• Après quelques jours d'absence, je suis de retour, merci à vous tous qui etes passés me voir et avez laissé des commentaires

    Nous sommes allés rendre visite à mon père dans un hopital parisien, et quand nous sommes arrivés, on nous a annoncé qu'il avait été transféré dans un autre établissement à 30 Kms de là !!!!

    Nous n'avions pas été prévenus ..... Et pourtant j'ai eu le chef de service au téléphone deux jours avant ..... Sans commentaire !

     

    je reviendrais doucement lire vos blogs

     

    A Bientot

     

    De tour, bonne semaine à tous

     

    De tour, bonne semaine à tous

     

    De tour, bonne semaine à tous

     

    De tour, bonne semaine à tous

     

    De retour, bonne semaine à tous

     

    De retour, bonne semaine à tous

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    Lucky Luke est une série de bande dessinée franco-belge de western humoristique créée par le dessinateur belge Morris dans l'Almanach 1947, un hors-série du journal Spirou publié en 1946.

    Morris est aidé, à partir de la neuvième histoire, par plusieurs scénaristes, dont le plus fameux est René Goscinny.

    Depuis la mort de Morris en 2001, le dessin est assuré par Achdé.

    La série met en scène Lucky Luke, cow-boy solitaire au Far West, connu pour être « L'homme qui tire plus vite que son ombre », accompagné par son cheval Jolly Jumper et la plupart du temps par le chien Rantanplan. Lors de ses aventures, il doit rétablir la justice dans le Far West en pourchassant des bandits dont les plus connus sont les frères Dalton.

    La série est truffée d'éléments humoristiques qui parodient les œuvres de western.

    Elle compte, en 2013, soixante-dix-sept albums parus tout d'abord aux éditions Dupuis, puis Dargaud et enfin Lucky Comics.

     

    Chaque histoire a aussi été pré-publiée dans un journal :

    entre 1946 et 1967 dans Spirou, entre 1967 et 1973 dans le journal Pilote, entre 1974 et 1975 dans Lucky Luke, de 1975 à 1976 dans l'édition française de Tintin, puis la série change de support entre les histoires avec Spirou et Pif Gadget, mais aussi dans des magazines comme Paris Match ou VSD.

    Il s'agit d'une des bandes dessinées les plus connues et les plus vendues en Europe, elle a été traduite dans de nombreuses langues.

    La série a aussi été adaptée sur de nombreux supports, en longs-métrages d'animation et séries animées pour la télévision, en films, jeux vidéo, jouets et jeux de société.

    Le terme « Lucky Luke » est depuis devenu dans les sociétés française et belge synonyme de rapidité.

     

      Synopsis :

    La série met en scène le personnage de Lucky Luke, connu pour être « L'homme qui tire plus vite que son ombre », accompagné de son cheval Jolly Jumper. Il fait régner la loi dans l'Ouest américain et affronte des bandits historiques ou inventés dont les plus connus sont les frères Dalton.

     

     

    http://www.europe1.fr/culture/lucky-luke-70-ans-en-six-chiffres-2890043

    Le célèbre cowboy solitaire escortera cette fois une famille d'émigrés juifs dans le Grand Ouest américain pour "Lucky Luke et la terre promise".

    C'est un nouveau numéro de Lucky Luke qui fait son apparition chez les libraires le 4 novembre prochain pour les 70 ans d'un des plus célèbres personnages de la B.D. franco-belge.

    Malgré la disparition de son créateur Morris en 2001, Lucky Luke continue ses aventures. Cette fois, c'est l'auteur Jul qui s'attache à imaginer de nouvelles péripéties pour le cowboy et son fidèle compagnon Jolly Jumper.

    Dans Lucky Luke et la terre promise, le thème abordé est inédit : celui des l'émigration des Juifs d'Europe de l'Est vers le nouveau continent, révèle Le Point Pop.

    Un choix osé. "Lucky Luke et les Juifs, c'est un thème qui a tout de suite fait bondir tout le monde au plafond", explique Jul au Point Pop. "Mais, dès qu'on y réfléchit, ça apparaît comme une évidence...... Lire la suite sur le lien..........

     

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    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

     

     

     

     

    Coucher de soleil sur le port au mois d'octobre

     

     

     

     

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  •     Juste pour passer  un bon moment ...                                                                                                                           

    AUTOMNE

    Matins frileux

    Le vent se vêt de brume ;

    Le vent retrousse au cou des pigeons bleus

    Les plumes.

    La poule appelle

    Le pépiant fretin de ses poussins

    Sous l’aile.

    Panache au clair et glaive nu

    Les lansquenets des girouettes

    Pirouettent.

    L’air est rugueux et cru ;

    Un chat près du foyer se pelotonne ;

    Et tout à coup, du coin du bois résonne,

    Monotone et discord,

    L’appel tintamarrant des cors

    D’automne.

     

    Émile VERHAEREN (1855-1916)   

                      

                                            

            

     

       

     

                                   

     

                                                                        

     

     

                                                                           

     

     

     

                                                                             

     

                                                                   

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  • LES ENFANTS DE PEN BRON

     J'avais écrit cet article l'année dernière à l'occasion de la toussaint et je le fais remonter car c'est une page d'histoire qu'il ne faut pas oublier.

     

     

     

    Ce sont les moines de l'abbaye Saint-Sauveur de Redon qui exploitèrent en premier lieu les salines de Pen-Bron. La première chaussée pour accéder à l'extrémité de la pointe fut construite entre 1707 et 17233.

    Puis en 1824, un industriel, François Deffès, fonda une conserverie, dans laquelle étaient conditionnées dans des boîtes de fer blanc, des sardines à l’huile d’olive pêchées dans le port de La Turballe.

    Par la suite, le bâtiment situé à l'extrémité sud de la presqu'île, devient un atelier d'équarrissage, puis un magasin de sel, ceci jusqu'en 1882-1883 où il sera désaffecté.

    Quelque temps plus tard, Hippolyte Palu (1833-1921), ancien officier, natif de Troyes, vétéran de la guerre de Crimée, devenu inspecteur des Enfants-Assistés (c'est-à-dire abandonnés) à Niort, dans le Gers, puis à Nantes (dès 1878), découvrit les bienfaits du climat marin de la région sur la santé des jeunes enfants atteints de tuberculose osseuse. C'est l'époque de l'hygiénisme, la médecine lutte contre la tuberculose avec l'hydrothérapie marine et les bains de mer.

    Mû par un idéal humaniste, Hippolyte Palu se saisit de la cause des enfants pauvres et malades et décide de porter son projet pour l'Assistance Publique.

    Avec l'aide d'une communauté de religieuses des sœurs de Saint Vincent de Paul, il fonde le 31 octobre 1887 l'Œuvre Nationale des Hôpitaux Marins, nom donné au sanatorium dans les locaux de l'ancienne usine.

    L'établissement est géré par l’association des œuvres de Pen Bron. Au départ, on réaménage les bâtiments existants et on construit des bâtiments annexes en bois. L'hôpital est reconnu d'utilité publique en 1893 grâce la publication d'un article de Pierre Loti dans Le Figaro.

    Dès lors, les dons affluèrent rapidement, ce qui permit l'acquisition de terrains aux abords de l'ancienne conserverie et la construction de l'essentiel des bâtiments actuels entre 1894 et 1910, sur les plans de l'architecte nantais Georges Lafont, assisté d'André Chauvet.

     

    Le centre n'échappait pas au décès de jeunes enfants venus ici pour guérir mais trop atteints par ce mal qu'est la tuberculose, pour certains d'entre eux la vie les a fui, ici à Pen Bron.
Avant la création de ce cimetière, le transport des corps se faisait en canot pour rejoindre la ville, un parcours laborieux pour pouvoir enterrer ces enfants au Croisic.


    Les formalités devaient se faire à la Turballe C'est en Novembre 1890 qu'il fut pris la décision de créer un cimetière à Pen Bron. Il a été convenu que celui ci soit érigé dans la dune, proche du Centre et les autorisations furent données en 1901.

    http://www.les-enfants-de-pen-bron.fr/article-35253439.html

    un blog qui raconte l'histoire des enfants de Pen Bron

    Photo Wikipedia

    Bernard Clavel auteur de Fleur de Sel écrivit dans la préface de son livre des mots touchants, des mots simples et troublants…

    "A deux ou trois sabotées au nord de Pen Bron, vous découvrirez un jardin d'enfants plus émouvant que tous les crépuscules. C'est un petit enclos entouré de granit et d'une haie de fusains taillés ras et qui sont là pour que le vent ne morde pas directement le sol, pour que ce jardin ne s'ensable pas trop rapidement.

    Un tamaris torturé par le souffle puissant de l'océan marque l'entrée.

    Six marches de pierre descendent à la grille qu'on ne ferme jamais.

    Les enfants qui sont ici ne s'en iront pas, et nul ne viendra les déranger. Au centre de l'enclos, une religieuse de quatre vingt six ans veille sur eux qui dorment en écoutant la grande voix de la mer.

    Chacun a son petit rectangle de sable entouré de planches. Une croix de bois peinte en blanc y est plantée qui porte une date, un âge et un nom. Ils sont là, une centaine. Roger, cinq ans ; Yvette, deux ans ; Simon, dix ans ; Christiane, trois ans; Françoise, six mois ; Denis sept ans ...

    Ils ne sont pas tristes. Ils ont cessé de l'être. Ils ont le sable et le soleil, et cette bonne soeur qui ne les quitte pas. cette bonne soeur qui leur montre sans doute des chemins de lumière, des sentiers sans épines et bordés de fleurs plus lumineuses que celles de l'ajonc doré, plus parfumées que les minuscules points multicolores de cette flore des marais ou viennent butiner quelques abeilles sauvages"

    MORIN Paul & CLAVEL Bernard : Fleur de Sel - les marais salants de la presqu’île guérandaise. (Edition du Chêne, 1975 réédition en 1985)

    Photo Wikipedia - Tombes d'enfants

    Tombe de soeur qui veille sur eux ....

     

    Outre le cimetière des enfants de Pen Bron, La Turballe compte deux cimetières. Le cimetière de Trescalan situé près du Belvedère et le cimetière historique de La Turballe. Celui-ci se divise en 4 parties ; il y a l'ancien cimetière composé de 4 carrés, le nouveau séparé par un mur du premier, le pourtour et l'extension, soit au total près de 1 200 tombes. Dans ce cimetière, sont enterrées les plus anciennes familles de Turballais. Auparavant, jusqu'en 1865, c'était à Guérande que les Turballais étaient inhumés.

     

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