• La nouvelle égérie bretonne, BIGOUD UP, on pourrait presque dire qu'elle est l'arrière petite fille de Bécassine et la petite fille de Mam Goudig. Elle est jolie, sexy, moderne.
                                                          



    Thierry Fagot dit LenOar né à Landerneau en 1967, a d’abord été aux Beaux Arts de Caen avant de se diriger vers les Arts Graphiques et l’Académie Charpentier (Paris). 1994 Après des débuts dans le storyboard de cinéma, il rencontre l’agent artistique Surcouf Production/ Boulogne Billancourt. Ces années sont celles de recherches graphiques qui lui permettent de varier et d’explorer divers styles. Il développe en parallèle des recherches en illustrations (agent Fish Paper/ Boulogne Billancourt), notamment sous le pseudonyme Lenoar.

     2005 Il poursuit l’aventure « storyboard » avec l’agent artistique Carole Lambert / Paris 16 … Et vit désormais en Bretagne. Durant toutes ces années, son travail a servi les budgets Mode (Martin Margiela) l’évènementiel et les campagnes publicitaires (récemment Volvic, Danone, Orange, Aéroport de Paris, Europe 1, Maserati, Nokia, l’Oréal …)

    2006 Il accorde dès lors plus de temps pour ses projets personnels. Mettant à profit l’expérience acquise, il continue d’affiner son sens artistique avec la création purement ludique du personnage « Bigoud’Up » (Diffusé par le Groupe Editor/éditions Jos).

     2009 Désormais de plus en plus libre graphiquement, il consacre l’essentiel de son temps à la peinture. Tout en restant figuratif, Thierry Fagot-LenOar joue avec les « images symboles » puisées et recyclées dans le monde publicitaire (identité visuel, logos etc.…), le cinéma, les journaux, la mode, la BD. Il recompose ses tableaux pr éalablement peints, en les redessinant partiellement à l’aide de papiers qui sont ensuite collés … ou/et en les photographiant afin de retravailler sur ordinateur, morceaux par morceaux le trait et les textures jusqu'à l’obtention du tableau souhaité.

                                  


                          
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  • MAM GOUDIG

    Après Bécassine, MAM GOUDIG est la nouvelle mascotte des bretons.

    La célèbre bigoudène est née sous la plume de jean paul David, ancien créatif publicitaire, il y a une dizaine d'année.

    MAM GOUDIG est une mamie "dans le vent" qui donne un coup de jeune à l'image de Bécassine (bretonne un peu naive),
    Elle porte la culotte dans son ménage et est résolument moderne et attachante.
    "elle se balade en 2 chevaux, elle a un faible pour le vélo et elle va chercher son mari au bistrot"......

    Une multitude de produits dérivés ont été créés (cartes postales, vaisselels, linge de maison, jouet, etc...)

                                                          

                    

                                                                                       



                                    






                   

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  •                                                          CASSE TETE DE LA SEMAINE DE DANA


    LE BINIOU

    LE BINIOU et la Bombarde sont les seuls instruments spécifiquement bretons.

    Le BINIOU est le terme générique en breton pour désigner la cornemuse, instrument à vent à anche double et à poche de réserve d'air. Il est joué par un sonneur (soner ou biniaouer). Traditionnellement, le terme désigne les cornemuses utilisées en Bretagne bretonnante qui ne sont pas les memes que celles utilisées dans d'autres pays pays celtiques;

    HISTORIQUE
    Sous sa forme actuelle, il apparait très tardivement dans l'iconographie et dans les textes.
    Jusqu'au XVII Siècle, il semble que la cornemuse de basse bretagne soit un instrument ressemblant beaucoup à la "Veuze", ou au versions archaiques de la "GAITA" espagnole ou du "WAR PIPE IRLANDAIS;
    Elle est alors utilisée seule ou en couple avec la bombarde, voire en trio avec un tambour

    Au début du XIX Siècle, des talabarderien, dont le plus célèbre est matilin an Dall (qui jouera à Versailles devant Louis Philippe) arrivent à faire "octavier" leur bombarde, rejoignant ainsi la nouvelle tessiture du biniou dont le "levriad" (le tuyau mélodique) se raccorucit vers cette époque ou peut etre dès le milieu du XVIII Siècle, sans qu'on puisse savoir lequel des deux évènements est la cause de l'autre.

    A partir de la Seconde guerre mondiale, les talabarderien prennent l'habitude d'accompagner des cornemuses écossaises. Il leur faut donc respecter la gamme normalisée et très particulière de cet instrument. Les facteurs de bombardes prennent alors l'habitude de les produire en si bémol avec la gamme de la cornemuse écossaise. En raison de la pénurie d'instruments et d'instrumentistes, les facteurs de binious (souvent les memes) stabilisent la gamme du biniou pour que le meme bombarde puisse jouer aussi bien avec un biniou braz qu'un biniou kozh.

    le BINIOU KOZH (biniou ancien) est très ancien en Bretagne. Sa forme et ses dimensions ont changé au cours du temps. Il est apparu dans la région de Quimperlé.un levriad de biniou Lozh et une bombarde

    fACTURE / LE BINIOU KOZH d'aujourd'hui se compose d'un bourdon et d'un levriad (nom breton pour le chalumeau ou hautbois). Il est généralement accordé en si bémol. Le levriad, très court joue sur une octave très aigue, le bourdon étant deux octaves au-dessous. Depuis le renouveau de la musique bretonne, on trouve des binious kozh accordés dans d'autres tonalités (les memes que la bombarde), notamment en sol.

    Le BINIOU BRAS "grande cornemuse écossaise" a été importé d'Ecosse en Bretagne en 1895 par Charles le Goffic à Belle-Isle-en-Terre (près de Guimpamp) .Le biniou bras s'est très vite répandu au lendemain de la seconde guerre mondiale grace à l'eesor des bagadou, ensembles instrumentaux calqués sur les "pipe-bands" écossais. Dans les années 1960, les sonnerus bretons ont pris conscience de l'importance d'une technique rigoureuse et plusieurs d'entre eux sont tout naturellement allés l'apprendre chez leurs "cousins" écossais.

    Le couple bombarde était très utilisé dans les campagnes pour accompagner les festivités, notamment mariages et accompagnait les danses tradtionnelles.

                                                                    

    UN BAGAD signifie "groupe" en breton.
    C'est une formation musicale bretonne inspirée du pipe band écossais. Elle est composée de trois pupitres : bibiou bras (cornemuse écossaise, bombarde et percussion. Selon l'importance du bagad, le pupitre percussion peut ere organisé en un pupitre de percussions traditionnelles (caisses claires, batteries) et un de percussions non traditionnelles.

                                                  

     

                                                              
                                                              

                                                                            

                                         

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  • KEREON (Ile d'Ouessant)

    Dressé en pleine mer au large d'Ouessant, le phare de Kéréon fut édifié à partir de 1097 sur un récif de granit.
    appelé Men Tensel "la pierre hargneuse" en breton.
    Ce qui devait au départ n'etre qu'une simple tourelle devint un phare imposant grace à la générosité d'une riche veuve, Amicie Lebauchy, laquelle fit un don de 585 000 francs en 1910.
    Surnommé "Le Palace", Kéréon se caractérise par un intérieur luxueux : parquets cirés, mosaiques murale, marqueterie débène et d'acajou, lambris en chene de Hongrie.
    Dernier phare de pleine mer à avoir été automatisé (en 2004), Kéréon n'est aujourd'hui plus gardienné mais reste toutefois chauffé.
                        



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  • Tévennec (Ile de Sein)

    Située au large de la pointe du Raz à 3 milles de l'Ile de Sein, cette tour carrée de 11 mètres de haut édifiée entre 1869 et 1874 se dresse sur un rocher dénudé, en pleine mer.
    A l'époque, les gardiens y restaient uN semestre entier, au terme duquel ils regagnaient le continent pour une dizaine de jours.
    Très vite, on affirma que Tévennec était un phare hanté : le premier gardien croyait entendre des voix lui hurlant en breton "Kerz kuit ! Kerz Kuit ! (vA-t-en ! va-t-en ! ").
    Théatre de nombreux drames (un gardien mourut dans les bras de sa femme, un autre tomba sur son couteau ....)
    Tévennec n'est plus habité depuis 1910, date à laquelle on y installa un feu permanent. 

    On comprend qu'il y avait vraiment de quoi devenir fou, surtout les jours de tempete d'hiver ! (voir la video dans u narticle précédent)

                                                                     
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