• http://www.villiard.com/blog/wp-content/uploads/2008/09/cocooning.jpgLE COCOONING

    Voici une définition du "Cocooning" que j'ai trouvé sur le net et qui le définit bien à mon avis

    Comportement du consommateur caractérisé par la volonté de transformer le foyer en une sorte de cocon, un abri parfaitement protégé, par peur du danger représenté par l'extérieur. Il est défini comme un « syndrome du rester à la maison » par la futurologue Faith Popcorn, qui prédit le phénomène dès la fin des années 70 pour la décennie suivante, et inventa le terme.
                                                       http://2.bp.blogspot.com/_LSWBrk2b__0/SZQ_wB0b7gI/AAAAAAAAA20/r18LlYM9I-k/s400/cocooning.JPG
    Un article de Wikipédia,

     Cet article est une ébauche à compléter concernant une pratique sociale, vous pouvez partager vos connaissances en le modifiant. On a nommé cocooning l'attitude consistant à se trouver si bien chez soi qu'on n'est guère poussé à en sortir excepté pour les nécessités vitales.

     L'idée est assez proche de ce que l'on nomme en français plus classique un comportement casanier (de casa, maison).
                                                                            http://www.femmeactuelle.fr/var/femmeactuelle/storage/images-versioned/619400/1-fre-FR/tapis_doux_doux1_diapo_horizontal.jpg
    HISTORIQUE

     Un précurseur Le premier auteur à avoir prévu une attitude généralisée de cocooning dans son futur semble être l'auteur britannique E.M. Forster (La route des Indes, Two cheers for democracy) dans sa nouvelle de science-fiction The machine stops. Il y imagine une humanité dont chaque individu vit à demeure dans sa cellule hexagonale, peu désireux de contacts humains directs ou de voyages, et qui ne communique que par le truchement d'appareils électroniques.
     Forster décrit une humanité qui va à sa perte parce que les systèmes fonctionnent de plus en plus mal, et qui ayant perdu le goût de l'action assiste à cette dégradation avec fatalisme, voire indifférence.
                       http://22.img.v4.skyrock.net/22b/papillondenuit16/pics/2708635744_1.jpg
     ÉPOQUE MODERNE

     Le XXe siècle a semblé donner tort à Forster, car les voyages ne cessaient au contraire de se multiplier. En revanche, le début du XXIe siècle, qui voit se généraliser les appareils électroniques qu'il décrit (visioconférence, Internet, appareils multimédia divers dans le même temps que les coûts du carburant, la crainte d'attentats et les difficultés financières commencent à diminuer l'enthousiasme d'une partie de la population pour les voyages), voit apparaître une certaine tendance au cocooning.

                                                              http://www.scambiocasa.com/extraimages/Cocooning:90342.jpg

    Pour moi, le cocooning, c'est un dimanche d'hiver quand il fait froid dehors au coin du feu en famille loin des bruits et de l'activité extérieure.
    Une journée, ou l'on prend soin de soi,, un bain chaud, un masque, une tenue décontractée, une musique douce, ou un soirée télé avec un plateau télé, on boit du thé ou du café, on mange des gateaux ou du chocolat, on se "vautre dans les fauteuils et les canapés, on se laisse vivre sans contrainte.

    http://images.doctissimo.fr/autres/photo/4224299422/chats/calin-chats-811168e5e.jpg

    http://bouilleurdecru.files.wordpress.com/2008/12/chat3.jpg




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  • http://media.notrefamille.com/cartes-postales-photos/cartes-postales-photos-Marchande-de-Lait-HENNEBONT-56700-8052-20080117-7z2l4b5u0p1m2f8h5t0t.jpg-1-maxi.jpg

    LA MARCHANDE DE LAIT

    La marchande de lait allait chercher le lait dans les fermes le soir et en remplissait les bidons qu'elle conservait  la nuit durant dans des bacs emplis d'eau froide.
    Le lendemain matin, à l'aube, elle les attelait à son ane et faisait la tournée des bourgs environnants.
    Postée sous les portes cochères ou aux angles des rues, elle criait : "A mon bon lait ! Qui vent du bon lait  ? La laitière, allons vite!"
    Les tricheries étaient fréquentes, aussi la police ou le service vétérinaire controlaient-ils régulièrement la lait pour vérifier qu'il n'avait pas été allongé avec de l'eau et un peu de farine, ou encore que la crème n'avait pas été enlevée.

                                                http://storage.canalblog.com/46/97/8393/8654154.jpg


    http://ecx.images-amazon.com/images/I/61gQqAqJrWL._SL500_AA280_.jpg

    http://www.retro-photo.fr/includes/recadre_image_hauteur.php?dossier=departementsfrancais26a50&fichier_nom=16236.jpg&hauteur_max=380

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  • http://metiers.free.fr/dtisserands/images/laine2.jpg

    ATELIER DE PEIGNAGE DE LAINE EN 1783

    La laine devait etre préparée avant d'etre filée :
    le peignage représentait l'une des étapes indispensables de cette préparation.
    Une fois la matière lavée et mise en cordons, l'ouvrier peigneur ouvrait ces derniers et les passait entre les dents d'un peigne chauffé sur les braises - pour augmenter la flexibilité du poil - puis graissé dans du beurre - afin de faciliter le démélage.
    La quantité de beurre utilisée était impressionnante : pas moins de 6000 livres étaient nécessaires pour fabriquer 20 Kilos de laine.
    En France, Tourcoing s'imposa comme la capitale du peignage : au XIX Siècle, les peigneurs représentaient près de 40% des ouvriers de la ville.


                                                   http://www2.ac-lille.fr/patrimoine-caac/tourcoing/laine_et_moutons/images/peignes.gif

      PEIGNEUR DE LAINE :
    Draps, habits, tapisseries : la laine offre du fil à démêler dans les campagnes comme dans les villes, depuis le berger jusqu’au marchand drapier. En soumettant les fibres de laine aux dents longues et acérées de son outil, le peigneur participe modestement mais fermement à son apprêt.

     TOURCOING, REINE DU PEIGNAGE
     L’emploi du peigne est attesté dès l’époque romaine, mais les témoignages sur ce métier sont rares. La cathédrale de Chartres nous donne une représentation d’un peigne pour le lin au VIIIème siècle. Le peignage concer-ne les fibres longues : il se développe à la Renaissance, avec la vogue des étoffes fines et des draperies.

     Dès le XVIème siècle, Tourcoing devient le centre indiscutable du peignage dans le Nord. Malgré les interdictions de fabriquer des draps imposées par Lille, Tourcoing poursuit sa production et obtient, en 1534, une dérogation de vingt-cinq métiers à étoffes. La lutte avec Lille reste farouche et explique sans doute la spécialisation de Tourcoing dans les opérations textiles préliminaires.

     Pendant leur heure de gloire aux XVIIIème et XIXème siècles, les peigneurs représentent entre 30 et 45 % des professions de l’arrondissement.

     PETITE ETAPE DANS LA VIE DE DAME LAINE
     Les laines longues de Hollande qui arrivent à Tourcoing sont préparées pour être filées. Toutes les opérations, jusqu’à l’apparition des machines, se font à la main. Les laines sont lavées avec de l’eau de mares ou de pluie, séchées sur l’herbe et portées dans les magasins. Là, les ouvriers coupent la pointe des mèches qui restent collées par le crottin et le suint. D’autres ouvriers trient les laines, mèche par mèche, et en font des tas de qualités différentes. Les laines ainsi préparées sont lavées une seconde fois dans des lessives alcalines chaudes. On en fait des cordons qu’on tord pour les égoutter. Les peigneurs prennent ces cordons encore humides, les ouvrent, les passent dans les dents d’un peigne successivement présenté sur un brasier ardent et trempé dans une jatte pleine de beurre. Le peigneur enlève les flocons de laine, les nœuds, la poussière et tous les corps étrangers. Il dispose les brins dans leur longueur et opère une première préparation ou filature. Les poignées, d’un mètre de longueur, sont expédiées sous cette forme aux négociants qui les font filer dans les campagnes environnantes.

     LE TEMPS DE MACHINES

                                     http://agfbl.free.fr/images/sayteur.jpg

     Le peignage s’est mécanisé assez tardivement. En 1792, la machine de Cartwright ne se diffuse que très lentement en raison de l’effondrement économique du pays. Cette peigneuse, faisant passer la production quotidienne de 3 kg à 65 kg environ, bouleverse cependant les conditions de production et donc de vie des peigneurs. D’autres machines s’imposent par la suite, reprenant les mouvements du peigneur. Plus régulières que l’ouvrier, elles permettent un peignage de qualité supérieure. Le peignage en atelier se développe rapidement.

     À Croix, par exemple, il emploie 175 peigneurs en 1856, plus de 1 000 après la guerre de 1870 et 17 000 à la fin du siècle. La production suit le même développement : 227 000 kg vers 1854, plus de 6 millions de kilos vers 1894. Ces usines importantes, implantées dans des villages, modifient en quelques années les structures traditionnelles et viennent gonfler la population.

     Extrait du chapitre concerné, dans l’ouvrage Les métiers d’autrefois, de Marie-Odile Mergnac, Claire Lanaspre, Baptiste Bertrand et Max Déjean, Archives et Culture. Famille | guide | metier_autrefois
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  • http://www.wizishop.com/blog/wp-content/uploads/2007/12/quebec.png

    Aujourd'hui via, "Facebook" j'ai eu une alerte venant d'une jeune femme Line que nous avions connu lors de vacances en République Dominicaine et j'ai eu beaucoup de plaisir à la lire car j'avais égaré son adresse.
    Si tu viens jusqu'ici Line, merci de m'avoir contactée et encore Bonne Année 2010
                                        http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/cf/Flag_of_Canada.svg/230px-Flag_of_Canad
                     
    Québec, la plus française des villes canadienne, j'au eu l'occasion de visiter ce pays il y a longtemps, lors de l'été indien, et j'avais beaucoup aimé

    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8d/Ville_de_Qu%C3%A9bec01.jpg/290px-Ville_de_Qu%C3%A9bec01.jpg

     Fondée par l'explorateur français Champlain au début du XVIIe siècle, Québec est l’une des plus anciennes villes du Canada et fêtera en 2008 ses 400 ans. Positionnée au sommet d’une colline, surveillant le fleuve Saint-Laurent qui coule à ses pieds, la ville de Québec a longtemps joui d’une position défensive de premier plan.

     Aujourd’hui celle que Charles Dickens a surnommée la « Gibraltar d’Amérique », profite simplement de son joli cadre naturel. Québec possède un patrimoine architectural exceptionnel. C’est la seule ville d'Amérique du Nord qui ait conservé ses remparts. La vieille dame se découvre facilement à pied. On se promène en toute quiétude dans les rues pavées du Vieux-Québec et sur les fortifications.

     Passage obligé de toute visite, le château de Frontenac, monument emblématique de la ville. Une visite de Québec ne sera pas complète sans avoir fait un petit tour dans ses musées . Vous verrez, on y apprend une foule de choses. Enfin, été comme hiver, n’hésitez pas à prendre part aux festivals québecois et découvrez la gentillesse de ses habitants. »
                                                           http://www.travel-travel-travel.com/heaven/archives/8/QUEBEC_CITY_%20LE_CHATEAU_FRONTENAC4.jpg

      Il ne fait nul doute que Québec est le berceau de la civilisation française en Amérique du Nord.
     La ville a officiellement été fondée par l’explorateur français Samuel de Champlain en 1608. Il y établit un poste de traite de fourrures et construisit son «abitation» dans le quartier aujourd'hui appelé Place-Royale. La cité devint aux XVIIème et XVIIIème siècles, le centre de la Nouvelle-France. On venait s’y approvisionner en marchandises provenant de France. La ville se développa doucement jusqu’au siège de Québec en 1759. Quelque 4 500 soldats conduits par le général James Wolfe prirent d’assaut la ville. La bataille des plaines d’Abraham signa la chute des colons français. La capitale de la Nouvelle-France passa aux mains des Britanniques et devint la capitale de la « Province of Quebec ».
    http://farm1.static.flickr.com/99/286770161_715d975245.jpg

     L’année suivante, c’est toute la Nouvelle-France qui connut le même sort.  Québec fut ensuite convoitée par les Américains. En 1775, les troupes anglaises parvirent à les repousser (c’était la période de la guerre d'indépendance des Etats-Unis).
     En 1791, l'Acte constitutionnel divise en deux la «Province of Quebec» : le Bas et Haut-Canada. La ville de Québec est alors la capitale du Bas-Canada. Cinquante ans plus tard, l'Acte d'union scelle le Canada-Uni. Québec est choisie comme capitale du pays, titre qu’elle perd en 1857 au profit d’ Ottawa;
     Dix ans plus tard, lors de la Confédération canadienne, la ville hérite du rôle de capitale de la province de Québec.

    http://www.linternaute.com/nature-animaux/magazine/photo/le-ciel-dans-tous-ses-etats/image/ete-indien-350499.jpg

                                              http://www.cyberpresse.ca/images/bizphotos/435x290/200811/25/28555.jpg


    http://sd-1.archive-host.com/membres/images/82716499634839280/FondEcranImageCom/plus-ancienne-maison-de-quebec.jpg

    la plus vieille maison de Québec

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  • http://www.3dvf.com/forum/mesimages/31827/poule03.jpghttp://dispourquoipapa.free.fr/imgfiches/poule27.gifCe matin, je n'ai pas trop d'imagination, alors sur la page d'accueil "YAHOO" j'ai trouvé cette question hautement philosophique : Qui de l'oeuf ou de la poule a vu le jour le premier ?"

    Le paradoxe de l'œuf et de la poule est l'un des plus anciens et le plus représentatif des cercles vicieux :

     « Qu'est-ce qui est apparu en premier : l'œuf ou la poule ? »

     Si on vous répond « C'est l'œuf », vous demandez « Mais qui a pondu cet œuf ? ».
     Si on vous répond « C'est la poule », vous demandez « Mais cette poule sort bien d'un œuf, non ? »

    . Le paradoxe vient du fait qu'aucune réponse ne parait satisfaisante. Il en est fait mention pour la première fois dans le Milindapañha.

      Le paradoxe relevant généralement de la blague, il est légitime de lui répondre par une autre blague

    * l'œuf vient en premier ... dans la question. * Dieu créa deux poussins. *

     « La poule est le moyen inventé par l’œuf pour faire un autre œuf » (Samuel Butler).

     * le coq ; Dieu créa ensuite la poule a partir d'une de ses côtes *

     ... on peut également évacuer la question en niant ou ignorant une ou plusieurs hypothèses implicites dans la question : * l'œuf de poisson est antérieur à la poule qui ignore l'implicite qu'on parle d'un œuf de poule.

     * De quel œuf parles-tu ? d'un œuf pondu par une poule, ou d'un oeuf qui donne naissance à une poule ?
     qui ignore l'implicite qu'on parle d'œuf de poule qui donnera naissance à une autre poule).

     Quelle que soit la réponse le paradoxe est automatiquement résolu par définition : dans le premier cas c'est la poule qui précède, dans le second c'est l'œuf...

     Réponses sérieuses

     Le paradoxe peut néanmoins être traité comme une question de cosmogonie très sérieuse créationnisme
     « Dieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants qui se meuvent, et que les eaux produisirent

    Moi, je n'ai pas trop d'avis sur la question !....Et vous ?

                                                                      http://zingo.typepad.com/popote_papote/images/coq_et_poule_opt.jpg
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