il évoque cette image de la femme française comme on la voyait avant...

     

    Tu es nostalgique de cette image ?

    Et dans la vie de tous les jours, tu es un peu "à l'ancienne" ? Tu parlais de ne pas chanter "Je t'envoie des SMS"...

     

    Dans la vie, j'envoie beaucoup de SMS, mais je mets un point d'honneur à ne pas écrire en langage SMS. Du coup, j'ai pris un forfait illimité (rires). Je fais des SMS très longs, avec des vrais verbes conjugués... Même mes parents écrivent en langage SMS, ça me déprime. Des fois je ne comprends même pas ce qu'ils disent ! Donc oui, je suis nostalgique des fois... Je préfère envoyer une carte postale plutôt que d'envoyer un SMS, par exemple. Je suis nostalgique d'un rapport au romantisme aussi. Mais je pense que je suis assez libre et ouverte d'esprit, donc je ne suis pas complètement désuette. Je suis rétro, c'est un style de vie, c'est aimer la bonne bouffe française, le bon vin, et puis les choses dites avec élégance et subtilité, même quand c'est pour dire des choses très dures ou très sexuelles.

     

    Le fait que tu vouvoies ton interlocuteur dans deux titres, ça s'inscrit dans cette nostalgie ?

    J'adore vouvoyer, je trouve que ça sonne vachement mieux que "tu". Au niveau de la consonne, c'est "La Javanaise", « j'avoue j'en ai bavé, pas vous... », c'est hyper sensuel, du coup il y a tout de suite quelque chose qui se fait. Il y a un rapport au charme, à la séduction, que j'aime bien dans les films de la Nouvelle Vague. Dans les films de Truffaut ou Godard, ils se vouvoient pendant très longtemps, excepté quand ils sont passés à l'acte, ils passent au tutoiement à ce moment-là, et ils se re-vouvoient ensuite. Moi ça me fait marrer, ça. Alors que "tu", c'est hyper incisif. C'est une proximité et à la fois un ennui. On se connaît bien, voilà. Donc pour toi, le "vous" n'instaure pas forcément la distance...

     

    Mais est-ce que ce n'est pas justement la distance qui crée ce désir que tu évoques ?

    Oui, de toute façon, l'être humain fonctionne comme ça. Fuis-moi, je te suis, suis-moi je te fuis. Exactement. Plus tu mets de la distance, et plus l'autre se sent obligé de sentir une proximité. Maintenant, il y a des blind dates, des machins... Ca me saoule ! Tu ne peux plus rencontrer quelqu'un dans la rue. Quelqu'un qui te parle dans la rue, les gens sont tout de suite effrayés : « mais pourquoi tu m'as pas parlé sur mon Facebook ? ». Ils deviennent complètement dingues ! Pourtant j'adore, je chatte sur mon gmail, mais avec mes potes. Ce sont mes potes. Je les connais, je les vois, je peux les prendre dans mes bras. Mais avoir 6000 personnes qui parlent entre eux sans se connaître... Ca fait partie des choses qui me foutent les boules ! Les gens qui disent j'ai plein d'amis, j'adore les gens... Pour moi ça mérite l'hôpital psychiatrique, ce genre de trucs. Parce que ce ne sont pas des amis ! (Silence) Mais qu'est-ce que j'ai aujourd'hui, j'arrête pas de critiquer tout et n'importe quoi ! (Rires) « S'il ne se passe pas un gros truc, je ne serai pas dans le top 10 »

     

    Tu disais que tu étais consciente que l'album n'allait pas forcément marcher, ou du moins pas tout de suite, et il est entré la semaine dernière dans les charts français en 28ème position avec 2 131 ventes. Qu'est-ce que ça fait ?

     

    Je trouve que 28ème c'est pas si mal pour un album comme ça, et quand je vois qu'au dessus de moi il y a Zazie, Michel Sardou, Raphaël, Katy Perry... que des disques qui ont vraiment marché depuis quelques mois, ou alors des entrées de gros artistes, ça ne me fait pas peur d'être 28ème. Je veux juste essayer de hameçonner un peu plus les gens sur le projet, et peut-être monter un petit peu. Mais je sais très bien que s'il ne se passe pas un gros truc, je ne serai pas dans le top 10. J'en ai envie, évidemment, mais ça voudrait dire qu'il y aurait un grand changement d'esprit chez tout le monde. Je fais de la musique pour en vivre, et parce que ça me passionne, mais je ne veux pas que le fait de pouvoir me payer une paire de Louboutins passe au dessus de mon intégrité artistique. Mais les disques, de toutes façons, ça ne se vend presque plus. Le premier il a dû en vendre 28 000, c'est ça ? Oui, c'est Soprano, 26 000 ventes pour son deuxième album...

     

    Tu vois, les gens ils n'achètent plus les disques... Et après tu as Christophe Maé qui en vend 128 000 en première semaine...

    C'est pas vrai ?! Si, si ! Ouais mais lui il est vraiment popu, il est avec les gens, ses textes sont très simples, les musiques sont ethniques... Je comprends que ça soit plus facile pour quelqu'un comme lui, surtout qu'il a déjà eu un gros succès, moi je n'ai jamais eu un énorme, énorme succès. Mais je ne suis pas déprimée du tout. On fait beaucoup de promo, je fais des interviews, je parle de mon disque... Je ne me sens pas dans un truc parisianniste, et je ne me sens pas non plus dans un truc popu. Je me sens entre les deux parce que j'ai cette ambivalence en moi, et pourquoi on pourrait pas allier les deux ?

     

    Pourquoi il faut toujours que les cases soient définies ?

    Il y a des artistes dits commerciaux qui font des trucs complètement en dehors des cases. Je pense par exemple à Nolwenn, qui prépare un disque de chants celtes ! Ah. Je suis bourguignonne, donc je pense que là je vais vraiment toucher le fond si je fais un disque de chants bourguignons ! (Rires). Je sais qu'elle fait ça, et ça peut être très classe ! « Je pourrais prendre un pseudo et écrire pour René La Taupe »

     

    On parlait des charts albums, mais dans les charts singles, il y a un "artiste" qui a cartonné cet été... René La Taupe.

    Oui, je sais... Qu'est-ce que ça t'inspire ?

    (Rires) J'ai envie d'ouvrir un zoo en fait ! Non mais, en fait, je trouve ça marrant. Je comprends que ça marche. Attends, « Qu'il est beau, qu'il est beau le lavabo » de Lagaf, ça a marché et ça me faisait marrer quand j'étais petite. "Big Bisou" de Carlos, ça me faisait marrer. Je comprends que ça marche. Ce que je ne comprends pas, c'est qu'à côté, il n'y ait pas plus de place aussi pour les choses un peu plus travaillées et typiques. Mais René, c'est du one-shot... Non, il y a un nouveau single, qui s'appelle "Tu parles trop" ! (Rires) C'est pour moi ? (Rires) Mais tu sais, moi j'ai beaucoup d'humour et j'adore inventer des chansons pourries, très faciles et très rigolotes avec des potes. C'est très facile ! Je pourrais prendre un pseudo et écrire pour René La Taupe ! René, si tu m'écoutes... ! « Je ne regrette rien, même pas mon premier album »

     

    Pour parler un peu média, quel regard tu portes sur la fin des émissions de variété et aussi des télé-crochets, à l'exception de X Factor, que M6 va tenter de transposer après une saison sur W9 ?

    Bah ça me donne envie de faire de la cuisine ! (Rires) Mais je trouve ça intéressant, Un dîner presque parfait je regarde parfois. En ce qui concerne les émissions de variété, évidemment je regrette qu'il n'y ait quasiment plus d'émission où on chante en live. Il en reste quelques unes, heureusement, comme Chabada, Taratata ou En acoustique sur TV5 Monde...

    Après, en ce qui concerne les télé-réalités consacrées à la musique, moi ça m'a aidé de faire ça. Je me suis bien cassé la gueule aussi parfois. Mais ça m'a quand même fait comprendre plein de choses, notamment que je pouvais écrire et composer des chansons. J'ai rencontré plein de gens, j'ai signé dans une maison de disques... Il faut savoir tirer son épingle du jeu ! Je ne regrette rien, même pas mon premier album. Je ne le trouve pas terrible parce que ça ne va pas du tout avec le chemin que j'ai pris, et c'est pour ça que je n'ai jamais voulu chanter les chansons sur scène, excepté "Je te dis non" et la chanson que je chante avec Michal. Mais ce n'est pas un regret.

    J'ai appris des choses. Et puis c'est normal d'évoluer. C'est mieux, même. Si tu ne changes pas assez, de toute façon, on te critiquera. Bon, on te critiquera aussi si tu changes trop... Oui, c'est... terrifiant ! Alors qu'aux Etats-Unis, ça ne se passe pas du tout comme ça ! Bon, ouvrez vos esprits, Français, Françaises... (Rires)

     

    Attention, ne critique pas trop les Français, après on va te le reprocher !

    Bon alors non, d'accord... Non mais j'adore les Français, justement, je veux servir le pays ! (Rires) Voilà, je tiens mon titre d'interview, Elodie Frégé : "Je veux servir mon pays" ! (Rires) Oh non ! merde ! J'aurais jamais dû dire ça. Il faut que j'arrête de parler, c'est pas possible ! Non, mais ce n'est pas que j'essaie de servir le pays, mais je veux que la France soit aussi belle que je la vois belle. Je trouve qu'on a un très beau cinéma, même si bien sûr il y a des navets, mais il y a beaucoup de choses très bien faites, de belles personnalités, alors que dans la musique, c'est en train de s'amoindrir.

     

    « Sexion d'Assaut insulte une partie importante de la société » Petite question d'actualité, est-ce que tu as suivi tout ce qui se passe autour du groupe Sexion d'Assaut, le boycott, les dates annulées, tout ça...

    Ouais... Je trouve grave qu'on ne s'en soit pas rendu compte avant en fait. Moi, on me reproche de ne parler que d'amour dans mes chansons, de relations affectives... Mais on ne peut pas reprocher ça, c'est la première chose qui intéresse un être humain : s'il va trouver quelqu'un pour faire sa vie, s'il va dormir près de quelqu'un le soir. Là, c'est grave parce qu'ils insultent une partie importante de la société. J'ai un public assez important chez les homosexuels, la plupart des hommes que je fréquente en tant qu'amis sont homosexuels, donc je sais qu'ils ont été outrés par ça, et je trouve ça hyper violent d'employer ces termes. Moi, jamais je ne pourrais imaginer faire une chanson contre un groupe de personnes qui a choisi de vivre de telle ou telle façon. Je n'ai pas compris pourquoi ces gens avaient employé des termes aussi violents. Est-ce que c'est pour la provoc... ? Ils s'excusent en parlant d'inculture, apparemment ils ne connaissaient pas le sens du mot homophobe...

    Non ?! C'est pas possible, moi j'y crois pas. Si, si, à la suite de l'interview en question, le membre du groupe qui a prononcé ces propos a dit qu'il avait été voir dans le dictionnaire et que ce n'était pas du tout ce qu'il voulait dire. Ah mais bien sûr, il voulait dire qu'il était misanthrope ! (Silence)

    Non mais c'est horrible... Et leur album est classé au dessus du tien... Eh bah bravo, vive la France !

     

    _________________ l'album est actuellement dans les bacs Revenir en haut Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message

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  • http://lewebpedagogique.com/borchardta/files/2008/06/revolution-delacroix1.gif
     

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  • http://www.premiere.fr/var/premiere/storage/images/cinema/photos-film/photos-acteur/benvenuti-al-sud/node_2415859/35669541-1-fre-FR/image_diaporama.jpg

     


    Bienvenue chez les Ch'tis : le remake italien, Benvenuti al Sud

     


     


     

    e # Réalisé par : Luca Miniero

     

    # Avec : Claudio BISIO , Angela FINOCCHIARO , Nando PAONE ... 

     

    # Durée : 1h44min

     

    # Pays de production : Italy

     

    # Titre original : Benvenuti al sud

    # Distributeur : Pathé Distribution

    # Synopsis :

     

    Alberto, directeur d’une agence de la Poste dans une petite commune de la province de Brianza en Lombardie, est prêt à tout, sous la pression de sa femme Silvia, pour obtenir une mutation à Milan. Même à faire semblant d’être handicapé pour passer devant tout le monde. Mais le subterfuge ne fonctionne pas, et pour le punir on le mute dans un petit village de Campanie, dans la région de Naples, ce qui pour un habitant du nord de l’Italie est un vrai cauchemar. Bourré de préjugés, Alberto part seul vers cette région qu’il se représente infestée de mafieux, d’ordures dans les rues et de “bouseux” fainéants. A sa grande surprise, il découvrira au contraire un endroit plein de charme, des collègues attachants, une population accueillante. Il se fera même un grand ami en la personne de Mattia, le facteur, à qui il donnera un coup de main pour reconquérir le coeur de la belle Maria. Mais il se retrouve face à un nouveau problème : comment le dire à Silvia ?.

     

    Voilà qui ne me parait pas mal du tout pour passer un bon moment !

    Avec en prime un reportage sur l'Italie

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    2 commentaires
  • Jeudi 17 juin, 168e jour de l'année

      http://nsm02.casimages.com/img/2009/08/26//090826111736412604326739.gif

    e Le saint du jour: St Hervé (Né aveugle, Hervé se fit ermite avant de devenir abbé à Plouvien en Bretagne. Il mourut en 568)

     

    Le prénom du jour:

    Hervé Les Hervé sont des hommes courageux qui, toujours confiants en leur bonne étoile, avancent avec détermination. Evidemment, ils sont têtus; leur force de caractère est reconnue de tous et ils mobilisent facilement les troupes autour d'eux. En retour, l'amitié qu'ils offrent est sans faille.

     

    Demain: Léonce

     

    Le dicton météorologique du jour:

    "Juin froid et pluvieux, Tout l'an sera grincheux"

     

    Le proverbe du jour:

    "Le contentement fait les pauvres riches, et réciproquement" (proverbe américain)

     

    La citation du jour:

    "A quoi sert la vie si les enfants n'en font pas plus que leurs pères? (Gustave Courbet)

     

    Une idée de menu:

    Entrée: Salade de tomates Plat principal: Sardines grillées Dessert: PALAIS A LA PISTACHE ET AU SORBET POIRE

    La recette du jour: PALAIS A LA PISTACHE ET AU SORBET POIRE

    Préparation: 20mn

    Cuisson: 35mn

    Ingrédients pour 6 personnes: 1 litre de sorbet poire, 250g de fraises ou framboises, 100g de pistaches décortiquées non salées, 200g de beurre ramolli, 120g de farine, 4 oeufs, 200g de sucre en poudre + 50g pour la chantilly, 1 c. à café d'extrait de vanille, 20cl de crème liquide entière, sucre glace.

     

    Préparation:

    - A l'aide d'une cuillère à glace, former des boules de sorbet poire.

    - Les réserver sur une plaque au congélateur.

    - Préchauffer le four (th.5).

    - Dans le bol d'un mixeur, mettre les pistaches et 100g de sucre en poudre.

    - Mixer le tout pour obtenir une poudre épaisse.

    - Travailler le beurre mou et le sucre restant au fouet électrique.

    - Lorsque le mélange devient mousseux, ajouter les oeufs entiers et la farine

    . - Incorporer les pistaches et l'extrait de vanille.

    - Verser la préparation dans des petits moules individuels beurrés et faire cuire au four 35 minutes.

    - Retirer du four et laisser refroidir.

    - Dans une jatte bien froide, mettre la crème liquide, la fouetter au fouet électrique pour obtenir une chantilly.

    - Dès que la crème épaissit, ajouter les 50g de sucre.

    - Démouler les gâteaux.

    - Les déposer sur les assiettes de service, ajouter les fraises ou les framboises, les boules de sorbet à la poire, saupoudrer les gâteaux de sucre glace.

    - Servir aussitôt.

      http://img141.imageshack.us/img141/5935/585151987smallzl4.jpg

    SI CE JOUR EST VOTRE ANNIVERSAIRE:

    vous vivrez cette année en père tranquille, ne vous souciant guère des autres, proches ou lointains, soucieux d'abord de votre cadre de vie, de votre travail, de vos loisirs personnels. Vous aurez à surveiller votre santé, par prévention. Côté coeur, vous n'aurez pas d'état d'âme.

     

    LES ENFANTS NES CE JOUR:

    ils seront secrets, par timidité ou fierté, introvertis, n'aimant pas le devant de la scène, mais sérieux et efficaces, ils sauront avoir le pouvoir à des postes clefs, responsables ou conseillers. Ils aimeront l'ordre, le confort, les enfants et une vie sentimentale sans à-coups.

      http://www.bjl-multimedia.fr/real_tv/luce-p1.jpg

    LA NOUVELLE STAR

    C'EST LUCE et j'en suis bien contente car c'est ma préférée depuis le début, mais j'aimais bien FRANCOIS aussi.

    C'était un joli duo de final

     

    http://www.staragora.com/images/flux/default/c/9/9c290e6516623c3b4100a7ee89bed6e14c194e559fab1.jpg

    Ce soir c'est la grande finale de la Nouvelle Star 2010. Luce et François, les deux derniers rescapés, parmi les 30 000 candidats qui se sont présentés aux castings.

    Qui le public choisira-t-il d'élire ce soir, à la suite de Soan ?

    Nous on vote Luce ! La grande finale de la Nouvelle Star 2010, c'est ce soir. C'est avec nostalgie qu'on dira tous bye-bye à Lio, Marco Prince, Philippe Manœuvre et André Manoukian qui ont étés les hôtes d'une excellente, et peut-être dernière saison du télé-crochet de M6.

     

    Après l'élimination surprise de Lussi et Benjamin, les chouchous des jurés, ce sera donc Luce et François qui en découdront ce soir à Baltard, pour tenter de vous convaincre de les élire Nouvelle Star 2010.

    Et les deux finalistes ont des arguments !

     

    François s'est illustré par une montée en intensité (et en talent) au fil des primes, ce qui n'a pas manqué d'épater le jury. Le breton est sans conteste LA surprise de cette finale. Voix rocailleuse et regard de velours, il a excellé sur des reprises comme Time is Running out de Muse ou Born to be Wild , mais butte sur des monuments de la chanson française, comme Amsterdam, de Jaques Brel...

    La polyvalence, c'est plutôt le point fort de Luce, qui est à l'aise autant sur les Mamas and Papas que sur du Dalida. Luce, c'est la couleur, la rondeur, le sucré et excentricité venue du sud. A la rédaction, on la déguste comme un bonbon. Depuis le début de l'aventure, la rouquine scotche tout le monde avec son style, toujours frais, qu'elle maîtrise avec une naïveté touchante et déconcertante à la fois.

    Alors qu'elle s'était inscrite aux sélections suite à un pari, voilà cette fille de viticulteurs grande favorite pour remporter la finale, au nez et à la barbe de ceux qui avaient moqué son look décalé durant les castings.

    Un conte de fées télévisuel qui serait sur le point de se réaliser?

    Même si le talents des deux candidats n'est plus à débattre à ce stade de la compétition, à Staragora, on a pas peur de dire que c'est Luce notre favorite pour ce soir. D'ailleurs nous ne sommes pas les seuls, puisque nos amis les peoples pronostiquent également la victoire de la lutine mutine.

    Espérons toutefois que la poupée montpelliéraine ne soit pas victime du syndrome de la favorite, comme une certaine Camélia Jordana. Qui va gagner la finale selon vous ? Repondez à notre SONDAGE. Pour l'instant, vous êtes 58 % à élire Luce au titre, contre seulement 28% pour François... A vous de soutenir votre candidat ! L'année dernière, la grande finale entre Leïla et Soan avait réuni 3,8 millions de téléspectateurs (16,2% de PDM). Rendez-vous ce soir sur M6 pour une finale inoubliable ! (article Staragora)

     


     
     

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  • LE BRICOLEUR chanson de GEORGES BRASSENS chantée par PATACHOU

     

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    Pendant les rar's moments de pause,

    Où il n' répar' pas quelque chose,

    Il cherch' le coin disponible où L'on peut encor planter un clou (boîte à outils). {2x}

    Le clou qu'il enfonce à la place

    Du clou d'hier, il le remplace- Ra demain par un clou meilleur,

    Le même qu'avant-hier d'ailleurs.

     

    {Refrain:}

    Mon Dieu, quel bonheur !

    Mon Dieu, quel bonheur

    D'avoir un mari qui bricole

    Mon Dieu, quel bonheur !

    Mon Dieu, quel bonheur

    D'avoir un mari bricoleur {Boîte à outils} {2x}

     

    Au cours d'une de mes grossesses,

    Devant lui je pestais sans cesse

    Contre l'incroyable cherté D'une layette de bébé.

     

    {boîte à outils} {2x}

     

    Mais lorsque l'enfant vint au monde,

    J' vis avec une joie profonde

    Qu' mon mari s'était débrouillé

    Pour me le fair' tout habillé.

     

    {Refrain}

     

    A l'heure actuelle, il fabrique

    Un nouveau système électrique,

    Qui va permettre à l'homme, enfin,

    De fair' de l'eau avec du vin.

    {boîte à outils} {2x}

     

    Mais dans ses calculs il se trompe,

    Et quand on veut boire à la pompe,

    Il nous arriv' d'ingurgiter

    Un grand verre d'électricité.

     

    {Refrain}

     

    Comme il redout' que des canailles

    Convoit'nt ses rabots, ses tenailles,

    En se couchant, il les installe

    Au milieu du lit conjugal.

     

    {boîte à outils} {2x}

     

    Et souvent, la nuit, je m'éveille,

    En rêvant aux monts et merveilles

    Qu'annonce un frôlement coquin,

    Mais ce n'est qu'un vilebrequin !

    Mon Dieu, quel malheur,

    Mon Dieu, quel malheur

    D'avoir un mari qui bricole !

    Mon Dieu, quel malheur, Mon Dieu, quel malheur

    D'avoir un mari bricoleur !

     

     

    PATACHOU

     

    , de son vrai nom Henriette Ragon, est une chanteuse française, née le 10 juin 1918, dans le XIIe arrondissement de Paris. Elle grandit dans la capitale et débute comme dactylo puis comme employée d'usine, marchande de chaussures et antiquaire. En 1948, elle prend la direction d'un cabaret-restaurant à Montmartre nommé Patachou, et débute dans la chanson. Ce sont les journalistes parisiens qui la rebaptisent du nom de son cabaret. Brassens débutera dans son cabaret et chantera en duo avec elle le titre Maman, papa.

     

    En effet, elle fut la première à interpréter ses chansons (Le bricoleur, La chasse aux papillons, etc.). Et le soir où elle les chanta pour la première fois, elle proposa à son public de rester à la fin du spectacle afin de découvrir l'auteur de ces chansons. Georges Brassens monta alors sur la scène du cabaret pour la première fois et chanta, entre autres, Le Gorille et P... de toi, que Patachou estimait ne pas pouvoir interpréter elle-même.

    Les premiers disques de Patachou sont pressés, Patachou se produit sur la scène de l'ABC, puis à Bobino, puis en tournée en France et dans le monde entier. Dès 1953, c'est le Palladium à Londres, le Waldorf Astoria et Carnegie Hall à New York, toutes les grandes villes des États-Unis où sa carrière s'étalera sur plus de vingt ans, sans oublier Montréal, le Moyen-Orient et Hong Kong.

    Au début des années 1970, elle parcourt le Japon et la Suède, où son registre parigot gouailleur fait encore et toujours merveille. Dès le début des années 1950, le cinéma et le théâtre font appel à elle, notamment Jean Renoir et Sacha Guitry. Mais c'est à partir des années 1980 que Patachou se fait plus présente sur le grand et aussi le petit écran, avec, entre autres prestations très remarquées, sa terrifiante matriarche en fauteuil roulant dans la série Orages d'été.

    Patachou a animé le restaurant de la Tour Eiffel. Son fils, Pierre Billon, a écrit J’ai oublié de vivre pour Johnny Hallyday. Elle a été promue Officier de la Légion d'honneur le 1er janvier 2009

     

    http://www.ck-adom.fr/cariboost1/crbst_boite-a-outils-bricolage-marseille_5b1_5d.gif

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