• BONNE SEMAINE

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    . . Lundi 17 octobre, 290e jour de l'année

     

    Le saint du jour: St Baudouin (religieux en Belgique, mort en 1205)

    Demain: St Luc

    Le dicton météorologique du jour:

    "Octobre tout en bruine Annonce hiver et ruine"

     

    Le proverbe du jour:

    "Le plus sage se tait" (sentence française)

     

    La citation du jour:

    "La fraternité n'a pas ici bas de pire ennemi que l'égalité" (Gustave Thibon, Diagnostics)

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    Une idée de menu:

    Entrée: Artichaut vinaigrette Plat principal: PIZZA AUX CHAMPIGNONS DE PARIS Dessert: Gâteau au citron

    La recette du jour: PIZZA AUX CHAMPIGNONS DE PARIS

     

    Préparation: 15mn Cuisson: 15mn

    Ingrédients pour 4 personnes:

     800g de pâte à pizza, 4 c. à soupe d'huile d'olive, 10 c. à soupe de coulis de tomate, 200g de mozzarella, 20 olives noires, 400g de champignons de Paris, origan.

     

    Préparation:

    - Laver les champignons après avoir coupé l'extrémité sableuse, les émincer.

    - Etaler la pâte à pizza, rouler les bords. Etaler dessus le coulis de tomate.

    - Découper de fines tranches de mozzarella, les poser sur le coulis de tomate

    . - Intercaler les champignons émincés.

    - Disposer les olives sur la pizza.

    - Arroser avec l'huile d'olive, puis saupoudrer d'origan.

    - Cuire à four très chaud pendant 15 minutes.

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    SI CE JOUR EST VOTRE ANNIVERSAIRE:

     une année heureuse s'ouvre, avec des joies souvent simples mais bien vécues, aussi bien dans vos réussites personnelles que dans la vie de vos proches. Un intérêt renforcé pour votre hobby principal, un amour stable et une santé solide.

     

    LES ENFANTS NES CE JOUR:

     ils seront sensibles à la notion de solidarité, de fraternité, et seront présents partout où le partage et l'entraide se manifesteront. Combatifs, plus pour les autres que pour eux-mêmes, peu matérialistes, dévoués, sincères et attachés en amour.

     

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    GEORGES BRASSENS

     

    Un site pour feter les 30 ans de la disparition de Georges Brassens

    http://www.chartsinfrance.net/Georges-Brassens/news-76212.html

     

    http://www.ramdam.com/wordpress/wp-content/uploads/2007/06/georges-brassens.jpg

     

     

    Georges Brassens, né à Sète (à l'époque orthographié Cette) dans l'Hérault le 22 octobre 1921 et mort à Saint-Gély-du-Fesc (également dans l'Hérault) le 29 octobre 1981, est un poète et auteur-compositeur-interprète français.

    Il mit en musique et interpréta, en s’accompagnant à la guitare, plus d'une centaine de ses poèmes et ceux d’autres poètes dont Paul Fort. Il enregistra de 1952 à 1976, 14 albums. Il reçut le Grand Prix de poésie de l'Académie française en 1967.

    Il est l’auteur des chansons :

    Les Copains d'abord, Chanson pour l'Auvergnat, Les Amoureux des bancs publics, La Mauvaise Réputation, Je me suis fait tout petit, L’Orage, Dans l’eau de la claire fontaine, Les Trompettes de la renommée, Supplique pour être enterré à la plage de Sète, La Non-demande en mariage, Fernande, Quatre Vingt Quinze Pour Cent et Mourir pour des idées

     

     

      * 1 Biographie

    Georges Brassens est né dans un quartier populaire du port de Cette (le nom de la ville ne sera orthographié Sète qu’en 1928, le chanteur évoquant ce changement d'orthographe dans sa chanson Jeanne Martin). Dans la maison familiale[1] il est entouré de sa mère Elvira[2], de son père Jean-Louis, de sa demi-sœur Simone (née en 1912, du premier mariage de sa mère) et de ses grands-parents paternels, Jules et Marguerite. Sa mère, dont les parents étaient originaires de Marsico Nuovo dans la région de Basilicate en Italie du sud, est une catholique d'une grande dévotion. Veuve de guerre, Elvira épousa Jean-Louis Brassens en 1919. Son père, entrepreneur de maçonnerie, est un homme paisible, généreux, libre-penseur, anticlérical et doté d'une grande indépendance d'esprit. Deux caractères très différents, qu'une chose réunit : le goût de la chanson. D’ailleurs, tout le monde chante à la maison. Sur le phonographe : les disques de Mireille, Jean Nohain, Tino Rossi ou Ray Ventura et ses Collégiens.

     

     

    Les années 1930 :

    Sète[

    ] Selon le souhait de sa mère, Georges commence sa scolarité, à l'âge de quatre ans, dans l’institution catholique des sœurs de Saint-Vincent. Il en sort deux ans après pour entrer à l’école communale, selon le désir de son père. À 12 ans, il entre en sixième au collège]. Georges est loin d’être un élève studieux, ses amis le décrivent comme plutôt rêveur en classe. Mais après l'école, il préfère les jeux, les bagarres, les bains de mer et les vacances. Afin que son carnet de notes soit de meilleure qualité, sa mère lui refuse des cours de musique. Il ignorera donc tout du solfège mais cela ne l’empêche pas de griffonner des chansonnettes sur ses premiers poèmes.

     

    Alphonse Bonnafé

    En 1936, il s'ouvre à la poésie grâce à son professeur de français, Alphonse Bonnafé, alias « le boxeur ». L’adolescent s’enhardit à lui soumettre quelques-uns de ses bouts rimés. Loin de le décourager, l'enseignant lui conseille plus de rigueur et l'intéresse à la technique de versification et à l'approche de la rime. À la poésie et à la chanson populaire s’ajoute sa passion pour les rythmes nouveaux venus d’Amérique qu’il écoute à la TSF : le jazz. En France, Charles Trenet conjugue tout ce qu'il aime. Il sera un modèle. « On était des brutes, on s'est mis à aimer [les] poètes. […] Et puis, grâce à ce prof, je me suis ouvert à quelque chose de grand. Alors, j’ai voulu devenir poète…] »

     

     

    Mauvaise réputation

    Brassens en 1964 avec sa célèbre pipe Son intérêt croissant pour la poésie ne lui ôte pas le goût pour les « 400 coups ». À 16 ans, il s’implique, au printemps 1938, dans une fâcheuse aventure. Dans le but de se faire de l'argent de poche, la bande de copains dont il fait partie commet quelques larcins. Par facilité, les proches en sont les principales victimes. Georges, de son côté, subtilise bague et bracelet de sa sœur. Ces cambriolages répétés mettent la ville en émoi. Lorsque la police arrête enfin les coupables, l’affaire fait scandale. Indulgent, Jean-Louis Brassens ne lui adresse aucun reproche quand il va le chercher au poste de police. Pour saluer l’attitude de son père, il en fera une chanson :

    Les Quatre bacheliers « Mais je sais qu'un enfant perdu […] a de la chance quand il a, sans vergogne, un père de ce tonneau-là ». Par égard pour son père, il ne la chantera qu’après sa mort. « Je crois qu'il m'a donné là une leçon qui m'a aidé à me concevoir moi-même : j'ai alors essayé de conquérir ma propre estime. […] J'ai tenté, avec mes petits moyens, d'égaler mon père. Je dis bien tenté…[6] » Pour sa part, cette mésaventure se solde, en 1939, par une condamnation d'emprisonnement avec sursis. Il ne retournera pas au collège. Il passe l’été en reclus dans la maison (il se laisse pousser la moustache). Le 3 septembre, la guerre contre l'Allemagne est déclarée. Il pourrait devenir maçon auprès de son père mais, peine perdue, il ne se satisfait pas de cette perspective. Il persuade ses parents de le laisser tenter sa chance à Paris et fuir ainsi l’opprobre qui lui colle à la peau.

     

     

    Les années quarante :

    Paris-Basdorf-Paris[modifier] Paris[modifier] En février 1940, Georges est hébergé, comme convenu avec ses parents, chez sa tante Antoinette Dagrosa, dans le XIVe arrondissement[8]. Chez elle, il y a un piano. Il en profitera pour maîtriser l’instrument à l’aide d’une méthode, malgré sa méconnaissance du solfège. Pour ne pas vivre à ses dépens, comme promis, il recherche du travail. Il obtient celui de manœuvre dans un atelier des usines Renault. Cela ne durera pas ; le 3 juin, Paris et sa région sont bombardés et l’usine de Billancourt est touchée. Le 14, l’armée allemande entre dans la capitale. C’est l’exode de la population. Georges retourne dans sa ville natale. L’été passé, certain que son avenir n'est pas là, il revient chez sa tante, dans un Paris occupé par la Wehrmacht. Tout travail profitant maintenant à l'occupant, il n'est plus question d'en rechercher. Georges passe ses journées à la bibliothèque municipale du quartier. Conscient de ses lacunes en matière de poésie, il apprend la versification et lit Villon, Baudelaire, Verlaine, Hugo et tant d’autres. Il acquiert ainsi une grande culture littéraire qui le pousse à écrire ses premiers recueils de poésie

    : Les Couleurs vagues, Des coups d'épée dans l'eau, annonçant le style des chansons à venir et À la venvole[9], où son anarchisme se fait jour. Ce dernier est publié en 1942, grâce à l'argent de ses proches : ses amis, sa tante et même une amie de celle-ci, une couturière nommée Jeanne Le Bonniec, qui apprécie beaucoup ses chansons (elle épousera en juin Marcel Planche, peintre en carrosserie).

     

     

    Basdorf[

    En février 1943, l'Allemagne nazie impose au gouvernement de Vichy la mise en place d’un service du travail obligatoire (STO). Georges, 22 ans, est concerné. Convoqué à la mairie du XIVe arrondissement, il reçoit sa feuille de route. De sévères mesures de représailles sont prévues pour les réfractaires. Le 8 mars, il est en gare de l’Est pour se rendre en Allemagne, vers le camp de travailleurs de Basdorf, près de Berlin. Là-bas, il travaille dans la manufacture de moteurs d’avion BMW. On le voit souvent plongé dans des bouquins ou écrire des chansons, qui divertissent ses compagnons, et la suite d’un roman commencé à Paris, Lalie Kakamou. Des amitiés, auxquelles il restera fidèle tout au long de sa vie, se font jour – notamment avec André Larue, René Iskin et, plus particulièrement, Pierre Onténiente, le bibliothécaire à qui il emprunte régulièrement des livres. En mars 1944, Georges Brassens bénéficie d’une permission de 15 jours[10]. C’est une aubaine à saisir : il ne retournera pas en Allemagne.

     

     

    Jeanne[

    ] Plaque commémorative à l'entrée de l'impasse. À Paris, il lui faut trouver une cachette car il est impossible de passer à travers les filets de la Gestapo en restant chez la tante Antoinette. Jeanne Planche accepte d'héberger ce neveu encombrant. Avec son mari Marcel, elle habite une maison extrêmement modeste au 9, impasse Florimont. Georges s’y réfugie le 21 mars 1944, en attendant la fin de la guerre. On se lave à l’eau froide, il n’y a ni gaz, ni électricité (donc pas de radio), ni le tout-à-l’égout. Dans la petite cour, une vraie ménagerie : chiens, chats, canaris, tortues, buse… et la fameuse cane qu'il célèbrera dans une chanson. Il est loin de se douter qu’il y restera 22 ans. Dans ce cocon — il se lève à cinq heures du matin et se couche avec le soleil (rythme qu'il gardera la majeure partie de sa vie) —, il poursuit l'écriture de son roman et compose des chansons en s’accompagnant d’un vieux banjo.

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  • Commentaires

    2
    Mardi 18 Octobre 2011 à 11:13
    mouneluna
    je me souviens il y a trés longtemps d'un feuilleton radiophonique ou Geaorges Brassens racontait sa vie, j'entends encore sa voix.
    il parlait de ces 20 ans vécu avec Jeanne.

    j'en ai gardé souvenir magique
    bises
    1
    Lundi 17 Octobre 2011 à 16:16
    nicole !
    Bonne semaine chère annie ! bisous !
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