• DEDICACE SERGE GAINSBOURG DE 1963

    Pour le CASSE TETE DE LA SEMAINE, une dédicace de SERGE GAINSBOURG datant de 1963 sur un billet d'ascension de la Tour Eifel

     

    http://pmcdn.priceminister.com/photo/869432006_L.jpg

     

    Et puis j'ai trouvé cette étude graphologique de 'EXPRESS.fr

     

    Sous la plume des graphologues par Gilles Médioni, publié le 23/02/2006 - mis à jour le 17/02/2006 *

     

    I DR Gainsbourg traçait ses lettres comme il vivait: en esthète.

    La feuille de papier cadrée comme une toile, un parti pris chic et dandy - ni barre ni ponctuation - de vraies chorégraphies textuelles... «Serge avait deux écritures, analyse Françoise Hardy. L'une pour les textes destinés à ses interprètes: courte, douce, appliquée. L'autre plus étudiée, très anguleuse, comme il voulait être: tranchant, agressif.»

    C'était non seulement une écriture, mais aussi une attitude, semblable à ses cheveux décoiffés pour passer à la télé ou à sa barbe de trois jours taillée avec une tondeuse Braun étudiée pour. «Je l'ai vu faire exprès des ratures, commente Jean-Claude Vannier. Serge m'avait confié qu'il s'était inventé un nom et une écriture, mais que son vrai caractère pouvait être dévoilé par une étude graphologique.»

    Dans Entre les lignes, entre les signes (RMC Edition, 1986), livre coécrit avec Françoise Hardy, la graphologue Anne-Marie Simond a comparé l'écriture de Gainsbourg à «une forêt dévastée par la tempête». Elle pointe: «On est ici en face d'une véritable composition, tant dans les formes visant à la grandeur, à la majesté, que dans le trait incisif, comme tracé avec un burin de graveur. [...]

    Cela implique un grand orgueil, une conscience exacerbée de sa valeur et de sa différence, une attraction vers quelque chose de grand, de démesuré, d'inaccessible, beaucoup d'insatisfaction, des exigences culpabilisantes pour soi et pour les autres, et aussi une extériorisation de soi spectaculaire permettant de surmonter des contradictions profondes.»

    Au fil des ans, sa signature - simplement Gainsbourg - devint une œuvre d'art. Une marque. Mais, lorsqu'il écrivait à Françoise Hardy, il signait toujours «Guinguin».

     

     

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  • Commentaires

    7
    Dimanche 27 Février 2011 à 16:09
    annieL

    l'analyse graphologique est très interessante aussi

    bonne journée

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    6
    Dimanche 27 Février 2011 à 09:25
    Autographe précieuse de ce chanteur que j'aime bien .
    5
    Vendredi 25 Février 2011 à 20:38
    Gé
    Vraiment très intéressante cette étude graphologique. Et ça doit être un formidable souvenir cet autographe !
    4
    Mardi 22 Février 2011 à 17:25
    Mamé
    Sympa comme choix!
    Bises Mamé
    3
    Lundi 21 Février 2011 à 20:39
    Bonsoir de mer Rouge,
    Grand bonhomme
    2
    Lundi 21 Février 2011 à 18:29
    Merci pour cette illustration du thème!
    1
    Lundi 21 Février 2011 à 18:00
    beau reportage
    j'aime
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