Vendredi 11 juin, 162e jour de l'année

 

 La fête du jour: St Barnabé (apôtre et compagnon de Saint Paul, il l'accompagna en Asie Mineure puis s'établit à Chypre où il mourut vers 70 après J.C)

Le prénom du jour:

Barnabé

Les Barnabé sont des hommes tranquilles et courageux. Tenaces, ils avancent à leur rythme mais sans jamais s'arrêter. Ils sont intelligents et volontaires et sont des amis de compagnie très agréable. En amour, ils sont fidèles et protecteurs.

Demain:

Guy

Le dicton météorologique du jour:

"Le jour de la Saint Barnabé est le plus beau jour de l'été"

 

Le proverbe du jour:

"La liberté est un bien qui fait jouir des autres biens" (proverbe français)

 

La citation du jour:

"On appelle cultivé un esprit dans lequel on a semé l'esprit des autres" (Comtesse Diane)

 

Une idée de menu:

Entrée: ENDIVES A LA MOUSSE DE POISSON Plat principal: Omelette à la provençale Dessert: Fromage blanc

La recette du jour:

ENDIVES A LA MOUSSE DE POISSON

Préparation: 25mn Cuisson: 5mn

Ingrédients pour 4 personnes: 4 belles endives, 1 filet de merlan, 4 tranches de pain de mie, 2 gousses d'ail, 2 c. à soupe de mayonnaise, 2 citrons verts, 100g de fromage blanc de campagne, 25cl de lait, 2 c. à soupe de ciboulette, 2 pincée de paprika, sel, poivre.

 

Préparation:

- Faites cuire le poisson à la vapeur pendant 5 minutes.

- Laissez-le refroidir.

- Dans une jatte faites tremper les tranches de pain de mie dans le lait pendant quelques minutes

. - Egouttez-les

. - Mixez le poisson avec les gousses d'ail pelées et le pain de mie.

- Ajoutez le fromage blanc, la mayonnaise, le jus d'un citron et son zeste râpé, la ciboulette ciselée, sel et poivre.

- Mixez encore 3 ou 4 secondes.

- Effeuillez les endives, essuyez chaque feuille et disposez-les sur les assiettes.

- Posez un peu de sauce dans chaque feuille.

- Décorez de zestes de citron et d'un demi-citron.

- Saupoudrez de paprika.

 

SI CE JOUR EST VOTRE ANNIVERSAIRE:

on ne décroche pas tous les ans le gros lot! Si rien d'extraordinaire ne vous attend, au moins vous êtes assuré d'une santé qui se fera oublier, d'un tonus en général bon, de petits plaisirs ajoutés qui en font un grand, et d'une vie sentimentale à votre convenance!

 

LES ENFANTS NES CE JOUR:

optimistes nés, rieurs, confiants, agréables en compagnie, ils seront recherchés et appréciés. Ils auront l'art de se contenter de ce qu'ils ont et tout bonus sera une fête. Ils seront très attachés à leur partenaire, et sauront goûter en famille tous les plaisirs simples.

 

 

 

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LES FETES DE FIN DE FENAISON

 

L'été, la vie paysanne était rythmée par trois travaux :

la fenaison (en juin)

la moisson (entre juillet et aout, selon les régions)  et

le battage des céréales (juste après la moisson).

Une fois l'herbe et le blé récoltés, on scellait la fin de ces dures besognes par des réjouissances collectives.

Elles commencaient aux champs, ou l'on décorait la dernière charrette.

On la couvrait de fleurs et de branchages, et on fabriquait une gerbe deux fois plus grosse que les autres, que l'on enrubannait.

La charette était alors parée pour traverser triomphalement le village.

Le soir venu, le fermier, ses aides, sa famille et le voisinage se rassemblaient autour d'un grand repas festif. On disait alors qu'on fetait la "parcie" Centre ou la "gerbe-baude" (pays d'oc).

 

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http://memoiresdeglux.files.wordpress.com/2007/08/00020-000-000.jpg

 

 

http://jeantosti.com/musee/photos/foins7.JPEG

 

J'ai besoin de repos après ces longues réflexions, je vous avais promis la suite de l'inventeur de l'eau chaude



TOMISLAV PAPAHUT, l'inventeur de l'eau chaude et de bien d'autres choses !!!

 Un article de la désencyclopédie.

 Aller à : Navigation, chercher Tomislav Papahut, en mode beau-gosse Génial inventeur serbo-tchonque, né en 1145. Tomislav Papahut (prononcez Papaout) est à l'origine de nombreuses inventions de la vie de tous les jours, sauf que personne ne le sait...

 LA LEGENDE ?

JE SUISSOUILLÉ L'ange-ver Chuckworm Norris a établi son nid dans le cortex cérébral de l'auteur de cet article. Par conséquent, dÉsencyclopédie garantit que cet article n'est qu'une longue phrase découpée par les points de suspension de l'intelligence de Chuck Norris...... Aidez-le à s'en débarasser même s'il défend être en parfaite santé

 Un soir d’automne 1145, Chuck Norris fut pris d’une folle envie de se soulager les baloches. Il envoya sa purée à près de 3500 kilomètres de là, en Serbo-Tchonquie, au beau milieu d’un champ de concombres. 9 mois plus tard, la fille de l’agriculteur mit au monde un garçon... Ainsi naquit Tomislav Papahut.

  Parmi ses inventions :
Putain de liste !!!
Ami potentiellement Béziersois, cet article concernant sans doute une région fameuse ou une ville formidable comme Béziers a tendance à s'allonger incessamment sous l'influence des Béziersiens et devient une putain de liste qui emmerde ses lecteurs. Aide cette région paumée à gagner plein de touristes Béziersites en raccourcissant ces listes pas drôles, et deviens citoyen d'honneur de Béziers.

 Équeuter ces putains de listes.
 * Le saucisson : C’est tout naturellement que Tomislav Papahut eut l’idée de mettre de la viande de porc dans les propres intestins de l’animal, et de manger tout ça.
 * Les toilettes serbo-tchonques : Par opposition aux toilettes turcs.
 * Les molaires : Avant lui, les gens n’avaient que des incisives.
 * Les caries : Le seul inconvénient de ne pas avoir que des incisives.
 * La framboise : Amateur de mûres, il en avait marre d'avoir toujours une petite graine sur les molaires.
 * Les gonds de portes : Avant, les portes étaient simplement posées sur le sol, et on les faisait pivoter soi-même. * Le chant lyrique : En se coinçant un orteil sous une porte.
 * Les cailloux :
 Pour que les enfants puissent mettre autre chose dans la bouche que leurs crottes de nez.
 * La machine à laquer les canards :
 Encore très utilisée par les restaurants chinois.
 * Les russes : Eh oui !
* Le moustramiston : C’est une sorte de klapoutz à 3 roues, mais sans poils.
 * Les abeilles :
 C’est la seule solution qu’il a trouvé pour inventer le miel.
 * La lampe de chevet : Par contre, comme l'électricité n'existait pas encore, il a fallu plusieurs siècles avant de l'utiliser. Mais avouez qu'il fallait y penser.
 * Les forêts de conifères :
 Les conifères étant plutôt des arbres solitaires, c’est Tomislav Papahut qui a réussi à les convaincre de se regrouper par endroits
. * Le pot :
 Utilisé pour la préparation de la fameuse Poule au pot. Avant cette invention, on mangeait les poules vivantes et avec les plumes (et les dents).
 * La boite de conserve :
Et pourtant, ce n'est que 15 ans plus tard, à l'inventions de l'ouvre-boite par un concurent belge, que ladite boite fut vraiment reconnue comme progrès technoloqique mais le belge s'en attira tout le mérite.
 * La pizza 4 fromages :
 Une invention que Yvons-Jacques Hulez, cuisinier italo-bosniaque c'est accaparé et à modifier. Dans l'idée de Papahut, la pizza 4 fromages était aux fruits de mer.

 * L'eau chaude :
 Et oui, l'info est tombée demain, Tomislav Papahut a inventé l'eau chaude, selon un procédé mystérieux, digne des chefs chocolatiers suisses.
 Il a également inventé la corde en tombant dans un trou (inventé également par lui), il n'eut d'autre solution que tisser une corde avec ses poils de cul.


Je vous jure que c'est vrai Un soir où il était bourré, Tomislav Papahut a également inventé ça :

 canardus papahutensis

  http://desencyclopedie.wikia.com/wiki/Tomislav_Papahut

la marchande de quatre saisons

Pour le casse tete de la semaine je vais vous parler de la marchande quatre saisons que l'on trouvait à Paris au XIX qui faisait partie de ces petits métiers de la rue qui permettaient de survivre !
Il y avait aussi les petites marchandes de fleurs

marchands des quatre-saisons :
 Nom donné à Paris à des marchands ambulants qui vendaient dans les rues, en les transportant sur des voitures à bras, des légumes et des fruits






                    


le vendeuse des quatre saisons - Hubert Jarno

La foire aux cheveux se pratiquait autrefois dans les campagnes les plus pauvres, comme celles de bretagne.
Les jeunes filles ou jeunes femmes cédaient, contre quelques pièces et un morceau d'étoffe, leur chevelure qui était revendue, fort cher, aux perruquiers.

                                    


LE BARBIER
 Gestes et façons de faire.

 Les hommes prenaient soin de se laver la tignasse avant de se rendre chez le barbier.
 Les vagabonds et les gars de la batteuse, quand ils présentaient une allure un peu crasse étaient savonnés plus énergiquement que les habitués.
 Les moustaches étaient. taillées aux ciseaux, les cheveux coupés aux ciseaux et à la tondeuse, la barbe rasée au coupe-choux. Chaque barbier appliquait sa méthode personnelle. [...]

 Le vieil Isambert, un vétéran de la guerre de Crimée, tendait la joue à raser en enfonçant dans la bouche du patient ou un manche de cuillère, ou plus simplement son pouce quand le client n'était pas trop bégueule. Sa femme Joséphine se réservait les "môssieux" qu'un tel procédé de grognard offusquait.

 Avant la Grande Guerre, le rasage d'un homme coûtait quinze sous; une paire de sabots neufs en valait le double, soit un franc et cinquante centimes. L'argent était cher, pas facile à débourser. Plutôt que de lâcher une poignée de monnaie, les bergers préféraient donner un "besson"; en effet, on laissait rarement deux agneaux à une brebis qui avait des jumeaux : on en sacrifiait souvent un, et c'était avec celui-là qu'on réglait le barbier.

 Les soldats en permission ne payaient rien. Au poil ! Certains malicieux conseillaient aux adoles­cents, chagrinés d'être encore imberbes, de se pommader la lèvre supérieure, matin après matin, avec de la fiente de pigeon: c'était un excellent engrais qui faisait pousser la moustache !


LA COIFFEUSE
  Aucun coiffeur n'est signalé à Rostrenen dans les pages du Bottin de l'année 1909. Pourtant, les deux mille habitants de ce chef-lieu de canton des Côtes-du-Nord disposent de neuf boulangers, de six épiciers, de cinq débits de tabac, de deux pharmaciens et même de deux médecins. Mais nécessité fait loi, et la fonction de coiffeur, à défaut d'avoir pignon sur rue, n'en existe pas moins.
 Elle se manifeste simplement les jours de foire et de marché. Ceux-ci ne font pas défaut. Cette petite ville compte en effet 27 jours de foire dans l'année, auxquels s'ajoutent le marché hebdomadaire du mardi et la fête du 15 Août. Autant d'occasions, après les marchandages, les ventes et les achats, de confier sa tête au perruquier, ou plutôt à la perruquière, car il semble bien, d'après les cartes postales, que ce métier soit souvent exercé par des femmes.

 Il arrive aussi que les gargotes et les estaminets fassent office de barbiers et perruquiers. Cette occupation constituait un passe-temps de complément. Peu de paysans utilisent alors eux-mêmes un rasoir mécanique et moins encore le grand rasoir à main, ou « coupe-choux ».

 Les moustaches, considérées comme un signe de virilité, sont nombreuses et demandent, de la part de l'officiant une certaine adresse. Les barbes, en revanche, sont extrêmement rares en milieu rural, où elles ne sont portées que par les notables.
 Les cheveux sont coupés court aux ciseaux et à la tondeuse, haut sur la nuque et derrière

COIFFEUR POUR CHIENS

                                                       

 Il commence toujours par complimenter, admiratif : « belle bête ! ».
 Voilà de quoi séduire le maître du chien qu'il se propose ensuite de tondre. Près du pont Louis-Philippe un tondeur de chiens toilette activement le toutou d'une dame. Ce métier de gagne-misère, c'est souvent un chiffonnier qui le pratique pour arrondir ses fins de mois dans les foires ou sur les quais. On le croise aussi parfois dans la rue, cherchant les clients jusque chez eux.

LA MARCHANDE DE LAIT

La marchande de lait allait chercher le lait dans les fermes le soir et en remplissait les bidons qu'elle conservait  la nuit durant dans des bacs emplis d'eau froide.
Le lendemain matin, à l'aube, elle les attelait à son ane et faisait la tournée des bourgs environnants.
Postée sous les portes cochères ou aux angles des rues, elle criait : "A mon bon lait ! Qui vent du bon lait  ? La laitière, allons vite!"
Les tricheries étaient fréquentes, aussi la police ou le service vétérinaire controlaient-ils régulièrement la lait pour vérifier qu'il n'avait pas été allongé avec de l'eau et un peu de farine, ou encore que la crème n'avait pas été enlevée.