•                                                                                                     

    Anthony Chaplain,

    dit Chaplain des Côtes d'Armor, est un auteur-musicien-interprète breton. Il chante depuis 2003 et sa musique évolue vers la chanson française, piquée de jazz manouche, tantôt folk, tantôt rock. On le connaît surtout pour son tube Marie La Dondaine.

    . Discographie Singles 2004 : Marie la dondaine / Ouvrez grand les oreilles 2005 : Emmenez-moi

    Albums 2006 : Contre vents et marées

    2009 : Chroniques de Mme Haut-de-Cœur

    Chaplain prend le monde par surprise ! Auteur, compositeur, interprète, Chaplain des Côtes d'Armor s'est forgé une vraie personnalité musicale. Sa chanson «marie la Dondaine» révèle ses influences pour un univers celtique d'aujourd'hui ! Les titres de son album sont à la fois rock'n roll et tendres. Ses guitares balayent large, saignantes ou folk. Et ses mots savent les histoires qui font mouche. © Cityvox >

                                              

    JEAN MICHEL CARADEC

     

    Ma bretagne quand il pleut !

                                                                

    Jean-Michel Caradec est un auteur-compositeur-interprète français, né le 20 septembre 1946 à Morlaix (Finistère) et mort le 29 juillet 1981 à Rambouillet (Yvelines), dans un accident de la route lors de la tournée France Inter.

    Il est notamment l'auteur des chansons Ma petite fille de rêve, La Colline aux coralines ou encore Ma Bretagne quand elle pleut.

      Jean-Michel Caradec nait le 20 septembre 1946 à Morlaix (Finistère), d'un père marin et d'une mère institutrice. Ancien élève du Lycée Saint Marc à Brest (Lycée de l'iroise actuellement), du lycée Chaptal et du lycée Henri-IV, à Paris, il obtient un premier prix au Conservatoire de Brest.

    En 1969, il signe son premier contrat chez Polydor et enregistre quelques 45 tours. Son premier 33 tours sort en 1972, mais ce n'est que deux ans plus tard qu'il rencontre le succès avec le tube Ma petite fille de rêve.

    Jouant à l’Olympia en 1976, il assure la première partie de Georges Brassens, Serge Lama et de son ami Maxime Le Forestier, qui chantera Mai 68 sur scène en 1973. Jean-Michel Caradec a participé à la comédie musicale Le Rêve de Mai, album conceptuel sorti à l'occasion du 10e anniversaire des évènements de Mai 1968, auprès de Nicole Rieu, Nicolas Peyrac et Didier Marouani notamment. Jean-Michel Caradec a fondé sa maison d'édition Madeline Songs

                                                                                                                              

    Mort Le 29 juillet 1981, il roule sur l'autoroute A10 quand, vers 16 heures, il s'encastre sous l'arrière d'un camion. Grièvement blessé, il est transporté à l'hôpital de Rambouillet où il décède dans la soirée.

    Il aurait 66 ans !!!!

    Il est inhumé au cimetière de Recouvrance de Brest.

     

                                       

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    Fête de la Saint-Patrick 

      17 mars La fête de la Saint-Patrick ou fête nationale irlandaise est une fête chrétienne (catholique) qui célèbre, le 17 mars, saint Patrick, le saint patron de l’Irlande.

      La fête de Saint-Patrick est célébrée par les Irlandais du monde entier, expatriés ou descendants des nombreux émigrants, et sa popularité s’étend aujourd’hui vers les non-Irlandais qui participent aux festivités et se réclament « Irlandais pour un jour ».

     

    Les célébrations font généralement appel à la couleur verte et à tout ce qui appartient à la culture irlandaise :

    la fête de Saint-Patrick telle que pratiquée aujourd’hui voit les participants, qu’ils soient chrétiens ou pas, porter au moins un vêtement avec du vert, assister à des « parades », consommer des plats et des boissons irlandaises, en particulier des boissons alcoolisées (bières et stout irlandais, comme la Murphys, Smithwick’s, Harp ou Guinness, ou des whiskeys, des cidres irlandais, des Irish coffee).

    À Dublin La parade de Dublin, ponctuant une fête de la Saint-Patrick qui prend la forme d’un festival de cinq jours, a réuni plus de 550 000 personnes en 2011.

    À New York C’est la ville de New York qui abrite la plus grande parade pour la Saint-Patrick, avec plus de deux millions de spectateurs sur la Cinquième Avenue, devant les tours du sanctuaire dédié à Saint-Patrick, construit au XIXe siècle dans le style flamboyant.

    Les premières manifestations de la Saint-Patrick à New York remontent à 1762, quand les soldats irlandais défilèrent dans la ville le 17 mars. Le jour de la Saint-Patrick, la colonie irlandaise de San Francisco organise un grand défilé dans les rues. La statue de l’évêque évangélisateur de l’Irlande est ainsi promenée sur un char décoré aux couleurs nationales. Fête chrétienne

    Outre une célébration de la culture irlandaise, la Saint-Patrick est à l’origine une fête chrétienne célébrée par l’Église catholique, l’Église d’Irlande et d’autres communautés chrétiennes. La fête a toujours lieu pendant le Carême.

                                                                                    

    Le 17 mars dans les calendriers chrétiens, la Saint-Patrick est déplacée au lundi quand elle tombe un dimanche. Il est de tradition pour certains chrétiens observant un jeûne pour le Carême de le rompre pendant la journée de la Saint-Patrick. Patrick aurait montré au peuple une feuille de trèfle pour leur expliquer Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu l’Esprit Saint.

    Chaque année, les hommes d’Irlande mettent une feuille de trèfle à la boutonnière pour se souvenir de Saint-Patrick. Bien que souvent utilisé comme symbole, notamment par l’équipe irlandaise de rugby, le trèfle à trois feuilles n’est pas l’emblème officiel du pays : c’est la harpe celtique.

     

     

    Si vous voulez en savoir plus sur la SAINT PATRICK EN IRLANDE

    Les grandes villes mondiales verdissent le 17 mars…

                                                             

     

                                

    Trinity College - Dublin

    L'Empire State Building s'illumine pour la St Patrick - © prendio2 - Licence CC L’Empire State Building s’illumine pour la St Patrick – © prendio2 – Licence CC

    Un phénomène plutôt sympa a vu le jour depuis plus d’une dizaine d’année : pour chaque St Patrick, les grandes villes internationales comme Paris, Madrid, ou New York choisissent d’illuminer en vert l’un de leur plus beau monument !

    Une façon plutôt sympathique de saluer les irlandais et leur fête nationale ! Il y en a alors pour tout les goûts :

    le Moulin Rouge s’illumine en vert à Paris, la Grand Roue de London Eye verdit à Londres, La Puerta de Alcala irradie à Madrid, et l’hôtel Burj Al Arab à Dubai se pare de ses plus belles couleurs, affichant un joli trèfle en son centre !

    http://www.guide-irlande.com/culture-irlandaise/quotidien-irlandais/fetes-irlandaises/fete-saint-patrick/

     

     

    Les « Leprechauns » ou lutins 

    Ce sont de petits lutins, de petits elfes habillés de vert. Ils habitent dans les bois et se tiennent à l’écart des gens. On dit qu’ils cachent des chaudrons remplis d’or au bout des arcs-en-ciel.

    Le nom "Leprechaun" est tiré de l’ancien nom irlandais "lechorpan" qui signifie "petit homme" (ils mesuraient 1 pied, soit environ 33 centimètres). La barbe et les cheveux roux ou blancs, ils ont les yeux verts et les oreilles pointues. Ils sont souvent vêtus de vert, coiffés d’un chapeau haut de forme ou d’un tricorne, portant des chaussures à boucle qu’ils confectionnent généralement eux-mêmes grâce à leur talent de cordonniers, ils sont plutôt avares, fument la pipe et ont un certain penchant pour l’alcool (whisky, bière...).

                                                                 

    Une légende :

    celui qui parvient à capturer un Leprechaun peut le forcer à révéler la cachette de son trésor (selon la légende ils peuvent accorder 3 voeux à celui qui l’attrape)... mais il doit faire attention à ne pas le perdre de vue, car les Leprechauns sont des êtres très rusés et malicieux prêts à tous pour échapper à leur captivité !

                                                    

    Le trèfle "shamrock "

    En Irlande, le jour de la St-Patrick, les gens portent un trèfle à la boutonnière pour souligner la fête. Les enfants s’amusent à chercher des trèfles à 4 feuilles puisqu’on dit qu’ils portent chance.

    Traditionnellement, les feuilles symbolisent la foi, l’espérance, l’amour et la chance. Lors de ses messes, Saint-Patrick utilisait le trèfle lorsqu’il expliquait le mystère de la sainte Trinité (Père, Fils et Saint-Esprit = trois personnes en un seul Dieu), c’est pourquoi la représentation du trèfle est fréquemment attribuée à la célébration de Saint Patrick.

    Le trèfle à trois feuilles est aujourd’hui un emblème national de l’Irlande, le pays aux verts pâturages.

     

    COUTUMES   

    La coutume veut que le jour de la St-Patrick, on porte du vert.

    Un vêtement ou du moins un trèfle ou un oeillet vert à la boutonnière. À certains endroits, les enfants ont l’habitude de pincer leurs camarades de classe qui auraient oublié de porter quelque chose de vert. « Don’t pinch ! » peut-on leur répondre ! 

    Le 17 mars, la tradition, en Irlande, veut que l’on savoure un repas de corned beef (boeuf en boîte de conserve) avec du chou ou du ragoût irlandais et que l’on se rassemble, habillé de vert dans un pub pour déguster une bière irlandaise et chanter.

     

    Une recette amusante : 

    Une boisson aux couleurs de la Saint-Patrick :

    la limonade verte. C’est très simple : déposer 2 ou 3 gouttes de colorant alimentaire jaune et bleu dans ton verre de limonade, d’eau ou de boisson gazeuse claire. Ou plus simplement encore : utiliser du sirop de menthe !

                                           

    http://www.utile.fr/comment-faire-de-la-biere-verte-pour-la-st-patrick_2176

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    Le triskèle, également orthographié triskell ou triskel ou appelé aussi triquètre ou triscèle (du grec τρισκελης, « triskélès » qui signifie à « trois jambes ») est un symbole représentant trois jambes humaines (triskèle du premier type), ou aussi de trois spirales entrecroisées (triskèle du second type) ou tout autre symbole avec trois protubérances évoquant une symétrie de groupe cyclique.

    Bien qu'il soit apparu dans diverses cultures et à différentes périodes, il est considéré comme une caractéristique importante de l'art celtique à l'époque de la Tène (second âge du fer, Ve - IIe siècle av. J.-C.). On le trouve déjà sous forme de gravure sur une grande pierre du tombeau néolithique de Newgrange, sur le site de Brú na Bóinne, en Irlande.

    Un « triquètre », représentant trois jambes, est présent sur le drapeau de la Sicile depuis 1285.

     

    Ce symbole existe également depuis 19311 sur le drapeau de l'île de Man (même représentation, également au centre du drapeau mais avec armure).

     

      De nombreuses significations ont été avancées sans qu’une seule puisse être privilégiée  d’après l’archéologue et historien Venceslas Kruta, la nature solaire du triscèle étant « généralement reconnue », il est probable qu'il représente dans l'iconographie celtique les trois points du mouvement vertical du soleil : le lever, le zénith et le coucher.

    dans la mythologie celtique, il peut représenter les trois dieux principaux : Lug, le dieu primordial, le Dagda et Ogme.

    Il évoque aussi le caractère trinitaire de la déesse unique (fille, mère et épouse) ou la roue solaire (attribut du Dagda).

     

    dans un autre registre, il est censé représenter les trois éléments :

    la terre, le feu et l’eau et non, l’eau, la terre, le feu et l’air (la notion d’air étant de très loin contemporaine à ses origines).

    Certains bretons disent qu’il représente l’eau, la terre et le feu, l'air étant au centre].

                                                          

    il peut aussi représenter la continuité du temps qui passe :

    passé-présent-avenir ; ou encore les trois âges de la vie (jeunesse, âge mûr, vieillesse).

     

    il est également dit qu'il pourrait être représentatif des "Trois Mondes" :

    le Monde des vivants, le Monde des Morts et le Monde des Esprits Une autre représentation celtique : trois éléments primordiaux, l'air (en haut), l'eau (à gauche qui s'enroule comme une vague), la terre (à droite, comme une pousse de fougère qui se déploie).

    Le feu n'est possible que par la présence de deux éléments primordiaux, terre et air, et ne serait pas considérée comme un élément primordial. Cette signification ramène également aux trois états de la matière (solide, liquide, gazeux).

                                                              

    Il est difficile de donner au triskel une symbolique exacte, la transmission du savoir chez les druides ne s'étant faite que de manière orale. en Sicile, on dit qu’il représente les trois extrémités de l’île (capo Peloro au nord-est, capo Passero au sud, capo Lilibeo à l’ouest), et on l’appelle la Trinacria. le triskèle en spirale semble être un symbole solaire ou lunaire

    Sa représentation peut être dextrogyre, en ce cas c’est un symbole positif et bénéfique[] ; s’il est sinistrogyre (voir les illustrations), l’interprétation est contraire.

    Certains considèrent que son orientation n’a pas d’importance. D’après d’autres sources, notamment néodruidiques], et suivant lesquelles le triskèle représente une symbolique du mouvement en spirale de tout corps gravitant au sein de l’Univers, l’orientation de ses branches ne revêt absolument aucune importance puisque la rotation de tout corps, suivant qu’elle est observée par au-dessus ou par en dessous, change automatiquement de sens ; ce qui d'ailleurs est faux.

     

    Suivant la même interprétation druidique, les trois spirales représentent la fusion entre trois concepts (repris d’ailleurs plus tard par la religion chrétienne sous la forme de la sainte Trinité) :

    Esprit, Âme et Corps. Cette théorie pourrait simplement être une mutation de celle qui prévaut d’après certaines sociétés druidiques et selon laquelle le monde est composé de trois « sous-mondes » indissociables, à savoir :

    Abred : le monde tangible (donc le corps, la chair, le mortel) Gwenved : le monde où viennent transiter les âmes avant leur réincarnation.

    Keugant : le monde divin, summum de la perfection, mais auquel les âmes (et les corps bien sûr) n’ont pas accès. Popularisation Le triskèle a été adopté dans les milieux druidiques à la fin du XIXe siècle.

    On le trouve dans des revues à caractère nationaliste breton avant 1914. Ultérieurement, il a été propagé par le Parti national breton qui l'a adopté comme insigne en 1940.

    Le renouveau de la musique bretonne et son succès, tant en France que dans le reste du monde, sous l’influence d’Alan Stivell, dans les années 1970, a fortement contribué à populariser le symbole. Dès le moment où on l’a vu sur les plateaux télé, en couverture de magazines, et dans les concerts, arborer un grand triskèle, il a lancé une mode, d’abord en Bretagne, et même à un certain degré dans toute la France.

    De mode, il s’est installé ensuite dans l’image symbolique de la Bretagne, et dans des cadres aussi divers que le tourisme, les marques commerciales, la culture, etc.

                                                                     

    Les venues d’Alan Stivell en Espagne ont aussi amené des organismes divers, mouvements et autres à l’arborer, notamment en Galice et en Asturies, même s’il a atteint une certaine renommée jusqu’au sud de l’Espagne, et à un degré moindre dans d’autres pays comme l’Italie.

     

     

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    ALAN STIVELL

     Surnom Alan Stivell Nom Alan Cochevelou Naissance 6 janvier 1944 (69 ans) Riom Drapeau de France France Activité principale Musicien - chanteur, parolier - compositeur Genre musical Musique celtique, rock celtique, musique bretonne, musiques actuelles, folk, world music, New Age, musiques électroniques, musique symphonique, fusion, cross-over Instruments Harpe celtique, cornemuses, bombarde, flûte irlandaise, claviers

    Années actives Depuis 1953 Labels Keltia III, Universal Music, Disques Dreyfus Site officiel www.alan-stivell.com Logo modifier Consultez la documentation du modèle Alan Stivell (né le 6 janvier 1944 à Riom en Auvergne) est un auteur-compositeur-interprète et musicien français qui lutte pour la reconnaissance culturelle et politique de la Bretagne.

    Chanteur, il est aussi multi-instrumentiste : bombarde, biniou kozh, cornemuse écossaise, tin whistle et surtout harpe celtique. Avec la première harpe néo-celtique construite par son père, il est à la base de la renaissance de cet instrument et de la musique bretonne moderne. Il fait partie du mouvement folk des années 1960 en France, qui nourrit l'envol de la musique celtique, inspirée par le folk-song et le rock anglo-saxons.

    Sa personnalité et son travail ont joué un rôle majeur dans la popularisation de la musique celtique en Bretagne et dans le monde : il est à l'origine de ce mouvement revivaliste des années 1970, grâce notamment à l'électrification de cette musique, et du concept même. Alan Stivell se rend d'abord célèbre pour ses arrangements sur le répertoire traditionnel, même si l'autre partie de son œuvre est la création de nouveaux morceaux. Reconnu aux États-Unis et au Canada en tant qu'« harper New Age », il réalise plusieurs tournées internationales.

    Il influence le sursaut que connaît la langue bretonne et la fierté du peuple breton. Il ouvre la voie aux autres groupes ou artistes, suscite des vocations chez les jeunes, les luthiers, les enseignants et devient un modèle pour les autres cultures.

    Il interprète des paroles majoritairement en langue bretonne, mais aussi dans d'autres langues celtiques, en français et en anglais. Après le travail de son père, il élabore des prototypes de harpes expérimentales. Sa musique, ouverte sur le monde et sur la Celtie par le panceltisme, s'appuie sur des formes musicales qui allient des combinaisons parfois peu explorées, avec un goût pour les nouvelles technologies.

     

    Son œuvre musicale se double d’un combat pour la reconnaissance de la culture bretonne et celtique, avec des messages humanistes pour l'ouverture aux autres et une plus grande fraternité entre les humains.

    Cet esprit d'ouverture se traduit par des métissages culturels et des fusions musicales dès ses débuts, ce qui en fait l'un des précurseurs de la world music, qu'il définit clairement sur son premier album Reflets.

    Origines, formation et débuts De son vrai nom Alan Cocheveloun , il est originaire d'une famille bretonne qui a quitté sa région natale suite aux Guerres mondiales : sa famille, du côté de son père, est originaire de Gourin et Pontivy dans le Morbihang , en région Bretagne, mais il est né à Riom (département du Puy-de-Dôme) dans la région Auvergne, où il vécut quelques mois avant de passer sa jeunesse à Paris (20e arrondissement puis Vincennes, hormis ses fréquents séjours en Bretagne.

    Enfant, il se passionne pour la science-fiction, le modernisme et le futurisme ; il lit des bandes dessinées d'anticipation.

    Au lycée, il affirme son identité et sa passion pour la culture, l'histoire et la mythologie celtique, malgré un sentiment de solitude et d'humiliationa .

    Il est élève au lycée Voltaire (Paris), étudiant en licence d'anglais à la faculté des lettres de Censier , en linguistique à la Sorbonne et à l'université de Rennes où il passe un certificat de celtiquea .

    Il étudie à l'École pratique des hautes études la littérature médiévale galloise et gaéliques .

     

                                                       

     

                                                              

    DAN AR BRAZ

     Surnom Dan Ar Braz Nom Daniel Le Bras Naissance 15 janvier 1949 (64 ans) Quimper Drapeau de France France Activité principale Musicien, compositeur, parolier, chanteur Genre musical Musique celtique, musique bretonne Instruments Guitare électrique (Godin, Music Man) 

    Depuis les années 1960 Labels Sony, Keltia Musique, L'Oz Production Site officiel www.danarbraz.com

     Dan Ar Braz (Daniel Le Bras pour l’état civil), est un auteur-compositeur-interprète français d'origine et de culture bretonne, né à Quimper, le 15 janvier 1949, dont la majeure partie de l’œuvre relève de la musique celtique électrique.

    Dan a débuté avec le précurseur Alan Stivell puis a continué en solo avant de se lancer dans l’aventure de l’Héritage des Celtes, qui a fédéré de nombreux artistes, pour revenir à une carrière solo.

    En 1996, il représente la France au concours de l’Eurovision avec une chanson en breton. À l'époque où il jouait avec les anglais de Fairport Convention, il était considéré par le magazine britannique Melody Maker comme l’un des meilleurs guitaristes au monde.

    J'aime beaucoup cette chanson, je l'ai entendu à un enterrement et je dois dire qu'elle donnait beaucoup d'émotion

     

     

                       

     

     

     

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  • Aujourd'hui on voyage, on va en Espagne, je vais vous parler de GEORGETTE PLANA qui est décédée à l'age de 95 ans, ce n'est pas d'aujourd'hui, mais j'aime bien c'est festif, gai, sans prétention

                                                              

    la chanson populaire est souvent dénigrée de nos jours mais ca fait du bien d'entendre des chansons sans prétention

    Georgette Plana débute comme danseuse de music-hall à Bordeaux, puis monte à Paris en 1941 comme chanteuse. Ses nombreuses reprises des chansons des années 1920 ont du succès :

    elle chante à l’Alhambra en 1942 avec Bourvil dans La Revue du rire, puis aux Folies-Belleville en 1944, et obtient un grand succès populaire avec son entrain et son timbre gouailleur. Elle enregistre un disque des succès de Fréhel, et chante Le Bar de l'Escadrille, Feu follet, et Le Petit Rat de l’opéra, qui connaît le succès en 1947.

    Elle se marie à la fin des années 1940 et quitte la scène peu de temps après. Elle revient une vingtaine d'années plus tard, en 1968, en reprenant Riquita, une chanson des années 1920 écrite par Bénech et Dumont. C'est un immense succès : 450 000 disques sont vendus, et le disque est premier au Hit Parade.

    Dans la foulée, Georgette Plana enregistre d'autres anciens succès de Bénech et Dumont, Gaston Gabaroche, Léo Daniderff, Lucien Boyer, Montéhus, etc., dont Le Dénicheur, Zaza, Rugby marche, La Femme aux bijoux et L'Hirondelle du faubourg, accompagnée par l'accordéoniste Aimable1 et son orchestre.

    Ces chansons, enregistrées, sont également imprimées en partitions. Fille d'un Compagnon Charpentier du Devoir de Liberté (les « Indiens », enfants de Salomon) et de la Mère des « Indiens » de Bordeaux, elle a également enregistré un disque de chants compagnonniques pour la Fédération compagnonnique des métiers du Bâtiment qui en assure la distribution. En 1969, Georgette Plana chante à l’Olympia aux côtés de Robert Charlebois et d’Antoine, avec lequel elle chante Je t'offre un verre, réconciliant ainsi deux, et même trois générations.

    En 1974, elle fait partie de la tournée « Podium » d'Europe 1 avec les Martin Circus. Pascal Sevran révèle dans son journal Le Privilège des jonquilles (2006) qu’elle a été victime en 2005 d’un infarctus cérébral.

    Georgette Plana décède à L'Isle-Adam le 10 mars 2013 à l’âge de 95 ans.

                                                                 

                                                        

     

                    

     

                                                    

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