• Ca c'est la Bretagne !

     

    Ca c'est la Bretagne !

     

     

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    Langage corrompu et inintelligible

    Deux voyageurs bas-bretons, qui ne connaissaient d’autre idiome que celui de leur province, arrivèrent dans une ville où l’on ne parlait que français. Pressés de la faim et de la soif, ils eurent beau crier bara, qui veut dire pain, et gouin, qui veut dire vin, ils ne furent compris de personne, tant qu’ils ne s’avisèrent point d’indiquer par des gestes les objets de leur besoin ; et cette aventure donna, dit-on, naissance au mot baragouin.

     

     

     

     

    Que l’anecdote soit vraie ou fausse, l’étymologie de baragouin n’en est pas moins, suivant Ménage, dans les mots bara et gouin ou guin, qui, dans le bas-breton dérivé du celtique, signifient pain et vin, deux choses dont on apprend d’abord les noms quand on étudie une langue étrangère.

    Dire de quelqu’un qu’il parle baragouin ou qu’il baragouine, c’est faire entendre qu’il ne sait de l’idiome dont il use que les mots de pain et de vin.

     

     

    On trouve cette autre étymologie dans le Chevréana :

    « Baragouin vient de bar, qui signifie dehors, champ, campagne, et de gouin qui signifie gens. Ainsi, parler baragouin, c’est parler comme les gens du dehors et les étrangers. »

     

     

    Une autre version :

    À la page 562 de notre cher dictionnaire, nous retrouvons la définition du verbe baragouiner comme suit : « Dire, exprimer quelque chose de façon incompréhensible :

    Qu’est-ce qu’il baragouine ? ». 

    Breton ou pas breton, ça, on le savait tous. Mais posons un peu le contexte. Nous sommes en 1870, la guerre est finie, les soldats, venus de tous horizons, sont exténués et ne cherchent qu’à effacer les tristes souvenirs de leur mémoire. Parmi eux, beaucoup sont bretons, venus en renfort depuis leurs côtes d’émeraude au parfum iodé. Ils réclament du pain et du vin dans les bars parisiens.

    En Breton, le pain, c’est « bara » et le vin « gwin ». Les Parisiens écarquillent les yeux, se grattent la tête pour tenter de comprendre la langue bizarre dans laquelle ces messieurs s’expriment. Un nouveau verbe est né, 100 % pur beurre.

    Vous avez saisi ou ai-je trop baragouiné ?

     

     

     

     

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    Le jaune breton

     

      le temps est tristounet en ce moment, mais tout ce gris est illuminé par le jaune sous toutes ses formes !

    Tiens en ce moment une bonne averse ! (la photo des jonquilles est de l'année dernière)

                                                       Ciré jaune breton

     

    LE JAUNE BRETON

     

     

     

     

     

    Les ajoncs d'or sur la cote

    L’ajonc d’Europe, arbuste épineux qui pousse naturellement dans les landes ne demande ni soins ni arrosage. Sa magnifique floraison fait merveille au printemps dans vos talus ou rocailles. Grâce à ses épines, il a toute sa place dans une haie défensive.

    Ajonc :

    Or breton, plante emblème de la Bretagne, Ulex L'Or de la Bretagne, l'Or breton : c'est l'ajonc.

    Expression bretonne :

    Une petite expression bretonne, très utilisée, pour qualifier une personne qui n'a pas toute sa tête, un peu niaise ou qui ne sait pas ce qu'elle veut : "etre lann a balann" qui veut dire : entre ajonc et genêt.

     

     

     

     

    "Les ajoncs éclatants, parure du granit,

    – Dorent l’âpre sommet que le couchant allume;

    – Au loin, brillante encor par sa barre d’écume,

    – La mer sans fin commence où la terre finit"

    José Maria de Herédia (soleil couchant)

     

     

     

     

     

     

    Symbolique:

    Il symbolise le renouveau, la promesse d'une nouvelle croissance, le délicat équilibre entre le jour et la nuit.

    Légende:

    Au moyen-age les ajoncs repoussaient les sorcières qui les avaient en horreur car ils représentaient la clarté opposée aux ténèbres. C'est la raison pour laquelle les gens apeurés chassaient ces femmes redoutées en agitant des ajoncs au-dessus de leur tête, et en frappant le sol tout autour de leur maison ou de leur cabane lorsqu'ils vivaient en forêt.

     

    Méditer sous cet arbre:

    Prés des ajoncs on peut méditer efficacement sur le passage de la nuit vers le jour, c'est-à-dire de l'espérance d'une illumination qui doit demeurer quoi qu'il arrive dans le cœur des hommes.

    Dans le langage floral:

    Vertus médicinales: L'ajonc est connu pour ses vertus émollientes et sédatives.

     

     

     

     LE MIMOSA

     

    Le phare de Bénodet

    http://www.bretagne.com/fr/les_photos_de_bretagne/le_phare_de_benodet_au_temps_des_mimosas

     

     

     

     

    Le jaune breton

     

     LA BRODERIE

     

     

     

     

     

     

     

     

    LE JAUNE BRETON

     

    LE JAUNE BRETON

     

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    LETTE DES ROIS BRETONNE

     

     

    http://www.recettes-bretonnes.fr/gateaux-bretons/galette-des-rois-bretonne.html

    Voici une recette de galette des rois originale et facile dénichée sur le site Odelices :

    la galette des rois bretonne, avec un goût très proche du célèbre gâteau breton. Si vous n’êtes pas forcément fan de frangipane, alors cette alternative pourra peut-être vous plaire !

    La fève est obligatoire pour réaliser cette recette

    Ingredients:

    250 g de farine

    125 g de sucre en poudre

    125 g de beurre

    1 oeuf

    1/2 sachet de levure chimique

    5 g de sel

    1 fond de verre d' eau

     

    Instructions :

    Préchauffez votre four à 180°.

    Faites ramollir votre beurre (pensez à le sortir environ 1 h avant de commencer cette recette).

    Dans un saladier, battez votre oeuf, puis ajoutez au fur et à mesure les autres ingrédients.

    Mélangez le tout.

    Versez votre mélange dans un moule et glissez-y une fève.

    Dessinez des petites croix (comme sur la photo) avec une fourchette.

    Versez un peu de lait sur votre galette puis placez-la au four pendant 25 mn.

     

    Sans oublier une petite bolée de cidre breton !

    http://entre-sel-et-mer.eklablog.fr/des-comptines-a-lire-en-mangeant-la-galette-des-rois-a114164946

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    http://chartierjulesmichel.blogspot.fr/2013/12/noel-en-bretagne-dans-la-traditions.html

    Elle était suivie avec assiduité en Bretagne et continue d'ailleurs de l'être car la tradition demeure bien souvent quelle que soit sa croyance religieuse.

    Aller à la messe pour nos ancêtres cela voulait dire faire plusieurs kilomètres à pied, de nuit, par tous les temps sur des chemins boueux... tout en chantant des cantiques de Noël....

    Avant de partir la famille partageait une collation de crêpes et allumait la bûche. En arrivant à l'Eglise illuminée par les cierges, la famille dépose son offrande au pied de la crèche, un gâteau, du beurre, des œufs, un panier d'osier, parfois un peu d'argent.

    Ceux qui restaient pour garder la maison et les animaux étaient chargés de disposer des couronnes de paille dans les champs autour de leurs pommiers pour s'assurer une belle récolte. On ne touchait jamais au gui réputé magique et sacré.

    Le 23 décembre, jour du solstice d'hiver était aussi chez les Celtes le" jour de la pierre brute", le jour où on cueillait rituellement le gui avec une faucille d'or.

                  

    Le Père Noël

    A l'époque où la pratique religieuse était très présente en Bretagne celui dont on espérait plein de bonnes choses était appelé Ar Mabig Jezuz, L'enfant Jésus Aujourd'hui le père Noël en Bretagne s'appelle Tad-kozh an nedeleg soit littéralement "le grand-père Noël"

     

     

    Les cadeaux de Noël.....

    Les plus anciens d'entre nous se souviennent que leurs cadeaux de Noël se limitaient souvent à un sucre d'orge ou un "petit jésus" en sucre ou encore une belle pomme rouge bien brillante, Les bonnes années les parents y ajoutaient une orange.

    Les enfants trouvaient leurs cadeaux dans leurs sabots le matin du 25 décembre, à condition qu'ils soient bien propres. Inutile de vous dire que jamais sabots n'ont été aussi bien astiqués que le 24 décembre au soir !

     

     

    Le réveillon.

    Au retour de la messe la famille réveillonne avec un repas légèrement amélioré.

    Soupe au pain, kig ha farz. On n'oubliait pas les animaux, qui avaient droit à une ration supplémentaire.

     

     

    La bûche de Noël.

    La bûche de Noël est un énorme bois de chêne, de hêtre, ou d’orme, un bois dur à combustion lente. La bûche était aspergée d'eau bénite et de sel avant d'être brûlée. La combustion pouvait durer plusieurs jours mais devait surtout chauffer la veillée de Noël après la messe. Les braises étaient recueillies car elles avaient des vertus médicinales. mais on prétendait aussi qu'elles protégeaient de la foudre, des serpents et qu'elles purifiaient l'eau de pluie. Les invités repartaient parfois chez eux avec un sabot plein de braises. ce qui leur permettait d'allumer le feu à leur retour chez eux....

     

     

    Une nuit magique.

    Les croyances anciennes sont particulièrement nombreuses. Au court de cette nuit de Noël aucun esprit satanique ne peut agir ni aucune sorcière surgir, les korrigans comme l'ankou se sont éloignés. Pendant la messe de minuit les animaux parlent "la langue de l'homme" dans leurs étables.

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://www.noelistique.com/noel-2012/articles-2/noel-bretagne.html

    En Bretagne, les sabots de Noël n'étaient bien souvent garnis que de pommes rouges, appelées "pommes du paradis" ou d'une orange, la "pomme d'orange".

    Bien avant le IVème siècle, date à laquelle l'Eglise institua la fête de Noël, le 25 décembre était fêté par les Celtes qui célébraient Mithra, le dieu solaire.

    La tradition du sapin de Noël a toujours existé en Bretagne, puisque les Celtes le dédiaient au jour de renaissance du soleil et l'appelaient “l'arbre de l'enfantement” !

    Les enfants, les petits « Noëlloux » scandaient de porte en porte le même refrain : « Chantons Noël pour une pomme, pour une poire, pour un petit coup de cidre à boire » et leur chant était récompensé par quelques sous ou par des friandises.

     

    Les bretons, profondément catholiques, n'oublient pas pour autant leurs racines Celtes. Ainsi, avant de partir pour la messe de minuit, ils allumaient la bûche de Noël, une bûche enrubannée et aspergée d'eau bénite et de sel.

      Parmi les légendes, une raconte que Noël est une nuit magique et qu'au moment où sonnent les douze coups de minuit des phénomènes étranges se produisent :

    on entend le son des cloches des villes englouties et on peut voir des menhirs sortirent de terre pour, aller boire l'eau des sources.

    Passés les 12 coups de minuit, ils retournent sagement chez eux.

     

    Parmi certaines coutumes et croyances, il existe une qui raconte que pendant la messe de minuit, au moment de la consécration, une chandelle s'allume partout où un trésor est caché. A la même heure, l'eau des puits et des fontaines se change en vin.

    Autrefois, la veille de Noël, on mettait dans l'âtre une bûche neuve qui devait brûler sans interruption jusqu'au nouvel an, ou jusqu'à la fête des rois. On raconte que le tison de la bûche de Noël préserve de la foudre. On en mettait donc sous les lits pour protéger la maison des colères du ciel.

    Dans la nuit de Noël, on raconte que des mégalithes changent de place. Dans certains endroits, on a vu des menhirs qui vont boire au ruisseau quand les cloches sonnent la messe de minuit. D'autres menhirs sont soulevés par des oiseaux et laissent apparaître un trésor. C'est une nuit de privilèges où aucun esprit malfaisant ne peut surgir, nul maléfice, nulle sorcière ne peut agir .

    Certaines personnes, restées à la maison pendant la messe, disposaient des couronnes de paille dans les champs autour des pommiers pour assurer une belle récolte.

    On ne touchait jamais au gui, réputé magique et sacré !

    En Haute-Bretagne, il y a un marais près d'une fontaine où, d'après la tradition, sont enfouies des cloches qui sonnent toutes seules pour appeler à la messe de minuit le 25 décembre.

    Autrefois, on chantait beaucoup à Noël. Chaque année, dans certains villages de Haute-Bretagne, les rois mages revivaient dans la personne de trois jeunes gens de la commune, qui revêtaient leurs habits de fêtes et les couvraient de rubans pour annoncer la venue du messie, le soir, dans les chaumières.

     

     

     

    UN PEU DE VOCABULAIRE

    Le Père Noël peut s’appeler de différentes manières, traditionelement on disait "Mabig Jezuz" (le petit Jésus).

    Les appellations les plus courantes sont "Tad Kozh ar Pellgent" (Grand père de l’aurore) et "Tad Kozh an Nedeleg" (Grand père de Noël).

    Certains utilisent l’appellation "Tad Nedeleg" qui est une traduction mot à mot de "Père Noël" mais qui n’a jamais été employée par les Bretonnants.

    » Le Réveillon de Noël s’appelle "Ar Fiskoan", mot composé de "Fest" (fête) et de "Koan" repas du soir). »

    La Messe de Minuit se dit "Oferenn ar Pellgent" »

    La buche de Noël, celle qui se met dans l’âtre (an oaled), peut s’appeler de différente manières :

    - An etev Nedeleg - Kef an Nedeleg - Tos an Nedeleg - Skod an Nedeleg

    Source Kevrenn La Rochelle

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