•                                         

     8EME FINALE ( FRANCE - NIGERIA)

                                                           

     

                                                          

     

    Le Mojito fait partie intégrante de la culture Cubaine. C'est un cocktail frais et rafraichissant, à partager entre amis.

    PREPARATION DE LA RECETTE:

    Pour en boire la quintecence, il faut respecter l'ordre de la préparation.

    * Dans un verre de taille moyenne (contenance 40 cl environ), mettez 3 cuillères à café de sucre de canne. * Ajoutez-y le jus d'1/2 citron vert.

    * Coupez en 3 ou 4 votre branche de menthe et mettez-la dans le verre (le fait de la couper permet à la saveur de la menthe de mieux se diffuser).

    * Ajoutez un peu d'eau gazeuse (environ 3 cl) puis avec une cuillère à café, remuez bien le tout et écrasez la menthe (insistez sur les branches plus que sur les feuilles, sinon il y aura pleins de petits bouts de menthe assez désagréables au moment de déguster votre cocktail!).

    * Ajoutez 5 glaçons environ.

    * Ensuite versez 6 cl de rhum (en versant à débit moyen). Pour la dose plutôt chargée, comptez jusqu'à 5; pour la dose légère jusqu'à 4.

    * Enfin, complétez avec de l'eau gazeuse.

    Recette proposée par Laurent Benmayor

    Liste des ingrédients Pour un verre… il faut :

    * 3 cuillères à café de sucre de canne en poudre

    * 1/2 citron vert (j'ajoute le citron coupé en petits morceaux)

    * 1 branche de menthe bien fournie

    * de l'eau gazeuse (Le Perrier est plus adapté que la limonade)

    * du rhum cubain (Habana club blanco ou 3 añejo, ou Bacardi par exemple)

    * des glaçons #

    cependant si vous mettez de la limonade on peut modérer les proportions de sucre

     

    Sur ce site, j'ai trouvé une photo de la pizza vendue au mètre comme nous l'avions mangée en Italie (je crois que c'est un site belge)

     https://www.facebook.com/pages/Pizzeria-da-Baffo-Bianco/552362061464523?hc_location=timeline

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    17 commentaires
  •                                                          

                                                      

     

     le dimanche sera consacré aux slows de l'été, L'époque du quart d'heure américain et des slows dans les boites de nuit de vacances, tout fout le camp ! C'était tellement bien !

    les images sont du film "Pierrot le fou"

     

    http://suite101.fr/article/variete--les-plus-grands-slows-de-lete-de-tous-les-temps-a15019#.U61EL7HIzNg

    http://suite101.fr/article/50-ans-de-slows-de-lete-1960---2010-a9870#.U61FVbHIzNg

     

    j'ai retrouvé ca MONIA été 1969 ca nous rajeunit pas !

    Une autre version Michel Cogoni

     

     

    LA PLAGE AUX ROMANTIQUES - Pascal Danel

     

    ALINE - Christophe

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    16 commentaires

  •  

                                            

     

    http://www.lindependant.fr/2014/06/24/coup-de-force-des-forains,1898373.php

    Une opération escargot a mobilisé, hier, les commerçants qui travaillent sur le domaine public. Mobilisés depuis des mois, les non sédentaires ont rencontré le maire. Bilan mitigé. C'est tous klaxons bloqués que la petite centaine de véhicules a traversé hier après-midi la commune.

    Derrière une banderole "Cidunati métiers de la fête", les manifestants ont mis le cap vers la mairie pour rencontrer le premier magistrat.

    "Nous ne pouvons accepter les tarifs qui nous sont imposés pour travailler, martèle le représentant des forains.

    On nous étrangle et on nous augmente les droits de place sans concertation, c'est inadmissible. Nous sommes sur le domaine public depuis toujours, il n'est pas question que l'on nous rackette ainsi. Nous étions là avant le maire, nous serons là après, nous nous installerons quoi qu'il arrive". .... A SUIVRE SUR LE LIEN

    VOIR AUSSI:

    http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/2014/06/23/le-barcares-les-commercants-protestent-contre-le-cout-excessif-des-emplacements-504797.html

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

    Après les cerises, les abricots maintenant les peches du Roussillon

    LE MARCHE EN COLERE

     

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

     Chaussures Ria SL est une entreprise familiale composée de la famille Truyol Ferreries, Minorque. La famille a commencé Truyol dans le monde de la chaussure par Bartolomé Truyol en 1947, la création de son usine de chaussures première fois en 1955.

    Barthélemy a commencé à fabriquer des chaussures pour hommes, puis allez faire des pantoufles, une baisse de la production typique Avarca Menorquina, qui est la chaussure traditionnelle de Minorque, qui était autrefois limitée au domaine de Minorque.

    Dans Chaussures Ria, SL. a pris plus d'un demi-siècle, la fabrication typique avarca Minorque, Ria a maintenant été incorporés dans le classique et traditionnelle (à base de peau de vache Avarca)

                       En haut vous voyez "les Avarca que l'on voit partout en Espagne)

    LE MARCHE EN COLERE

    Pour les petites princesses, j'ai craqué, j'en ai acheté deux pour mes petites filles !

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

    Chaque petit enfant à sa plaque de porte!

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

    LE MARCHE EN COLERE

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    15 commentaires
  •                                                                                                       
       

    ALLEZ LA FRANCE !

                                       FRANCE - EQUATEUR

                                  

    Ce soir les marchands de pizza vont faire "leur beurre" si j'ose dire, la pizza est l'amie des footeux devant leur télé, mais d'ou vient-elle ?

                                                           

    La pizza est un plat d'origine italienne fait d'une pâte à pain étalée et de coulis de tomate, recouverte de divers ingrédients et cuite au four (à bois, à gaz ou électrique). La pizza est un des mets de la cuisine italienne qui s'est établi presque partout dans le monde, souvent en s'adaptant aux goûts locaux.

     Selon Alain Rey, le mot « pizza » est « attesté primitivement au sens de « fouace », « galette », dès 997 en latin médiéval, depuis 1535 en napolitain et à partir de 1549 en italien florentin, spécialisé dans son sens actuel depuis 1570.

    L'étymologie exacte du mot est difficile à déterminer et il existe plusieurs théories à ce sujet : l'origine pourrait être le haut-allemand « bizzo », « morceau de pain », ou le grec « pitta », « fouace ».

                                                              

    Histoire:

    Jusqu'à l'introduction de la tomate (un des principaux ingrédients de la pizza actuelle) en Europe et à son utilisation en cuisine à la fin du XVIIe siècle, la dite « pizza » d'alors n'avait aucun rapport avec celle d'aujourd'hui : elle se présentait sous différentes formes et de plusieurs types dont la variété ne se limitait pas aux garnitures mais s’élargissait aussi aux modes de cuisson (four ou poêlée dans l'huile), et pouvait être sucrée dans sa version bourgeoise et salée dans une version plébéienne.

    Contexte :

    Dans la seconde moitié du XIXe siècle, des médecins hygiénistes tels Enrico De Renzi, Achille Spatuzzi, Luigi Somma… qui s'intéressent à l'alimentation du popolo minuto napolitain – classent la pizza parmi l'un des « aliments des pauvres » (cibi dei poveri).

    En 1884, Matilde Serao écrit : « La pizza entre dans la grande catégorie des comestibles qui coûtent un "sou" et avec laquelle est constitué le déjeuner ou le dîner de la très grande majorité du peuple napolitain ». Et, c'est vraiment son caractère populaire (simplicité de la préparation, qualité gustative et faible coût) qui permit le développement d'un phénomène qui pouvait s'enraciner et croître seulement dans une ville à forte densité démographique et dont la population souffrait d'une extrême précarité.

     

    les Italiens utilisaient également les mots focaccia, schiacciata (it), stiacciata. C'est seulement à la fin de la Seconde Guerre mondiale que le terme pizza se diffusera en Europe et dans le reste du monde. Royaume de Naples

    En 1789, Ferdinando Gallieni dans un ouvrage posthume, définit la pizza comme un nom générique de toutes les formes de tourtes, de focaccia et schiacciata, et pour les distinguer, il énumère les principales : pizza fritta, pizza a lo furno co' l'arecheta, pizza rognosa, pizza stracciata, pizza di cicoli, pizza doce, pizza di ricotta. En 1797, l'abbé Francesco D'Alberti di Villanova publie à Lucques un Dizionario universale critico della lingua italiana où seul le terme « focaccia » est précisé, et dans une seconde édition de 1804 apparaît le mot pizza défini comme une sorte de mets ou une espèce de focaccia.


     

    Références littéraires :

    Dans les années 1850, la bottega del pizzajolo - qui sera définie comme pizzeria quelques décennies plus tard dans la lexicographie - devient un lieu de socialisation comme le décrit Francesco De Bourcard dans Usi e costumi di Napoli .

    En 1847, l'ouvrage d'Emanuele Bidèra Passegiata per Napoli e Contorni décrit également la bottega del pizzajuolo avec des pizze ornées de mozarelle (ova bianchissime dans le texte) et de tomates (ova rosse) et petits poissons. Le Corricolo d'Alexandre Dumas parle plutôt de pizzaiuolo ambulant qui l'hiver vendait la pizza et en été se transformait en vendeur de pastèque (cocomero dans le texte) : il énumère aussi différentes sortes de pizza et évoque son aspect économique qui pour deux sous doit rassasier toute une famille.

    Italie unie -  Les dictionnaires qui paraissent à Naples après l'Unité de l'Italie continuent de définir la pizza comme une focaccia ou schiacciata.

                                                

    Enfin, en 1905, dans le Dizionaro Moderno, d'Alfredo Panzini (it) la pizza est définie comme le nom vulgaire d'un mets napolitain très populaire, et apparaît également, pour la première fois, le terme de pizzeria qui définit un commerce où se préparent et se consomment pizzas et autres mets napolitains. Le Zingarelli (it) de 1922 la dit d'étymologie incertaine et le mot pizzaiolo expliqué est celui qui fait et vend la pizza à Naples. Dans le Glossario latino-italiano de 1944 de Pietro Sella, le mot focaccia est dit en napolitain pizza. En juin 1889, le chef Raffaele Esposito, de l'illustre pizzeria de la salita Sant'Anna di Palazzo, dite aujourd'hui « Pizzeria Brandi », décide de baptiser« Margherita » une pizza à base de mozzarella, de basilic frais et de tomates (les couleurs du drapeau italien : vert, blanc, et rouge), en l'honneur de la reine Marguerite venue à Naples à l'occasion de l'inauguration des travaux du Risanamento.

    En appréciant une spécialité locale notoirement plébéienne, à sa manière, la reine renforçait les liens entre le royaume d'Italie et le peuple napolitain : et la pizza devint, ainsi, encore plus populaire parmi les Italiens.

                                                   

    Depuis 2008, la pizza napoletana (à ne pas confondre avec la variété aux anchois appelée en France « pizza napolitaine », à Naples « pizza Romana » et ailleurs en Italie « pizza napoletana » ou « pizza Napoli ») est une « spécialité traditionnelle garantie » (specialità tradizionale garantita).

    Le 25 mars 2011, est officiellement déposée une demande de candidature pour l'inscription de L'arte tradizionale dei Pizzaiuoli napoletani (l'art traditionnel des pizzaiuoli napolitains) sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'UNESCO.

     

    Aspects culturels :

    Trattoria vantant ses 500 pizzas Alfonso Pecoraro Scanio, Ministre italien de l'agriculture, a demandé le classement de la pizza auprès de l'UNESCO, arguant du fait que les spécialités culinaires sont l'expression culturelle d'un peuple, et dépositaires de sa tradition et de son identité. La recette de la pizza napolitaine a notamment été inscrite au Journal officiel italien en mai 2004.

    Désormais populaire et omniprésente presque partout dans le monde, la pizza a pris un statut de produit à la mode. Elle est certainement l'un des symboles de la mondialisation et de la standardisation de la nourriture des populations. En italien, on emploie couramment la métaphore de la pizza pour dire qu'il ne suffit pas de savoir quelque chose pour savoir le faire. En effet, la recette de la pizza est on ne peut plus simple, mais la pratique requiert un grand art. Toujours par métaphore, le mot pizza désigne dans la langue italienne le boîtier contenant une pellicule de film (et par extension la pellicule elle-même), ou encore une personne ou une chose particulièrement ennuyeuse.

    Qualité des ingrédients et fabrications Le choix dans les produits agricoles employés (fromages, huiles, légumes, farines de céréales ...) ont une influence certaine sur la qualité gustative des pizzas.

     

    Préparation de la pâte : eau, sel, farine de blé, levure, huile d'olive.

    On mélange, on forme des boules grosses comme le poing, et on laisse reposer à température ambiante trois à quatre heures ;

    Préparation de la pizza :

    on étale chaque boule (les professionnels le font à la main), sur lesquelles on place les ingrédients ; Cuisson : au four à feu de bois.

    Les meilleurs fours actuellement sont les fours à feu de bois et à régulation électronique de la température : les pizzas sont sur un plateau de pierre tournant qui s'élève à l'intérieur du four pour modifier l'exposition à la chaleur des pizzas.

    La pizza margherita, la plus simple : une cuillère à soupe de tomates, de la mozzarella écrasée avec les mains, une ou deux feuilles de basilic frais, un soupçon d'huile d'olive, et au four, et consommer rapidement, elle ne demande pas plus.

                                                                 

    Si vous voulez en savoir plus :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Pizza

    Partager via Gmail Yahoo!

    15 commentaires
  •                                                    

     

    Les churros sont des pâtisseries ibériques.

    Ils se présentent sous la forme d'une pâte frite et sucrée en forme de « gros spaghetti » ou d'un beignet allongé.

    On en vend souvent dans les foires, dans des chocolateries (qui sont rares) ou dans les churrerias.

    À Séville, on les appelle des calentitos ou masa frita, à Jaén des tallos et à Grenade, des tejeringos.

    Tous ces termes régionaux ont fini par être supplantés par le terme churro.

    En Argentine et au Pérou, les churros sont fourrés de confiture de lait.

    En Espagne, il est habituel de prendre un petit déjeuner composé d'un chocolat chaud bien épais accompagné de churros ou de churros baignés dans du chocolat chaud (chocolate con churros). Au Mexique, ils sont plus épais et on les saupoudre de cannelle ; ils sont servis en dessert.

    Aux États-Unis, on en trouve dans les cirques, les parcs d'attraction et autres festivités : ce sont généralement des churros de type mexicain.

    En France, on les trouve également dans les fêtes foraines sous le même nom ou sous celui de chichis : ce sont généralement des churros de type espagnol.

     

     

    RECETTE

    http://www.marmiton.org/recettes/recette_churros-espagne_11698.aspx

     

     Recette Churros (Espagne)

     Temps de préparation :

    15 minutes Temps de cuisson : 5 minutes

    Ingrédients (pour 6 personnes) :

    - 22 cl d'eau

    - 250 g de farine

    - 3 cl d'eau de fleur d'oranger

    - 5 filaments de safran

    - 25 cl d'huile d'olive

    - 25 cl d'huile d'arachide

    Préparation de la recette :

    Faire des churros est très simple ! Cette recette vient directement d'Espagne. Selon la quantité de churros que vous voulez faire il faut mettre autant de farine que d'eau.

    Mettez la farine dans une jatte et faites bouillir l'eau avec dedans de la fleur d'oranger, et pour la couleur : un peu de safran.

    Jetez l'eau en ébullition dans la farine et remuez vivement.

    Attention : couvrez le récipient avec un couvercle anti-éclaboussures !

    Un truc : les faire frire dans un mélange égal d'huile d'olive et d'huile d'arachide. Attention, il ne faut pas que l'huile soit trop chaude (l'idéal est de disposer d'un appareil spécial churros !).

     

    Machine à churros !

    Remarques : IMPORTANT :

    Attention à ne pas trop monter l'huile en température ! Si vous dépassez les 200°C, les churros que vous plongez dans le bain de friture peuvent "exploser" et vous blesser.

    De manière générale, faites attention avec la friture : plonger des ingrédients froids dans un bain d'huile bouillante crée un choc thermique.

    Protégez-vous les mains et faites attention aux projections.

    NE JAMAIS FAIRE CETTE RECETTE AVEC DES ENFANTS !

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    27 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires