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    Belle-Île-en-Mer est une île française de l’océan Atlantique située dans le département du Morbihan en Bretagne sud. Les habitants de l’île se nomment les Bellilois et les Belliloises.

     

    BELLE ILE, nous l'avons parcourue de toutes les manières en bateau, à vélo avecles enfants sur le porte bagage mais ca grimpe car il  ya beaucoup de cotes ! en voiture de location, en mehari, à pieds .... C'est magnifique

                                                               

    C’est dans les écrits du géographe Ptolémée qu’apparaît pour la première fois le nom de Vindilis pour la désigner Belle-Île. « Vindo », en gaulois veut dire blanc, métaphoriquement beau, brillant et « illis » une île. Comme l'île n'apparaît pas comme blanche, mais avec des falaises de schiste noir, le sens de Vindilis est donc déjà « belle île ». Pline l’Ancien désignait quant à lui l’ensemble des îles de Groix, Belle-Île, Houat et Hoëdic sous le nom d’Insulae Veneticae.

    En vieux breton Belle-Île sera nommée Guedel ou Guadel (1029, Charte d’Alain Canhiart Comte de Cornouaille). Les désignations sous les formes grecques de kalos nésos, c’est-à-dire « belle île », ou latines Calonessus apparaissent sur quelques cartes ou descriptions à partir du XVIe siècle.

    À la fin du Moyen Âge, le nom français de Belle-Isle est désormais utilisé. En breton, il va devenir Enez Ar Gerveur (ar gaer veur : « la grande belle ») ou (ar Ker veur : le grand fort, le « haut lieu »). Temporairement, sous la Révolution française, l’île fut appelée île de l’Unité, mais ce nom ne fut jamais confirmé par décret3.

    Quinze ans plus tard, sous Napoléon Ier, la municipalité proposa la nouvelle dénomination de Belle-Isle Joséphine, mais divorce de Napoléon oblige, cette appellation ne fut jamais acceptée.

    L’île gardera alors ses noms français de Belle-Île-en-Mer, l’extension « en Mer » apparaissant sur les cartes du début XVIIIe siècle, et breton d’Enez ar Gerveur.

    Au nom de Belle-Île, on ajoute souvent « la bien nommée », formule trouvée par la femme de lettres belliloise Éva Jouan, dans son recueil de poèmes De la grève, paru en 1896.

     Pour en savoir plus, vous pouvez aller sur le site de WIKIPEDIA qui est assez complet

     

                                         

     

     

                                

     

     

     

                                                                   

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     Photo wikipedia

                                                                  

    Souvent nous passions nos vacances sur les iles du morbihan avec notre bateau quand nous habitions en Bretagne, des paysages magnifiques !

    Un vrai petit paradis puisqu'il n'y a pas de voiture !

                                              

    Après 30 minutes de bateau au départ de Quiberon, l'impression d'être vraiment ailleurs est immédiate. L'exploration débute à Port-Saint-Gildas, un village de pêcheurs.

    L'île n'est pas très grande, on peut en faire le tour à pied en trois ou quatre heures en suivant le chemin côtier. Les paysages sont extrêmement variés, avec des criques, des falaises et des plages magnifiques...

    La très belle plage de Treach-er-Goured avec ses dunes est une halte agréable. Plus loin, la promenade à la pointe Beg-er-Vachif, à l'ouest de l'île, est particulièrement belle.

    La visite de l'île voisine d'Hoedic vaut aussi le détour.

    Il y a plusieurs dizaines de millions d'années, la presqu'île de Quiberon s'étendait vraisemblablement jusqu'à Houat, formant ainsi une mer intérieure. Son littoral boisé fut sans doute peuplé dès l'ère mésolithique (il y a environ 8 000 ans).

    Peu de touristes passent la nuit sur ce petit morceau de terre qui ne compte que de 390 habitants en hiver. En général, les estivants visitent l'ïle depuis Quiberon et repartent.

     

                              

     

     

       

                                                            

                                                                                          

                                                                                                                                 

     

      

    Cariole que l'on voit sur l'ile pour transporter les bagages du bateau au maison

     

                                                      

    maisons de pecheurs sur l'Ile de Houat (photo "images de bretagne")

                                      

                                                                                                                             

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    Photos J.C. Davalan - Chapelle et calvaire de Tronoen

    Depuis plus de trente ans trois sociétés hollandaises et françaises cultivent les bulbes de tulipes, narcisses ou jacinthes sur plusieurs dizaines d'hectares de sols sablonneux de la commune de Plomeur, profitant d'un ensoleillement et d'une douceur de climat exceptionnels.

    www.plomeur.com Site officiel de la commune de Plomeur

                                                                

     

     

                                  

     

     

                                          

     

    Photos

    http://breizh.davalan.org/etban/imgplan11.html

                                                             

     

    comme beaucoup d'entre vous adorent Alain Barrière, je vous en remets une couche !

     

                                                                     

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    Alain Barrière 

    Alain Bellec Naissance 18 novembre 1935 (77 ans) La Trinité-sur-Mer,

      Alain Barrière, né Alain Bellec, le 18 novembre 1935 à La Trinité-sur-Mer (Morbihan), est un auteur-compositeur-interprète français. Il a connu plusieurs succès, dont Elle était si jolie, Ma vie et Tu t'en vas.

      Né dans une famille de mareyeurs bretons, il obtient un diplôme d'ingénieur des Arts et métiers (promotion Angers 1955, dite « An155 »).

    Cependant, il préfère se tourner vers la chanson.

    En 1961, il adopte son pseudonyme et participe au concours du Coq d’or de la chanson française dont la finale se déroule à l'Olympia. Il parvient en finale avec sa chanson Cathy et se classe 11e sur 12. Mais pendant ce concours Bruno Coquatrix le remarque et Alain Barrière signe un contrat avec la maison de disques RCA.

    En février 1962 il passe à l'Olympia dans le programme de Colette Renard où il interprète 5 chansons. Il vit alors de quelques cachets dans les petites salles parisiennes avant de se faire un nom, en 1963, avec le succès du titre Elle était si jolie, sélectionné pour représenter la France au Concours Eurovision de la chanson où il finit 5e.

    Le pianiste et chef d'orchestre André Livernaux assure les arrangements de ses premières chansons.

    En septembre 1963 il passe à l'Olympia dans le spectacle de Paul Anka où il interprète 10 chansons.

    C'est en 1964 qu'il obtient son plus grand succès avec Ma vie et qu'il se produit en vedette à l'Olympia.

    En 1966 et 1968 c'est le music-hall Bobino qui l'accueille. D'autres succès suivent, parmi lesquels Emporte moi, Rien qu'un homme et C'était aux premiers jours d'avril. Il effectue par la suite plusieurs passages à l'Olympia en 1967, 1972, 1974, 1976 et 1978.

    Un autre grand succès est Tu t'en vas, interprété en duo avec Noëlle Cordier en 1974.

    L'année suivante, il fait construire et crée le Stirwen (« étoile blanche » en breton) un théâtre-discothèque-restaurant situé à Carnac, avec une salle de spectacle (amphithéâtre) dans laquelle il donne des concerts chaque été.

    En 1977, il quitte la France pour les États-Unis :

    l'entreprise Stirwen a des difficultés et le chanteur des démêlés avec le fisc. Il revient quatre ans plus tard, mais les deux albums qu'il enregistre n'ont pas le succès escompté. Un second exil le mène au Canada où il enregistre De Québec à Montréal. Barrière raconte ses déboires dans son autobiographie, notamment l'intervention d'individus à son domicile, affaire qui venait de haut lui dira-t-on à l'époque laissant penser que son succès suscita des jalousies déguisées et des pressions politiques. Il ne revient définitivement qu'au début des années 1990, mais sans renouer véritablement avec la chanson.

    En 1998 il sort un CD de nouvelles chansons Barrière 97 et une compilation de ses meilleures chansons, Ma vie. Il passe à la Salle Pleyel de Paris en 1998. Sa fille Guenaëlle, avocate, relance sa carrière vers 2005.

    En 2006, il publie son autobiographie, Ma vie, aux Éditions du Rocher (avec trois nouvelles chansons : If [Tu seras un homme] (texte de Rudyard Kipling), Quand la mer s'est retirée et Hymne à la Bretagne (hommage à sa terre natale)). Il lance aussi une nouvelle compilation, La Compilation authentique.

    Il donne plusieurs concerts au Canada, notamment au Québec, et y est bien accueilli (un disque d'or au Canada). En 2007, il entame à partir de mars 2007 une grande tournée en France. Un nouveau CD paraît à l'automne 2007 chansons françaises. On y trouve une remarquable interprétation de La Foule, Le Petit Bonheur, Les Copains d'abord, Ne me quitte pas, La Mer et Le Temps des cerises.

    En novembre 2010, paraît le Best of d'Alain Barrière, un album de 53 titres composés de titres phares mais aussi de nombreuses chansons jamais encore enregistrées sur CD. Le 5 juillet 2011, il est invité à l'émission de France 3 Village départ à Lorient, présentée par Laurent Luyat, à l'occasion du départ de la 4e étape du Tour de France : Lorient - Mûr-de-Bretagne.

    Le 5 septembre 2011, l'artiste annonce qu'il est contraint de renoncer à ses adieux à la scène programmés le 10 septembre 2011 à La Trinité-sur-Mer1 (son village natal) et le 16 septembre 2011 au Palais des congrès de Paris2 pour raisons de santé, étant dans l'impossibilité, après avoir subi deux accidents vasculaires cérébraux, de se tenir debout durant deux heures de spectacle.

     

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     Printemps dans la région parisienneen 2012

                                                                                              

    Bonjour !

    Comme un diable au fond de sa boîte,

    le bourgeon s'est tenu caché...

    mais dans sa prison trop étroite

    il baille et voudrait respirer.

    Il entend des chants,

    des bruits d'ailes,

    il a soif de grand jour et d'air...

    il voudrait savoir les nouvelles,

    il fait craquer son corset vert.

    Puis, d'un geste brusque,

    il déchire son habit étroit et trop court "enfin,

    se dit-il,

    je respire,

    je vis,

    je suis libre...

    bonjour !"

    Paul GÉRALDY (1885-1983)

                                              

     

     

     

     

     

                                                 

     

          Le littoral du Roussillon                                                

                

     

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