• LES PRINCIPAUX PERSONNAGES DE LA CRECHE PROVENCALE

     

               

    Les principaux personnages de la crèche provençale

    Farandole des santons, fresque de David Dellepiane

    Jean-Louis Lagnel a eu l’idée de construire les moules en prenant comme modèles ses propres voisins qui exerçaient différents métiers :

    ainsi les santons sont traditionnellement vêtus dans la mode populaire sous Louis-Philippe. Il est à remarquer que chaque personnage a son histoire personnelle, qu’on peut conna treen assistant à une des nombreuses « Pastorales » représentées sur scène un peu partout en Provence à l’époque de Noël. Dans la crèche provençale, il y a différents groupes de santons qui complètent les personnages habituels de la crèche classique. Ils se divisent en quatre catégories.

    Les santons placés dans l'étable, ceux qui apportent des cadeaux, ceux qui figurent les différents métiers de Provence ; viennent ensuite les animaux et les accessoires nécessaires pour figurer un village provençal typique (étable, maisons, puits, rivière, pont, moulin, église, etc.).

    Outre l’Enfant Jèsu ou lou tant bèu pichot (l’enfant Jésus ou le si bel enfant), Sant Jousè (saint Joseph), la Santo Vierge (la Vierge Marie), lou biou (le bœuf), l’ase (l’âne), li pastre (les bergers, les pâtres) et l'ange Boufarèu, apparaissent lou viei et la vièio (le vieux et la vieille), lou ravi (le ravi), Pistachié, lou tambourinaire (le tambourinaire).

    Ont été ajoutés aussi des santons qui représentent des petits métiers :

    lou pescadou (le pêcheur), la peissouniero (la poissonnière), lou pourtarié d’aigo (le porteur d'eau), lou bouscatié (le bucheron), la jardiniero (la jardinière), la masièro (la fermière avec les produits de la ferme), lou móunié (le meunier, avec son sac de farine), lou boulangié (le boulanger), lou banastaire (le vannier), l’estamaire (le rétameur), l’amoulaire (le rémouleur) et la bugadiero (la lavandière), le chasseur et le ramoneur.

    Apparaissent aussi le curé, le moine et lou Conse (le Maire) qui se mêlent avec l'Arlésienne, l'aveugle et son fils, le boumian et la boumiane (les Bohémiens).

    Jardinier, Porteur de bois, Meunier, Pêcheur,

     

    Les animaux

    L’âne et le bœuf sont incontournables dans la crèche provençale. Dans l'étable, ils regardent le nouveau-né et le réchauffent de leur souffle. Les moutons sont également essentiels. En nombre, ils représentent le troupeau des bergers qui viennent à la crèche offrir un agneau.

    Jean-Paul Clébert rappelle que cette cérémonie de l'offrande de l'agneau est toujours vivante lors de certaines messes de minuit en Provence, en particulier à Séguret et aux Baux. C'est le pastrage, un rite qui date du XVIe siècle. Jugé empreint de paganisme, il fut interdit par le concile de Narbonne, en 1609, puis par l'archevêque d'Arles, en 1612. Mais la tradition fut plus forte et résista aux menaces d'excommunication1.

    Parallèlement à ces animaux traditionnels, la crèche provençale s'ouvre aussi à d'autres animaux : le chien du berger ou du chasseur, les poules et coqs de la basse-cour, l'âne qui porte la farine du meunier, etc..

    L’ange Boufarèu

    L’ange est le messager de la naissance de l'enfant Jésus. Le plus célèbre est l'ange Boufarèu, celui qui souffle, il tient une trompette et guide les bergers vers la crèche.

    En général, il est suspendu au-dessus de l'étable où est couché le nouveau-né. C'est un des personnages de la Pastorale d’Yvan Audouard. Chez Antoine Maurel, c'est l'archange Gabriel qui proclame la naissance aux pâtres.

     

    Les bergers

    Berger et son troupeau Les bergers, personnages bibliques puisqu'ils sont décrits dans la Bible, sont avertis par les anges et arrivent les premiers sur les lieux de la Nativité. La représentation qui en est faite est imprégnée de l'image populaire, soulignant que la crèche provençale est avant tout une pastorale. Au sens propre et au sens figuré puisqu'ils sont chargés de répandre la Nouvelle.

    Chez Antoine Maurel, ils sont onze : Barthélémy, Honoré, Jacques, Nicolas, Mathieu, Robin, Chiquet, Floret, Tistet, Maximin et Augustin, soit en provençal : Bartoumièu, Nourat, Jaque, Micoulau, Matièu, Roubin, Chiquet, Flouret, Tistet, Meissemin et Goustin.

    Yvan Audouard se contente d'un seul berger avec son chien. Il est enveloppé dans sa grande cape qui le protège de la pluie et du mistral. Suspendues à son épaule, une gourde et une musette. Il brandit un bâton qui lui sert à réunir son troupeau et à le protéger des dangers.

    Ils sont représentés de multiples façons, jeunes ou vieux, appuyés sur un bâton, debout ou à genoux devant l'enfant, un agneau parfois dans les bras ou sur les épaules.

     

    L’aveugle et son fils

    L’aveugle et son fils sont issus de la Pastorale Maurel, où ils sont nommés l’avugle e soun fieu. Le fils aîné de la famille, Chicoulet, a été enlevé et son père a tellement pleuré de chagrin qu'il est devenu aveugle. C'est pourquoi, appuyé sur son jeune fils, Simoun, il s'en va à la la crèche pour implorer l'enfant de l'aider à retrouver son aîné.

    Toujours représenté s’appuyant sur l’épaule de son jeune fils, Simon (Simoun) ou Capus, l’aveugle est muni de sa canne. Homme d’un certain âge, sa barbe et ses cheveux sont gris. Son cadet le guide et tient son chapeau à la main en signe de respect pour son père.

     

    Le boumian et la boumiane

    Ce sont les bohémiens, les nomades de la crèche. Le dénomination de boumian, courante en provençal, viendrait du fait qu'un comte de Provence aurait obligé les tziganes à vivre à la Sainte-Baume. Ces habitants de la baume (grotte) en gardèrent le nom.

    Le boumian est toujours revêtu de vêtements aux couleurs criardes, d'une grande cape noire, un foulard rouge sur sa tête, affublé de cheveux longs et noirs ainsi que d'une barbe. Un grand couteau est accroché à sa ceinture. On le dit guérisseur et savant. La boumiane, un fichu noué sur la tête, porte un tambourin à la main et son enfant sur sa hanche. Sa jupe est longue et noire, son corsage coloré. Jeteuse de sort, elle lit les lignes de la main et dit la bonne aventure. Ces deux personnages font peur car leurs savoirs dérangent et fascinent. Ce sont les seuls méchants de la crèche, accusés de voler draps et poules ou de de kidnapper les enfants. Lors de leur venue à la crèche, le couple rend à l'aveugle un de ses fils, Chicoulet, qu'il lui avait dérobé. Du coup, ce ne sont pas un mais trois miracles qui vont se produire. L'aveugle retrouve la vue, il reconnaît son fils aîné qui lui tombe dans les bras. Et le boumian renonce à ses méfaits en promettant de mener une vie honnête.

     

    Lou Pistachié

    Le Pistachié est un valet de ferme. Il est incontournable dans la crèche provençale depuis les Pastorales Maurel, Audibert et d'Yvan Audouard. Chacun lui donne une personnalité un peu différente mais tous s'accordent à le décrire comme un pistachié coureur de jupon. Le pistachier, arbuste de la garrigue provençale, donne des fruits qui passent pour être aphrodisiaques. Ce qui justifierait ce surnom. Antoine Maurel en a fait un poltron et un ivrogne, mâtiné de gros parleur et de grand fainéant. Assez naïf et un peu niais, il accepte de vendre son ombre au Boumian. Audibert le prénomme Bartoumieu. Il apporte à la crèche deux paniers plein de victuailles. Le premier déborde de morue salée et de saucisses, le second est empli de fougasses et de pompes à l'huile.

    Il est à noter que Marcel Carbonel en a fait deux santons différents Yvan Audouard l'a marié à Honorine, la poissonnière. Dans cette pastorale, il est aussi grand chasseur devant l'Éternel que maladroit. Mais miracle, lors de la Nativité, il va tuer pour la première fois de sa vie un lièvre en allant à la crèche. La façon de représenter ce santon est diverse. Une des plus courantes est de le voir affublé d'une tenue négligée, portant chemise et pantalon retenu par une seule bretelle. Il porte alors une lanterne sourde et un sceau1 , dans ce cas on l'appelle souvent Jijé ou Tistet et c'est alors le second valet de ferme dans la pastorale Maurel . Le boumian et la boumiane Pistachié et Honorine

     

    Le ravi

    Le ravi Le Ravi, appelé lou ravi en provençal, est un personnage essentiel de la crèche. C'est l'idiot du village ( ou mieux, l'étonné , le simple de coeur ) et il porte bonheur. Le pauvre innocent n'a rien à offrir, mais se réjouit de cette naissance. Il est toujours représenté les bras levés au ciel en signe de surprise et d'allégresse17. Dans le village, il s'occupe de menus travaux (à l'intérieur du mas ou dans les champs), c'est un personnage des plus modestes qui vit d'habitude dans la crèche où a eu lieu la naissance. Il est habillé simplement, un bonnet sur la tête. On lui associe parfois la ravido (la femme ravie) et l'étonné (valet que l'on représente penché à la fenêtre du mas) dans le même état de ravissement. Ce personnage fruste « est un incroyant qui s'étonne que des croyants veillent parce qu'ils croient qu'un Sauveur vient de naître cette nuit-là. Lui, a les pieds sur terre, il n'a d'attention que pour ce qui est terrestre : le boire, le manger, les plaisirs mais aussi la laideur, les guerres, le quotidien qu'il faut gagner à la sueur de son front ». Mais son ravissement à la vue de la naissance de Jésus en fait un homme nouveau et différent, il ouvre son cœur, et découvre le chemin du bonheur dans la simplicité. Il est à l'origine de l'expression sembler le ravi de la crèche, qui désigne quelqu'un ayant l'air heureux, ou d'un optimisme béat.

     

    Le maire

    Le maire est nommé lou conse en provençal. Premier magistrat de sa commune, il a revêtu ses plus beaux habits pour se rendre à la crèche et arbore son écharpe tricolore. Il est coiffé d’un haut-de-forme et porte un parapluie à la main. Une montre en or pend de la poche de son veston. Dans les Pastorales, il est prénommé Mathieu et officialise la naissance en inscrivant Jésus à l’état civil de son village.

     

    Le curé

    D’une bonhomie naturelle, souvent bedonnant et chauve, il apparaît comme complètement perturbé par cette Nativité. Les joues rouges, les mains potelées, il s'éponge le plus souvent son crâne chauve tout impressionné de « rencontrer son patron ».

     

    Le moine

    C'est François d’Assise, avec sa robe de bure, le saint patron des santonniers. C'est lui qui a créé en 1223 une des premières crèches vivantes en utilisant des personnages réels, à Greccio, en Italie, dans une grotte de la région où les franciscains avaient établi un ermitage, grâce à un don du seigneur du village. Les personnages étaient joués par les gens du village. Les animaux aussi étaient réels.

    Thomas de Celano, son premier biographe, rapporte que François prêcha, durant la messe de Noël, et qu'on le vit se pencher vers la crèche et prendre un enfant dans ses bras20. À Greccio se trouve toujours un ermitage qui commémore cette première crèche. Elle évolua au fil du temps, puisqu'on plaça parfois un véritable nouveau-né dans la mangeoire. Cette reconstitution se répandit sous l'influence des franciscains, surtout en Provence et en Italie.

    Les crèches primitives firent leur apparition dans les églises au XVIe siècle. Ce furent les Jésuites qui, les premiers, utilisèrent la crèche miniature. Cette représentation d'un moine dans la crèche peut aussi rendre hommage à un capucin qui vivait au couvent de Marseille. Ce disciple de François d'Assise avait un véritable talent de sculpteur. Il reproduisit les personnages de la crèche sculptés sur bois dans son couvent. Son idée étant de distribuer aux pauvres ces petits sujets, il les réalisa avec de la mie de pain et les parfuma de quelques grains d'anis. Son succès auprès des gens de son quartier fut immédiat. Il recommanda toutefois à ses ouailles de ne pas manger les petits personnages de la crèche avant le 25 décembre. Son interdiction ne fut, sans doute, pas respectée puisque son père supérieur dut intervenir pour faire cesser cette distribution. Désormais le jeune capucin ne s'occupa plus que des sujets en bois de la crèche de son couvent

     

      Le tambourinaïre, surnommé Guillaume, est représenté avec son tambourin et son galoubet. Par tradition, c'est lui qui mène la farandole. C'est un des sujets majeurs de la crèche provençale à laquelle il est indispensable.

    Le tambourinaire est un notable, Thérèse Neveu l'appelait " Mestre Tapeno " . Vêtu d'un costume élégant, il porte un chapeau de feutre à larges bords, sous sa veste de velours noir, il a revêtu une chemise blanche nouée au col par un cordon, un gilet brodé, et son pantalon est serré par une taiole, ceinture typique de Provence constituée par une bande de tissu en laine rouge.

    Les farandoleurs forment une longue file qui se déplace en serpentant. Les tours et détours de cette danse, que l'on dit d'origine grecque, figurent un labyrinthe. Si les hommes portent un costume ressemblant à celui du tambourinaïre, les farandoleuses sont soit vêtues en arlésienne soit en provençale ou comtadine avec les différentes nuances vestimentaires qu'apporte le santonnier local.

    L'Arlésienne est très souvent présente dans la crèche en compagnie de son inséparable gardian. Celui-ci est toujours représenté à cheval avec sa cavalière et le couple évoque Vincent et Mireille popularisés par Frédéric Mistral dans sa Mirèio.

    Chaque santonnier se fait un devoir de représenter l'Arlésienne selon ses goûts, jeune ou vieille, mais toujours revêtue de ses plus beaux atours, le costume d'Arles. Celui-ci, porté indifféremment par les femmes de toutes conditions, a traversé la Révolution, tout en continuant à évoluer d'une façon naturelle. D'Arles, il s'est étendu à l'Est par-delà la Crau, jusqu’à la Durance et le golfe de Fos.

     

    Toute son évolution est retracée au Museon Arlaten. Il se distingue d'abord par une coiffe spéciale qui nécessite le port de cheveux longs. En fonction des jours de la semaine et des tâches à accomplir, cette coiffure était retenue sur le sommet de la tête par un ruban, une cravate ou un nœud de dentelles.

     

    Le vieux et la vieille

    Ils s’appellent Grasset et Grassette. Ils sont souvent représentés assis ensemble sur un banc de la place du village ou debout, bras dessus, bras dessous. Toujours représentés avec de riches atours - leurs habits du dimanche - elle est emmitouflée dans son châle richement brodé, lui avec son foulard rouge noué en cravate.

    Traditionnellement Grasset porte un parapluie et Grassette un panier plein de victuailles. D'autres anciens (li vièi) sont représentés dans la crèche :

    « Ils sont au nombre de trois : le couple Jordan-Margarido, bras dessus bras dessous, sans cesse en querelles mutuelles. Représenté lui en jaquette, gilet brodé et lanterne à la main. Margarido est coiffée de dentelle et porte un châle fleuri ainsi un panier d'osier au bras. Tous deux sont escortés de l'ami Roustido, souvent muni d’un grand parapluie rouge, dont la tenue recherchée témoigne de la position sociale d'ancien notaire dans le village. ».

    . Monsieur Jourdan et la Margarido Monsieur Jourdan est un personnage de la Pastorale provençale Maurel et l'époux de Margarido (femme sur l'âne), réputée pour son mauvais caractère. Ils sont les derniers à avoir entendu l'appel des bergers et se dirigent vers l'étable. Margarido arrive sur son âne avec un grand panier chargé de victuailles. Tous les deux sont très élégants. Elle a revêtu ses plus beaux atours, son plus beau châle, sa coiffe avec toutes ses dentelles et lui porte gibus, lavallière, gilet brodé, bas blancs et chaussures à boucles d'argent.

     

    Les rois mages, sont au nombre de trois : Melchior, le roi maure avec son turban sur la tête, Gaspard, originaire des Indes souvent représenté à genoux, et Balthazar, le roi blanc. Richement vêtus, ils apportent chacun une offrande (or, encens et myrrhe) à l'enfant. Venant de très loin, ils sont en général représentés avec un ou plusieurs dromadaire(s) accompagnés d'un chamelier. Les rois mages arrivent traditionnellement devant l'étable le 6 janvier lors de l'Épiphanie. En revenant de la crèche, Balthazar se serait arrêté aux Baux-de-Provence. Les seigneurs des Baux le tenant pour leur ancêtre portaient sur leur blason une étoile d’argent et leur cri de guerre était : « Al azar, Balthazar ! » (« Au hasard, Balthazar ! »)

                                                                         

     

    http://www.santonsmarcelcarbonel.com/

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  • Commentaires

    11
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 16:04

    Vivi, bon courage, je pense à toi ....Ce ne doit pas etre drole tous les jours !

    Mamé F. Bientot les raquettes de sortie !

    Citron bleu, j'ai voté

    Bonne journée à tous, bisous

    10
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 14:35

    j'adore les santons et j'attends avec impatience les eglises qui ouvriront leur porte pour decouvrir la magie des crèches provençales :)


    ce sont de très jolis santons que tu nous présentes là :)


     


    Dis moi, voudrais-tu m'aider ? je participe à un concours organisé par le Conseil Général de l'Aisne.


    Cela consiste à créer un slogan pour valoriser sa region.


    Je l'ai fait et celui-ci a été validé par le Conseil Général.


    Pour avoir des chances de gagner, il faut voter pour moi alors ce serait très gentil si tu pouvais m'aider :)


    Le lien direct est ici : http://aisne.com/-Trouvez-un-slogan-pour-l-Aisne-?id_slogan=968


    mon slogan étant : pas besoin de manteau pour le bas de l'aisne -Anne (cest mon prenom)


    et si tu connais des personnes qui ont un compte FB ou que toi meme tu en as un, tu peux aussi voter pour moi et faire voter tes amis.


    Un grand merci à toi de ton aide :)


    Cordialement


     

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    9
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 13:57

    Bonjour Annie !

    Un billet pleins de beaux personnages .

    (30 cm de neige depuis ce matin une neige lourde )

    Bisous bonne journée  Mamé 

    8
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 13:10

    Coucou  Nanou  je passe vite fait comme tu ses que en se moment je suis bien occupée et bien fatiguée aussi  mais quand on a dit oui a Monsieur le maire  pour le pire et le meilleure donc je fait mo role pour le pire lol .. Ses vrais que en se moment je ne passe pas beaucoup  ..

    Mais quand Mon mari feras sa siette je viendrais lire aux sujet de tes petit personnage car je voie que chacun a sont histoir Merci Nanou  de prendre a tes recherche pour passer de bon moment a lire sur ton blog ..

     

    Gros bisous  bon courage et Bonne aprés midi ..   Bisous

    7
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 11:32

    Bonjour Annie une belle page ,merci pour tes recherches, j'aime beaucoup tout ces santons , une préférence pour le ravi et les petits vieux j'adore

    bonne journée bisous monique

    6
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 10:48

    Coucou Annie,

    Ils sont magnifiques ces personnages. J'ai déjà eu l'occasion de voir chez des amis une véritable crèche provençale, et j'avoue qu'elle étais magnifique.. très différente des crèches traditionnelles.

    Bises et bon jeudi - ZAZA

     

    5
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 10:47

    C'est charmant, j'aime bien les santons ... sur les marchés de Noêl en Alsace (eh oui) il y a aussi des marchands de santons avec "l'accent" !!!

    Bises Annie, pas top le temps ! trop tôt pour le froid !

    il est colère hi hi

    4
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 09:13

    coucou

    il me plait bien,le ravi

    il neige,ici

    bizz

    3
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 08:49

    Un très bel article ,bonne journée bisous

    2
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 08:11

    Hello Mamé Annie

    je vais bientot commencer la mienne .....

    Bisous

    Pat

    1
    Mitou
    Jeudi 21 Novembre 2013 à 07:13

    j'aimerais voir une vraie crèche provençale !!!

    mais en décembre on ne voyage pas !!!

    bon je me contenterai des photos !!

    gros bisous

    MITOU

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