Lundi 15 novembre, 319e jour de l'année

 

Le saint du jour: St Albert le Grand (savant et théologien, mort en 1280)

 

Autrefois: St Léopold (roi d'Autriche de 1095 à 1136, qui eut 18 enfants et fonda de nombreuses abbayes)

Le prénom du jour: Albert

Noms dérivés: Adalbert, Alberta, Aubry, Berto, Berto, Bert.

L'audace intellectuelle des Albert fait parfois mauvais ménage avec leur lucidité naturelle qui les renvoie à l'indécision, voire au désabusement. Par ailleurs, l'énergie leur fait parfois défaut. Pour eux, la réussite est futile, la notoriété est dérisoire. Idéalistes, ils sont souvent la proie des déceptions amoureuses.

Demain: Ste Marguerite

 

Le dicton météorologique du jour:

"A la Saint Léopold, Couvre tes épaules"

 

Le proverbe du jour:

"Le pire orage éclate au moment de la moisson" (proverbe italien)

 

La citation du jour:

"Le coeur n'a pas de rides" (Mme de Sévigné, Lettres)

 

 

 

Une idée de menu:

Entrée: Salade de soja aux crevettes Plat principal: DUO DE BROCHETTES DE VEAU Dessert: Glace vanille/pistache

 

La recette du jour:

DUO DE BROCHETTES DE VEAU

Préparation: 20mn Cuisson: 15mn Ingrédients pour 4 personnes: 400g de sous-noix de veau hachée, 400g de sous-noix de veau, 2 c. à soupe de sauce soja, 2 c. à soupe de sucre en poudre, 50g de graines de sésame, 2 c. à soupe d'huile de sésame, 1 jaune d'oeuf, 12 tomates cerises, 350g de fèves surgelées, sel, poivre.

 

Préparation:

- Dans une jatte, mettre le veau haché, la sauce soja, le jaune d'oeuf et le sucre.

- Bien mélanger le tout.

- Laisser au frais 30 minutes.

- Couper la sous-noix en petits dés, les piquer sur des petites brochettes en bois.

- Les saler et les poivrer.

- Déposer les tomates cerises dans un plat à four, saler, poivrer.

- Faire cure au four 15 minutes (th.6).

- Faire pocher les fèves dans de l'eau bouillante salée 5 minutes.

- Les égoutter et retirer les peaux. Réserver.

- Former des petites boulettes de veau haché, les enrober de graines de sésame puis les piquer sur de petites brochettes.

- Dans une poêle, faire chauffer l'huile de sésame, y faire revenir toutes les brochettes pendant 5 à 6 minutes. - Sortir les tomates du four, ajouter les fèves dans le jus de cuisson, bien mélanger, saler, poivrer.

- Sur les assiettes de service, déposer les brochettes, ajouter les fèves et les tomates.

- Servir aussitôt avec un peu de riz.

 

 

SI CE JOUR EST VOTRE ANNIVERSAIRE:

la vie affective sera le point fort de cette année, également fructueuse pour vos intérêts matériels.

 

LES ENFANTS NES CE JOUR:

doués d'une intelligence assez aiguë, ils trouveront toujours les moyens de satisfaire leurs désirs et leurs ambitions.

 

 

LES PATOUS

 

iDis donc Francoise, tu n'habites pas une région aussi calme qu'elle en a l'air, après les ours, les vaches, maintenant les Patous ........

 

 

 

 

 

C’est l’histoire d’une simple promenade sur une voie communale, qui en quelques secondes vire au cauchemar.

Récit.

Encore tétanisée par la peur, Muriel, 45 ans, habitante de Saint-André veut raconter le drame dont elle a été victime, le 30 octobre dernier. Elle explique pourquoi elle souhaite témoigner : « Pour éviter que cela ne se reproduise, parce que si un enfant avait été à ma place, je suis certaine qu’il aurait été égorgé par ces Patous. Il faut que ça s’arrête, on ne peut pas rester les bras croisés. Nous sommes pourtant dans un pays libre, mais se promener aujourd’hui dans ce secteur est risqué. Pourquoi est-ce que personne ne fait rien ? ».

Évidemment, comme deux autres personnes qui ont été ce jour-là, attaquées par ces mêmes chiens de bergers, elle a déposé plainte à la brigade de gendarmerie d’Argelès. Selon nos informations, ces deux dernières années une dizaine de victimes d’attaques de ces Patous, ont été enregistrées.

« J’étais encerclée » « C’était un samedi à la météo printanière. A 13 h 30, je décide de promener mon chien un Husky de 7 mois. Je me rends au rond-point de la déchetterie (à l’entrée de Saint-André en venant d’Argelès) et emprunte la voie goudronnée qui est en contrebas et en parallèle à la voie rapide 618. Mon chien est tenu en laisse et a un collier étrangleur. Au bout d’un quart d’heure de balade j’aperçois un troupeau de moutons au fond d’un champ et une dame qui surveille. Je n’ai aucune inquiétude, jusqu’à ce qu’un premier Patou se dirige vers moi. J’ai voulu faire demi-tour pour rejoindre ma voiture, mais il était trop tard. J’étais encerclée par trois autres de ses congénères, le plus gros s’est jeté sur mon chien et l’a mordu sur le train arrière. C’était horrible, j’ai voulu le protéger, mais un autre Patou a mordu mon pied, j’ai perdu l’équilibre et je me suis retrouvée à terre. Dès lors, ce fut l’enfer, j’ai été mordue à la lèvre, à l’épaule, au bras à la main. La dame que j’avais aperçue est enfin intervenue, elle me disait de laisser mon chien et de partir ! Enfin, les Patous m’ont lâché, je ne savais plus ou j’étais, puis mon mari est venu me chercher. Direction les urgences, avec notamment 6 points de suture à la joue ! ».

Le chien de Muriel a été sauvé de justesse, mais pour elle le traumatisme est intense : « Je suis oppressée, dès que j’entends un aboiement je panique. Il faut alerter l’opinion, les élus, la justice, je ne suis pas la première et malheureusement, tant qu’un drame ne sera pas survenu, pas la dernière ! ». Deux ans après Le 8 octobre 2008, nous évoquions des faits similaires, à travers le témoignage de Jacqueline Mazingue qui lors d’une promenade devant l’hôtel club des Albères à Argelès s’était elle aussi faite attaqué par des Patous. Elle n’avait dû son salut qu’au courage d’un automobiliste qui avait foncé sur les attaquants en voiture.

Joint hier par téléphone, toujours traumatisée (elle avait été mordue aux jambes et à la tête) elle est à nouveau sous le choc de ces nouvelles attaques : « C’est incroyable, d’autant qu’à l’issue de la procédure que j’ai engagée, il y avait eu deux chiens confisqués par la justice. Par ailleurs, deux ans après mon agression je viens tout juste de toucher 2 300 euros par le fonds de garantie, qui m’ont permis de rembourser les frais médicaux que j’avais engagés. Mais psychologiquement, je reste fragilisée ».

Et lorsque l’on se demande pourquoi la décision du tribunal de Céret rendue en 2008 n’a pas été exécutée, on apprend par une voie non-officielle que « les chiens d’aujourd’hui ne sont pas ceux d’hier » et que « pour mettre en pratique cette décision, il faut en donner les moyens sur ordre du Parquet ». Véronique Parayre

 

POURQUOI LES PATOUS ATTAQUENT ILS ?

 

  Pour avoir la réponse, nous avons demandé à l'Argelésien André Marti, berger du côté du Tech qui possède lui aussi des chiens des Pyrénées: «Ce sont des gardiens de troupeau, initialement dressés pour protéger les bêtes des ours, loups et autres chiens errants. Les quatre patous qui m'appartiennent ne sont pas agressifs avec les gens, en revanche dès qu'ils voient un autre chien ils vont agir d'instinct, car la présence d'un autre chien est intrusive. Personnellement, je suis très vigilant et ils m'obéissent. C'est rare, mais il arrive aussi que certaines personnes soient provocatrices, dès lors il faut gérer au mieux le problème!».

Mais alors, comment faire cohabiter les éleveurs avec les promeneurs, autour de zones foncières de plus en plus rares?

Pour André Marti, une alternative pourrait entrer rapidement en application: «Lorsque les chasseurs effectuent une battue dans les Albères, il y a des panneaux de signalisation. Forcément les promeneurs sont informés et ne vont pas dans ce secteur. En ce qui me concerne, je vais mettre des panneaux indiquant la zone pastorale sur laquelle se trouvent mes brebis, ce qui induit qu'il y a des chiens de troupeau. J'espère que cela va dissuader les propriétaires de chiens à venir se balader dans ce secteur, selon un temps défini». Recueilli par V. Parayre

http://www.lindependant.com/articles/2010-11-14/attaques-de-chiens-a-taxo-st-andre-et-palau-psychose-des-promeneurs-283286.php

 

PATOU QUI ES TU ?

Ou chien de montagnes des Pyrénées.

"Les premiers documents le concernant datent du XVll siècle. Il gardait les châteaux des hautes vallées de L’Ariège et de la Garonne où il est resté longtemps confiné. Puis pendant que le Berger des Pyrénées était chargé de rassembler les moutons, le Patou protégeait le berger et son troupeau contre les loups et les ours.

On lui mettait un collier en fer articulé avec des pointes à l’extérieur pour éviter que les loups ne l’égorgent. Aujourd’hui encore nous l’utilisons pour protéger les troupeaux. En bas à l’entrée des sentiers nous apercevons souvent un panneau comme celui ci pour nous indiquer sa présence ainsi que celle du troupeau.

Panneau pour Patou Il signale également de ne pas s’approcher trop près du troupeau. C’est normal étant donné que le Patou est là pour le protéger, il le considère comme sa propre famille. Et chaque personne, animal… qui veut s’approcher est alors considéré comme un intrus.

 

Donc, oui il y a des accidents, des morsures mais ce n’est pas la faute du chien, lui il fait simplement son travail, ce qu’on lui a toujours apprit. C’est à l’homme de respecter cela, il est prévenu par les panneaux, par les médiats et souvent il y a même quelques phrases dans les topos d’escalades, de vélo ou de randonnées pedestres. Beaucoup de gens pensent que ce sont des criminels, des tueurs mais c’est entièrement faux.

Avec Rogier, nous les avons rencontrés lors de notre petit week end dans le Queyras. Nous étions à une vingtaine ou une trentaine de mètres du troupeau. Nous venions tout juste de trouver où nous allions dormir. Rogier était en traint de prendre des photos quand j’ai vu arrivé tout droit sur moi ce mastodon d’environ 70Kg, je me suis alors dis “oh mais c’est un Patou, attention”. Et puis plus il se rapprochait et plus je me disais “ouah il n’a pas l’air si méchant que ça”. Et puis non, il venait juste voir qui nous étions et puis se faire câliner au passage"............

Il était très doux et levée une patte sur nous à chaque fois que nous arrêtions de le caresser. Puis il en vint encore deux autres, tous aussi méchants les uns que les autres, bientôt ils se pousser pour pouvoir profiter le plus possible de nos caresses.

Un autre (un jeune) nous observé de loin sans osé s’approcher.  Si vous gardez vos distances tout se passe bien, bien sûr ils viennent vous voir, par curiosité et puis pour voir si le troupeau ne risque rien. Mais ils ne sont pas méchant du moment où vous n’empiètez pas sur leur territoir.

http://www.sandraprat.com/?p=88

 

en faisant mes recherches je suis tombée sur ce blog si vous voulez plus de renseignements

http://docroger.over-blog.com/20-categorie-10159777.html